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Christian Cambon | |
![]() Christian Cambon en 2014. | |
Fonctions | |
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Sénateur français | |
En fonction depuis le (20 ans, 6 mois et 14 jours) |
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Élection | 26 septembre 2004 |
Réélection | 25 septembre 2011 24 septembre 2017 24 septembre 2023 |
Circonscription | Val-de-Marne |
Groupe politique | UMP (2004-2015) REP (depuis 2015) |
Président de la commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées du Sénat | |
– (6 ans, 2 mois et 25 jours) |
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Réélection | |
Prédécesseur | Jean-Pierre Raffarin |
Successeur | Cédric Perrin |
Maire de Saint-Maurice | |
– (28 ans, 6 mois et 25 jours) |
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Réélection | 11 juin 1995 11 mars 2001 9 mars 2008 23 mars 2014 |
Prédécesseur | Louis François Manchon |
Successeur | Igor Semo |
Conseiller régional d'Île-de-France | |
– (18 ans, 6 mois et 9 jours) |
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Élection | 16 mars 1986 |
Président | Pierre-Charles Krieg Michel Giraud |
Successeur | Jacques Aubry |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Saint-Mandé (France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | UDF, UMP, puis LR |
Diplômé de | Université Panthéon-Assas IEP de Paris |
Profession | Chef d'entreprise |
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Maires de Saint-Maurice | |
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Christian Cambon, né le à Saint-Mandé (Val-de-Marne), est un homme politique français, membre des Républicains.
Sénateur depuis 2004, il est anciennement président de la commission des Affaires étrangères, de la Défense et des Forces armées et premier vice-président de la délégation parlementaire au renseignement.
Titulaire du DESS de droit public de l'université de Paris II et diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris (1971, section Service Public[1]), chef d'entreprise de profession, il est élu maire de Saint-Maurice de 1989 à 2017 puis conseiller municipal de Saint-Maurice depuis 2017. Il devient sénateur du Val-de-Marne le , et est réélu en 2011 et 2017.
Il est maire de Saint-Maurice (94410) de 1989 à 2017[2],[3], où il a été réélu en 2008, au 1er tour avec 65,86 % des voix et en 2011 avec 76,6 %, après en avoir été maire-adjoint de 1977 à 1983 et conseiller municipal de 1971 à 1977.
Il est premier vice-président de la communauté de communes de Charenton-le-Pont Saint-Maurice et occupe les fonctions de premier vice-président du syndicat des eaux d'Île-de-France (SEDIF) de 1983[4] à 2017.
Il est conseiller régional d'Île-de-France de 1998 à 2004, vice-président du conseil régional d'Île-de-France de 1986 à 1998, député-suppléant du Val-de-Marne de 1988 à 1993.
Président du groupe interparlementaire d’amitié France-Maroc, Christian Cambon défend, d'après L'Humanité, en France les positions de Rabat[5].
Il appuie la position du Maroc sur le statut du Sahara occidental, affirmant que « les provocations et les gesticulations du Polisario (le mouvement revendiquant l’indépendance du Sahara occidental) ne changeront rien au statut des provinces du Sud marocain. » et appelant l’État français à s'aligner sur « ce magnifique plan d’autonomie que Sa Majesté a proposé »[5].
Il participe, à la veille des élections législatives de 2017, selon L'Humanité, au « torpillage en coulisses » de la candidature de la sénatrice (MoDem) Leïla Aïchi dans la 9e circonscription des Français de l’étranger (qui inclut le Maroc), en raison de ses critiques sur « les graves violations des droits de l’homme constatées par les ONG » au Sahara occidental[5].
Il crée la polémique, en 2019, en remettant la médaille d’or du Sénat à Mahmoud Archane, accusé d'être un tortionnaire des années de plomb sous le régime d'Hassan II, devenu sénateur au Maroc[6].
Lors du scandale d'espionnage Pegasus, un logiciel espion israélien utilisé par plusieurs pays — dont le Maroc — pour espionner des opposants politiques et des journalistes, Christian Cambon assure le royaume chérifien de sa « solidarité ». Il déclare dans la presse progouvernementale marocaine que le pays fait « l’objet manifestement de campagnes de presse et de dénigrement », relevant selon lui de « montages », de manœuvres « agitées par une main qui, comme d’habitude et depuis longtemps, rassemble les adversaires du Maroc » pour « ternir l’image du Maroc », car « la réussite du royaume crée des jalousies »[5].
Il dénonce, en 2023, la résolution adoptée par le Parlement européen critiquant les atteintes à la liberté de la presse et aux droits de l'homme au Maroc[5].
D'après le magazine Challenges, sa cheffe de cabinet tente, en novembre 2023, de modifier la section sur le Maroc de cet article Wikipédia[7].