Dans l'article suivant, nous explorerons en détail l'impact de Contrat en France sur la société actuelle. Depuis son apparition, Contrat en France a généré des controverses et des débats, attirant l'attention d'experts et de personnes de tous âges et de tous intérêts. Au fil des années, Contrat en France s'est avéré avoir un impact significatif sur divers aspects de la vie quotidienne, de la façon dont nous communiquons à la façon dont nous consommons l'information. Dans cet article, nous discuterons de la manière dont Contrat en France a façonné notre culture, influencé nos décisions et remis en question nos perceptions, ainsi que les éventuelles implications futures de sa présence dans notre société.
En France, aux termes du Code civil français, le contrat est un :
« accord de volonté entre deux ou plusieurs personnes destiné à créer, modifier, transmettre ou éteindre des obligations. »
— Article 1101 du Code civil[1]
Le contrat apparaît, au sens strict, comme une catégorie particulière de convention. La convention se distingue pourtant du contrat. En effet, la convention permet de produire des effets de droits quelconques (transmettre ou éteindre des obligations juridiques). Le contrat va lui avoir un rôle créateur : il va créer des effets de droit, et ces effets seront des obligations juridiques[2].
Dans son article 1128, le Code civil français énumère trois conditions essentielles pour la validité des conventions :
Les deux premières conditions se rapportent à un aspect essentiel du contrat, émanation de la volonté des parties. La dernière condition résulte de l'article 1162 du Code civil, selon lequel le contrat ne doit pas avoir des stipulations ou un but contraire à l'ordre public[3], et de l'article 1163 qui fait référence à l'objet du contrat[4].
Dans son article 1103[5], le Code civil dispose que « Les contrats légalement formés tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faits ». On parle ainsi d'un contrat comme de la loi des parties. Les juristes interprètent souvent cette disposition comme une application de la théorie kantienne d'autonomie de la volonté. Le contrat est en effet une source d'obligations acceptées et choisies par les parties, contrairement à d'autres obligations non voulues telles que celles qui découlent des règles de la responsabilité civile. Toutefois c'est bien la loi qui confère leur caractère obligatoire à ces conventions, dont les dispositions ne sauraient contrevenir à des dispositions expresses du droit positif. En France, la force obligatoire du contrat découle donc de la loi elle-même, et non simplement d'un supposé pouvoir des parties capables de créer du droit ex nihilo.
Du rôle prépondérant de la volonté des parties découle le principe de liberté contractuelle, qui est un des fondements de la vie sociale moderne. Cette liberté est exprimée dans l'article 4 de la Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen de 1789.
Parmi les actes juridiques, qui sont des faits qui recherchent volontairement des conséquences juridiques, le contrat a pour caractéristique spécifique de comporter nécessairement un accord de volontés. Il faudrait, en outre, selon certains auteurs de droit public, que cet accord soit librement débattu et fasse naître des droits subjectifs. Ce ne serait pas le cas, lorsque, par exemple, si l'accord de volontés tend à la création d'une règle de droit objectif devant constituer les statuts d'un groupe social : contrat de mariage, contrat de société, etc., ou encore lorsqu'il n'est que la condition d'application d'une situation juridique dont le contenu a été préétabli par les autorités publiques : il n'y a alors tout simplement d'accord de volonté que sur les conditions d'application, accord qui n'aura pas été librement débattu puisqu'il ne s'agira alors pas débattre librement de l'acte unilatéral de l'Administration. Ces critères supplémentaires, posés par des auteurs de droit public, comme Léon Duguit[6] ou de Laubadère[7], est rejetée par la doctrine du droit civil, car ils risqueraient en réalité d'aboutir à en réduire considérablement la qualification de contrat, du fait des multiplications des dispositions impératives, que l'on rencontre par exemple dans les contrats de travail.
La notion d'autonomie de la volonté a une influence sur le contenu des obligations nées du contrat et sur sa forme :
Selon le type ou l'objet du contrat, on peut former plusieurs classifications des contrats :