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« Chromiste » redirige ici. Ne pas confondre avec Chromisme ni Chromite.
Ce règne a été proposé par le biologiste britannique Thomas Cavalier-Smith en 1981[1]. Les Chromista étaient d'abord un clade supposé d'organismes eucaryotes pour la plupart photosynthétiques, regroupant également certains organismes autrefois classés parmi les « champignons inférieurs » — donc hétérotrophes. La pertinence de ce clade a été remise en cause par des études de 2007[2] rapprochant les Stramenopiles des Rhizaria. Il a donc été proposé d'utiliser le terme de Chromista pour désigner l'ensemble présumé monophylétique formé par les Harosa et les Hacrobia à la place du terme de Chromalveolata au sens large[3].
Le groupe Chromista est polyphylétique, alors, ce nom n'est plus utilisé pour le groupe[5],[6],[7].
Étymologie
Le terme Chromista dérive du grec χρῶμα / chróma, couleur, en référence aux pigments de ces organismes qui leur donne une teinte plus ou moins soutenue. Le terme fut inventé en 1981 par le biologiste britannique Thomas Cavalier-Smith, sur la base de termes plus anciens, par exemple Chromophyta.
Caractéristiques propres
On trouve des caractéristiques propres au groupe, qui peuvent avoir disparu secondairement :
Le chloroplaste de la cellule est constitué de quatre membranes : les deux membranes communément trouvées chez les chloroplastes et deux membranes externes reliées le plus souvent à l'enveloppe nucléaire. Cette situation serait le résultat d'une endosymbiose secondaire et plus précisément d'une ingestion d'une Rhodophyte unicellulaire par un autre Eucaryote. À ce sujet, la communauté scientifique cherche à savoir si l'endosymbiose s'est effectuée plusieurs fois au sein des Chromistes ou si cela a été réalisé une seule fois — et l'endosymbiote ensuite perdu —, ce qui résoudrait le problème des Straménopiles non photosynthétiques.
↑Thomas Cavalier-Smith, M. T. Allsopp et E. E. Chao, « Chimeric conundra: are nucleomorphs and chromists monophyletic or polyphyletic? », Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America, vol. 91, no 24, , p. 11368–11372 (PMID7972066, PMCID45232, DOI10.1073/pnas.91.24.11368, Bibcode1994PNAS...9111368C)
↑Jürgen F. H. Strassert, Iker Irisarri, Tom A. Williams et Fabien Burki, « A molecular timescale for eukaryote evolution with implications for the origin of red algal-derived plastids », Nature Communications, vol. 12, no 1, , p. 1879 (ISSN2041-1723, PMID33767194, PMCID7994803, DOI10.1038/s41467-021-22044-z)
↑Damien Aubert, Classer le vivant : Les perspectives de la systématique évolutionniste moderne, Paris, Ellipses, , 496 p. [détail de l’édition] (ISBN978-2-340-01773-3), chap. V (« La classification synthétique »), p. 324.