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Naissance | |
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Décès | |
Activités |
Professeur d'université (à partir de ), écrivain |
A travaillé pour |
Université de Genève (à partir de ) Collège et Université des arts de Nîmes (- |
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Personne liée |
Philippe Mélanchthon (épistolier) |
Claude Baduel, ou encore Claudius Baduellus en latin, né à Nîmes en 1499 environ[1], et mort à Genève en 1561, est un écrivain français, devenu genevois en 1556.
Devant son éducation aux bienfaits de la reine de Navarre, sœur de François Ier, ainsi que l'atteste une lettre de cette princesse, il en profita si bien qu'il s'éleva de bonne heure à un rang distingué parmi les professeurs de l'université de Paris. Lorsqu'en 1539, le roi établit un collège des arts à Nîmes, la place de recteur lui fut offerte, et, quoique les honoraires en fussent de moitié moindre que le traitement dont il jouissait, il n'hésita pas à se rendre aux vœux de ses concitoyens.
En 1555, il se retira à Genève pour pouvoir professer en paix le calvinisme, qu'il avait embrassé l'un des premiers et auquel il était très attaché. Il se fit même recevoir ministre : on lui donna une église à desservir et une chaire de philosophie et de mathématiques. Là, comme à Nîmes, il partagea son temps entre ses devoirs et la composition d'ouvrages d'éloquence et de littérature. Il fut reçu bourgeois de Genève en 1556[2].
Professeur protestant qui donna une traduction des sermons de Calvin, il fut un bon orateur et excellent latiniste. Claude Baduel mourut à Genève, en 1561.
Tous ses ouvrages sont écrits en latin ; le style en est élégant et pur : la liste s'en trouve dans l' Histoire littéraire de Genève, par Jean Senebier ; les principaux sont :