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Administrateur général de la Comédie-Française |
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(à 64 ans) |
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François Chéron des Carrières, dit Chéron, né le [1] à Paris et mort le , est un homme de lettres et un haut fonctionnaire français.
Fils de Marin Chéron, entrepreneur ordinaire des travaux du roi »[2] et "Grand Planteur du Roi" sous Louis XVI, François Chéron manifeste dès les débuts de la Révolution française, des penchants royalistes. Arrêté en 1793 pour ses opinions monarchistes[3]. Il semble ensuite se tourner vers le théâtre, écrivant dans l'anonymat, entre autres une comédie satirique aux côtés du comédien Louis-Benoît Picard.
En 1812, il commence à éditer la Correspondance littéraire de Diderot et Grimm mais se heurte à la censure. En 1814, il exprime son antibonapartisme, en appelle à la liberté de la presse, ce qui lui vaut d'être arrêté durant les Cent-Jours.
En 1818, il est nommé commissaire du gouvernement pour le Théâtre français, poste qu'il occupe jusqu'au : ce jour-là, il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en remerciement de ses services.
Il a commis quelques poèmes puis des critiques littéraires hostiles aux romantiques.
Il a laissé des souvenirs sur la période de la Restauration.
Il est l'un des frères de Louis-Claude Chéron de La Bruyère.
Il est l'ancêtre d'Hervé Bazin.