Cet article abordera le sujet de Catherine Virlouvet, qui a suscité un grand intérêt et une controverse ces derniers temps. Depuis son émergence, Catherine Virlouvet a retenu l'attention des spécialistes, des universitaires et du grand public en raison de sa pertinence et de son impact sur divers aspects de la société moderne. Tout au long de ces pages, différentes approches et perspectives sur Catherine Virlouvet seront explorées, ainsi que son influence sur des domaines aussi variés que la technologie, la politique, la culture et l'économie. L'intention est d'offrir une vision complète et actualisée du sujet, afin d'enrichir le débat et de promouvoir une compréhension plus profonde de Catherine Virlouvet et de sa signification aujourd'hui.
Directrice de l'École française de Rome | |
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Brigitte Marin (d) | |
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Catherine Virlouvet (née le ) est une historienne française, professeure d'histoire économique et sociale de Rome. Elle est directrice de l'École française de Rome de 2011 à 2019, première femme nommée à ce poste.
Elle est ancienne élève de l'École normale supérieure de Fontenay-aux-Roses (1976) et agrégée d'histoire. Elle soutient en 1986 une thèse d'histoire romaine intitulée Tessera frumentaria : les procédures de distribution du blé public à Rome de la fin de la République au Haut-Empire[1]. Membre de l'École française de Rome (1983-1986), elle a été maître de conférences d'histoire ancienne à l'université de Rouen puis directrice des études de la section antiquité de l'École française de Rome (1993-1999). Elle est nommée professeure d'histoire ancienne à l'université d'Aix-Marseille en 1999, et dirige l'École française de Rome de 2011 à 2019. Élève de Claude Nicolet, elle est spécialiste de l'histoire économique et sociale de Rome à la fin de la République et sous le Haut-Empire.