Dans l'article d'aujourd'hui, nous allons analyser Christophe Charle sous différentes perspectives pour comprendre son importance et sa pertinence dans divers contextes. Christophe Charle est un sujet qui suscite de nombreux débats et suscite un grand intérêt dans la société d'aujourd'hui. Tout au long de l’histoire, Christophe Charle a joué un rôle clé dans le développement de l’humanité et a fait l’objet d’études dans différentes disciplines. À travers cet article, nous explorerons les différents aspects de Christophe Charle, en examinant ses implications sociales, économiques, culturelles et personnelles. De plus, nous examinerons comment Christophe Charle a évolué au fil du temps et comment il continue d'avoir un impact sur nos vies aujourd'hui. Sans aucun doute, Christophe Charle est un sujet qui mérite d’être analysé attentivement pour comprendre sa véritable portée et sa signification.
Président Association de réflexion sur les enseignements supérieurs et la recherche (d) | |
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Directeur Institut d'histoire moderne et contemporaine | |
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Naissance | |
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Formation |
École normale supérieure (- École des hautes études en sciences sociales (doctorat) (jusqu'en ) Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (doctorat) (jusqu'en ) Lycée Henri-IV |
Activités |
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Parti politique | |
Membre de |
Institut universitaire de France (- Comité d'histoire de la ville de Paris (d) Association de réflexion sur les enseignements supérieurs et la recherche (d) |
Directeurs de thèse | |
Étudiants de thèse |
Hervé Joly (d) (), Philippe Olivera (d) (), Blaise Wilfert (d) (), Nicolas Delalande (), Marie-Bénédicte Vincent () |
Distinctions |
Christophe Charle, né le à Paris, est un historien français, professeur émérite d'histoire contemporaine à l'université Panthéon-Sorbonne.
Après des études au lycée Henri-IV, il est élève à l'École normale supérieure rue d'Ulm (L 1970)[1] et étudiant à l'université Paris I Panthéon-Sorbonne jusqu'à l'agrégation d'histoire et au doctorat. Agrégé d'histoire en 1973, il réalise une thèse de 3e cycle d'histoire contemporaine sous la direction Pierre Vilar (soutenue en juin 1975)[2] et un doctorat d'État sous la direction de Maurice Agulhon (soutenu en janvier 1986)[3]. Après deux années dans l'enseignement secondaire, Il a été chercheur au CNRS de 1978 à 1991 (directeur de recherche en 1986), puis professeur à l'université Lyon III de 1991 à 1993. Il est professeur d'histoire contemporaine à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne depuis 1993 et a été professeur associé à l'Institut d'études politiques de Paris de 1992 à 2001. Il est spécialiste d'histoire sociale, d'histoire culturelle et d'histoire comparée européenne et a eu pour maîtres principaux Pierre Bourdieu et Maurice Agulhon.
De 2003 à 2013, il est membre senior de l'Institut universitaire de France (chaire d'histoire comparée des sociétés d'Europe occidentale) et, de 2000 à 2013, directeur de l'Institut d'histoire moderne et contemporaine. Il a reçu la médaille d'argent du CNRS en 2001[4], et a été décoré de l'ordre national du Mérite en 2013.
Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence et président de l'Association de réflexion sur les enseignements supérieurs et la recherche (ARESER) depuis 2005, qu'il a fondée avec Pierre Bourdieu en 1992. Il a été membre du Parti socialiste entre 1971 et 1975[5]. En 2008, il dénonce l'orientation « patriotique et centralisatrice » du projet de musée de l'histoire de France[6].
Il est également membre du comité de rédaction d'Actes de la recherche en sciences sociales et a été membre du comité de la Revue d'histoire moderne et contemporaine et d'Histoire de l'éducation. Il appartient au Comité d'histoire de la ville de Paris[7].
Ses travaux portent essentiellement sur les intellectuels, les universitaires, les écrivains, le théâtre, la presse et l'histoire comparée des sociétés européennes. Il s'est dernièrement intéressé à une histoire de la modernité et à une histoire des cultures en Europe au XIXe siècle.