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Correspondance littéraire | |
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Pays | ![]() |
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Langue | Français |
Genre | Critique littéraire |
Date de fondation | 1747 |
Date du dernier numéro | 1793 |
Ville d’édition | Paris |
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La Correspondance littéraire, philosophique et critique est un périodique français manuscrit destiné à l’aristocratie cultivée du XVIIIe siècle. Elle est publiée de 1748 à 1793. Elle est fondée par Raynal sous le titre Nouvelles littéraires. En 1753, il cède la main à Grimm qui lui donnera son titre de Correspondance littéraire, philosophique et critique. À partir de 1769, ce dernier délèguera une partie de sa charge à Diderot[1]. Jacques-Henri Meister sera le dernier directeur de la revue.
La publication extrêmement confidentielle et manuscrite de ce périodique lui permettait d’échapper à la censure, puisqu'il s'agit d'une revue manuscrite dont chaque numéro est recopié pour chaque abonné à la main et expédié comme correspondance privée, échappant ainsi à la censure à laquelle sont soumis tous les imprimés. Cet avantage a permis, entre autres, à Denis Diderot de rédiger librement les Salons où il critiquait parfois très durement les artistes.
La liste des abonnés de la Correspondance ne fut jamais directement révélée. L’édition lacunaire de 1812 indique toutefois les noms suivants. Les titres donnés cachent parfois le lecteur effectif dans la mesure où l’on ne sait pas de quelle année date le relevé. En 1759, on compte une quinzaine d’abonnés dont aucun ne réside en France :