Dans cet article, nous explorerons le monde fascinant de Claudia Bret-Charbonnier, dont on sait très peu de choses. Claudia Bret-Charbonnier fait l'objet de débats et d'études depuis des années, mais il reste encore de nombreux mystères à résoudre. De son origine à son impact sur la société, Claudia Bret-Charbonnier a laissé une marque indélébile dans l'histoire. À travers cet article, nous approfondirons les détails les plus intrigants et inconnus de Claudia Bret-Charbonnier, découvrant son importance et sa pertinence dans différents aspects de la vie quotidienne. Préparez-vous pour une plongée profonde dans l'univers de Claudia Bret-Charbonnier, où vous pourrez apprendre toutes les données pertinentes et curiosités qui vous surprendront.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom de naissance |
Claudine Charbonnier |
Nationalité | |
Activité |
Maîtres |
Édouard Cabane, Ernest Quost, Pierre Bourgogne, Gabriel Édouard Thurner (d) |
---|
Claudia Julia Bret-Charbonnier, née à Lyon le , où elle est morte le [1], est une artiste-peintre française.
Elle a essentiellement peint des fleurs et des paysages [2], mais également des portraits.
Claudia Bret-Charbonnier est la fille d'Anne-Françoise Bourguyelle et de Claude Charbonnier, menuisier[3]. Elle se marie le [3].
Claudia Bret-Charbonnier est élève à Paris d'Édouard Cabane, Michel Pradel, Jules Ferdinand Médard[4], de Clothilde Alliod, d'Ernest Quost, de Thurner et de Pierre Bourgogne[3]. André Benoît Perrachon lui aurait donné des cours à Lyon[3].
Claudia Bret-Charbonnier commence à exposer au Salon de la Société lyonnaise des beaux-arts en 1885 et au Salon d'automne en 1889[4]. Elle y expose jusqu'en 1945 des peintures et aquarelles, essentiellement de fleurs, ainsi que des paysages, et des portraits au pastel. Elle participe également régulièrement à plusieurs salons provinciaux, comme celui de Roanne en 1890 et de Grenoble à la fin du siècle[4] ou de Nîmes[5].
Elle obtient beaucoup de succès dans les dernières années du siècle où elle produit de nombreuses peintures. Elle est sociétaire aux Artistes français et à l'Union des femmes peintres et sculpteurs. Elle représente les peintres lyonnais au Concours national d'agriculture et d'horticulture en 1907. Elle bénéficie d'acquisitions de l’État à deux reprises, et est à la tête d'un des ateliers les plus fréquentés et prestigieux de Lyon[6], où travaillent en particulier des jeunes filles de bonne famille[7].
Elle participe à une dernière exposition en 1943[3].