Denis Ier

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Denis Ier
Illustration.
Le roi Denis Ier, enluminure issue de la Généalogie des rois de Portugal (XVIe siècle).
Titre
Roi de Portugal et des Algarves

45 ans, 10 mois et 22 jours
Prédécesseur Alphonse III de Portugal
Successeur Alphonse IV de Portugal
Biographie
Dynastie Capétien Maison royale de Portugal
Date de naissance
Lieu de naissance Lisbonne
Date de décès (à 63 ans)
Lieu de décès Santarém
Nature du décès Mort de maladie inconnue mais douloureuse
Père Alphonse III de Portugal
Mère Béatrice de Castille
Conjoint Sainte Élisabeth de Portugal
Enfants Constance de Portugal
Alphonse IV de Portugal
Héritier Alphonse IV de Portugal

Signature de Denis Ier

Denis Ier
Rois de Portugal

Denis Ier de Portugal, surnommé « le Laboureur » [1], le « Roi Agriculteur », le « Roi Poète », « le Roi Troubadour », « le Père de la Patrie » [2] ou encore « le Libéral », né à Lisbonne le et mort à Santarém le . Il est considéré comme l'un des plus importants poètes troubadours portugais des XIIIe et XIVe siècles [3],[4].

Biographie

Jeunesse

Il est le deuxième fils du roi Alphonse III et de son épouse l'infante Béatrice de Castille (1242-1303) et devient le sixième roi de Portugal en 1279 (et le cinquième de l'Algarve) à la place de son aîné Robert de Portugal qui a été déclaré bâtard de Mahaut de Dammartin. Comme héritier du trône, Denis est très tôt formé par son père pour diriger le Portugal. Il est considéré comme le premier monarque portugais véritablement lettré, ayant toujours signé de son nom complet [5].

Règne

Politique extérieure et religieuse

Le royaume du Portugal de 1275 à 1314.

Lorsqu'il monte sur le trône, le Portugal est de nouveau en conflit avec l'Église catholique. Denis Ier tente de résoudre le problème en signant un traité avec le pape Nicolas III où il promet de protéger les intérêts de Rome au Portugal [6],[7]. En 1289, le roi signe le Concordat des Quarante Articles avec le pape Nicolas IV, jurant également de protéger les intérêts de l'Église dans son royaume [8].

En 1319, Denis Ier concède l'asile aux Templiers, accusés d'hérésie et condamnés à l'anéantissement par le pape Clément V, en créant un ordre militaire portugais sous le nom d'Ordre du Christ [9],[10]. Ce nouvel ordre est conçu pour être une continuation de l'Ordre du Temple [11]. Sa reconnaissance et son droit à hériter des biens ainsi que des propriétés des Templiers sont négociés par Denis Ier avec le pape Jean XXII [12].

La Reconquista portugaise étant terminée, Denis Ier est surtout un roi administrateur, malgré quelques tensions avec la Castille dont il obtient la possession des bourgades de Serpa ainsi que de Moura, des territoires au-delà du Guadiana et la rectification des frontières de Ribacoa. Il signe pour cela le traité d'Alcañices avec Ferdinand IV de Castille le , dont l'accord est toujours en vigueur. Une fois ce conflit résolu, aucune autre guerre n'a lieu durant son règne, justifiant ainsi le souvenir qu'il a laissé d'un roi très pacifique pour son époque [13].

Politique intérieure et économique

Denis Ier et la reine Élisabeth de Portugal, portrait à l'Université de CoimbraSala dos Capelos

Les priorités de son gouvernement sont l'organisation du pays et la continuation des actions de son père. Denis Ier publie le noyau du Code civil et criminel se concentrant sur la protection des classes les moins favorisées contre les abus de pouvoir. Ces lois ont survécu dans le cadre du « Livre des lois et des règlements »[14],[15] et dans les « Ordonnances alphonsines », rédigées sous le règne d'Alphonse V de Portugal [16],[17]. Ces « codes législatifs » sont des compilations de lois et de droits coutumiers municipaux, amendés et reformulés par la Couronne [18].

Durant son règne, il voyage dans le pays, visitant les bourgs et apportant des solutions aux problèmes rencontrés. Avec l'aide de son épouse, la reine Elisabeth d'Aragon dite sainte Elisabeth (1271-1336), Denis Ier essaye d'améliorer la vie des pauvres et fonde diverses institutions de charité. Préoccupé par les infrastructures du pays, le roi ordonne l'exploitation des mines de cuivre, d'argent, d'étain ainsi que de fer et organise les exportations de ces produits vers les autres pays européens [19].

Denis Ier institue la première réforme agraire du Portugal qui redistribue des terres en morcelant les propriétés féodales et ecclésiastiques [20]. Ses décrets interdisent à l'Église ainsi qu'aux ordres religieux d'acheter des terres, exigent des ventes, des confiscations et empêchent l'héritage des biens des recrues des ordres [21]. Sa politique encourage le développement économique avec la fondation de diverses communautés rurales, de marchés et de foires commerciales, permettant la création de nombreuses villes [22]. Sous son règne, le Portugal produit plus de céréales, dépassant ses propres besoins, et exporte l'excédent. Une de ses plus grandes réussites est la plantation de pins pour protéger les terres arables de l'avancée des sables sur les côtes, dont est issue la forêt de Leiria qui existe toujours [23]. Le roi favorise également le développement de la médecine vétérinaire [24].

Denis Ier défend les intérêts des marchands portugais et crée un fonds appelé la « Bolsa de Comércio », la première forme documentée d'assurance maritime en Europe, approuvée le 10 mai 1293 [25],[26]. Cela permet la formation d'une marine marchande pour le commerce avec la Catalogne, la Bretagne, les pays nordiques et l'Angleterre, avec qui il signe un traité commercial en 1308. Il obtient un contrat en 1317 pour les services du marin et marchand génois Manuel Pessanha (forme portugaise de l'italien « Pezagno ») comme amiral de sa flotte [27]. Pessanha et ses successeurs fournissent vingt capitaines génois pour commander les galères du roi à Lisbonne. Denis Ier est le promoteur des grands navigateurs et fait venir des pays voisins des techniciens en navigation [28], fondant ainsi la Marine portugaise[29].

Arts et politique culturelle

Le Parchemin Sharrer avec des cantigas de Denis Ier de Portugal.

La culture est un autre de ses foyers d'intérêt. Denis Ier aime la littérature et écrit lui-même quelques livres sur des thèmes comme l'administration, la chasse et des ouvrages de poésie [30]. Il a été un des plus grands troubadours de son temps avec 137 cantigas qui lui sont attribuées et qui appartiennent aux trois principaux genres du Lyrisme Galaïco-portugais [31]: 73 cantigas de amor, 51 cantigas de amigo et 10 cantigas de escarnio y maldecir. Ces œuvres sont conservées dans deux manuscrits du début du XVIe siècle, le « Cancioneiro Colocci-Brancuti » et le « Cancioneiro da Vaticana » [32]. En 1990, l'érudit américain Harvey L. Sharrer a découvert la musique originale de sept cantigas d'amor du roi Denis Ier sur un parchemin fragmenté qui a servi de couverture à un livre de minutes notariales du XVIe siècle [33],[34]. Ce document porte aujourd'hui le nom de « Parchemin Sharrer » à l'Institut des archives nationales [35].

En 1290, Denis Ier poursuit la centralisation systématique du pouvoir royal en décrétant le portugais « langue officielle des procédures juridiques et judiciaires » [36],[37],[38].

Sous son règne, Lisbonne devient un centre de culture et d'apprentissage [39],[40]. La première université du Portugal, appelée « Estudo Geral », est fondée avec la signature du document « Scientiae thesaurus mirabilis » à Leiria le 3 mars 1290 [41]. Des cours sur les arts, le droit civil, le droit canonique et la médecine sont donnés et, le 15 février 1309, le roi accorde à l'université une charte, la « Magna Charta Privilegiorum » [42]. L'université est déplacée plusieurs fois entre Lisbonne et Coïmbra, pour finalement s'installer définitivement à Coïmbra en 1537 par ordre du roi Jean III [43].

Dernières années et décès

Les dernières années de son règne sont marquées par des conflits entre ses deux fils : le prince héritier Alphonse face à Alphonse Sanches, comte d'Albuquerque et enfant illégitime [44],[45],[46]. L'infant Alphonse tente d'attaquer son demi-frère à Lisbonne mais le roi protège son bâtard, interdisant à l'héritier du trône de pénétrer dans la ville. Sa désobéissance conduit le père et le fils légitime à s'opposer militairement à Alvalade. La reine Élisabeth décide d'intervenir directement afin d'empêcher la bataille, s'interposant entre les deux armées. Denis Ier et le prince héritier finissent par conclure la paix définitive en 1324 [47].

En 1322, Denis Ier est victime d'une crise cardiaque mineure ou d'une attaque cérébrovasculaire. Il vit encore trois ans, affaibli et porté « sur des échasses ainsi que par les bras de serviteurs ». Le 7 janvier 1325, une angine de poitrine ou myocardite aurait causé le décès du roi à Santarém [48],[49]. À sa mort, il est enterré au Monastère de Saint-Denis à Odivelas, qu'il a fondé durant son règne [50].

Descendance

Le roi a également plusieurs enfants illégitimes [53]:

  • de Grácia Anes Fróis [54]:
    • Pierre Alphonse (1287-1354), 3e comte de Barcelos ;
  • d'Aldonça Rodrigues Telha [55]:
  • de Marie Pires [56]:
    • Jean Alphonse (1295-1326 [57]), seigneur de Lousã et Arouse ;
  • de Marinha Gomes :
    • Marie Alphonse (1301-1319) qui épouse Juan Alfonso de la Cerda, noble de Castille [58];

Titre complet

Roi de Portugal et de l'Algarve par la grâce de dieu

Ascendance

Notes et références

  1. (en) Michael Ray, Portugal and Spain, Britanncia Educational Publishing, (ISBN 978-1-61530-993-1, lire en ligne), p. 53
  2. Duarte Nunes de Leão, Primeira parte das Chronicas dos Reis de Portugal, impresso por Pedro Craesbeeck, (lire en ligne), p. 123
  3. Rip Cohen, Thirty-two Cantigas D'amigo of Dom Dinis: Typology of a Portuguese Renunciation, Hispanic Seminary of Medieval Studies, (ISBN 978-0-942260-55-7, lire en ligne), p. 99
  4. Portuguese Studies Newsletter, International Conference Group on Modern Portugal, (lire en ligne), p. 42
  5. (pt) Para a história da literatura popular portuguesa, Instituto Camões, PDF (lire en ligne)
  6. Art. « Templiers », dans l’Encyclopædia Universalis, corpus 22, 1989, p. 269.
  7. Jean-François Labourdette, L’Ordre du Christ ou l’esprit de croisade perpétué, professeur émérite à l’université Charles-de-Gaulle-Lille III.
  8. F. A. Dutra, "Dinis, King of Portugal", in Michael Gerli (ed.), Medieval Iberia: An Encyclopedia (Routledge, 2003), p. 285.
  9. Matthew Anthony Fitzsimons et Jean Bécarud, L'Église catholique aujourd'hui : l'Europe occidentale, University of Notre Dame Press, (159)
  10. Helen J. Nicholson, Les Croisades, Greenwood Publishing Group, (ISBN 978-0-313-32685-1, 98)
  11. William Moseley Brown, Simeon B. Chase et Paul Tice, Points forts de l'histoire des Templiers : comprend la Constitution des Templiers, Book Tree, (ISBN 978-1-58509-230-7, lire en ligne), p. 48
  12. Michael Haag, Les Templiers : Histoire et mythe : Du Temple de Salomon aux francs-maçons, Profile Books, (ISBN 978-1-84765-251-5, lire en ligne), p. 246
  13. a et b Baquero Moreno 1997.
  14. Université de Lisbonne. Faculté de droit, Livre des lois et ordonnances, Université de Lisbonne, Faculté de droit, (lire en ligne)
  15. L'Institut, Université Imprensit 2, (lire en ligne), p. 125
  16. Susan Canty Quinlan et Fernando Arenas, Lusosex : Genre et sexualité dans le monde de la parole Portugais (ISBN 978-1-4529-0561-7, lire en ligne), p. 10
  17. Darlene Abreu-Ferreira et Ivana Elbl, Les femmes dans le monde lusophone au Moyen Âge et au début de la période moderne : Revue d'études portugaises, vol. 13, n° 1 et 2 (édition spéciale) (ISSN 1057-1515), Baywolf Press, (lire en ligne), p. 77
  18. Antonio Henrique R. de Oliveira Marques, La vie quotidienne au Portugal à la fin du Moyen Âge, Univ of Wisconsin Presse, (ISBN 978-0-299-05584-4, lire en ligne), p. 182
  19. Francis A. Dutra, Ibérie médiévale : une encyclopédie, Routledge, (ISBN 978-1-136-77162-0, lire en ligne), p. 285
  20. Samuel J. Miller, Portugal and Rome C. 1748-1830: An Aspect of the Catholic Enlightenment, Gregorian Biblical BookShop, (ISBN 978-88-7652-464-6, lire en ligne), p. 200
  21. Dauril Alden, The Making of an Enterprise: The Company of Jesus in Portugal, Its Empire, and Beyond, 1540-1750, Stanford University Press, (ISBN 978-0-8047-2271-1, lire en ligne), p. 431
  22. Francis A. Dutra, Ibérie médiévale : une encyclopédie, Routledge, (ISBN 978-1-136-77162-0, lire en ligne), p. 285
  23. (en) H. V. Livermore, Portugal: A Traveller's History, Boydell Press, (ISBN 978-1-84383-063-4, lire en ligne), p. 15
  24. sous la direction de Patrice Franchet-d'Espèrey et de Monique Chatenet, en collaboration avec Ernest Chenière, Les Arts de l'équitation dans l'Europe de la Renaissance, Arles, Actes Sud, , 447 p. (ISBN 978-2-7427-7211-7), Le traité du roi D. Duarte (page140)
  25. Bailey Wallys Diffie, Fondations de l'Empire portugais, 1415-1580, U of Minnesota Press, (ISBN 978-0-8166-0782-2, lire en ligne), p. 21
  26. John Brande Trend, Portugal, Praeger, (lire en ligne), p. 103
  27. Joseph F. O'Callaghan, A History of Medieval Spain, Cornell University Press, (ISBN 978-0-8014-6871-1, lire en ligne), p. 458
  28. Richard H. Major, La vie du prince Henri de Portugal surnommé le Navigateur, Asher, (lire en ligne), 151
  29. James Anderson, La vie quotidienne à travers le commerce : achat et vente dans l'histoire du monde, ABC-CLIO, (ISBN 978-0-313-36325-2, lire en ligne), p. 134
  30. (en) Rip Cohen, Thirty-two Cantigas D'amigo of Dom Dinis: Typology of a Portuguese Renunciation, Hispanic Seminary of Medieval Studies, (ISBN 978-0-942260-55-7, lire en ligne), p. 99
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  32. Ted Gioia, Love Songs: The Hidden Histoire, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-935757-4, lire en ligne), p. 115
  33. Denis Ier (Roi de Portugal) et Manuel Pedro Ferreira, Cantus Coronatus D'El-Rei Dom Dinis: 7 Cantigas by King Dinis of Portugal, Edition Reichenberger, (ISBN 978-3-937734-09-5, lire en ligne), p. 312
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  43. Liam Matthew Brockey, Le Visiteur : André Palmeiro et les Jésuites en Asie, Harvard University Presse, (ISBN 978-0-674-41668-0, lire en ligne), p. 36
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  45. (pt) Isabel Lencastre, Bastardos Reais Os Filhos Ilegítimos dos Reis de Portugal, Leya, (ISBN 989-555-846-5, lire en ligne), p. 19
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  47. (pt) João Ferreira, Histórias rocambolescas da história de Portugal, Esfera dos Livres, (ISBN 978-989-626-216-7, lire en ligne)
  48. (pt) Vanda Marques, Como Pôde uma Laranja matar um rei, Revista Sábado n.º 547, 23 au 29 octobre 2014
  49. José Mattoso et Armindo de Sousa, Histoire du Portugal. 2, La monarchie féodale (1096-1480), Editorial Estampa, (ISBN 978-972-33-1263-8, lire en ligne), p. 140
  50. John Dos Passos, L'histoire du Portugal : trois siècles d'exploration et de découvertes, Knopf Doubleday Publishing Group, (ISBN 978-0-307-78706-4, lire en ligne), p. 66
  51. C.W. Previte-Orton, The Shorter Cambridge Medieval History, vol. II: Du XIIe siècle à la Renaissance, Cambridge at the University Press, , p. 825
  52. Humberto Baquero Moreno, Relações entre os Reinos Peninsulares (1290-1330), (lire en ligne)
  53. Michael Jones, The New Cambridge Medieval History: Volume 6, C.1300-c.1415, Cambridge University Press, (ISBN 978-0-521-36290-0, lire en ligne), p. 634
  54. Ana Raquel da Cruz Parra, Paternité au Moyen Âge : le cas de D. Dinis, (lire en ligne), p. 83
  55. Ana Raquel da Cruz Parra, A Paternidade na Idade Média: o caso de D. Dinis, (lire en ligne), p. 94
  56. (pt) José Augusto Sotto Mayor Pizarro, Linhagens Medievais Portuguesas: Genealogias e Estratégias (1279-1325), Porto, Repositório da Universidade do Porto, , 196-199 p. (ISBN 9729801835, lire en ligne)
  57. José Augusto Sotto Mayor Pizarro, Linhagens Medievais Portuguesas: Genealogias e Estratégias (1279-1325), Oporto, , 196–199 p. (ISBN 9729801835, hdl 10216/18023, lire en ligne)
  58. José Augusto Sotto Mayor Pizarro, Linhagens Medievais Portuguesas: Genealogias e Estratégias (1279-1325), Porto, Repositório da Universidade do Porto, , 199-200 p. (ISBN 9729801835, lire en ligne)

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes