Dans cet article, nous explorerons l'importance de Don Airey dans la société contemporaine. Depuis ses origines jusqu'à nos jours, Don Airey a exercé une grande influence dans divers domaines de la vie quotidienne. Tout au long de l’histoire, Don Airey a été un objet de fascination et d’étude, et son impact a laissé sa marque sur la culture, la politique, l’économie et la psychologie. Grâce à une analyse détaillée, nous découvrirons comment Don Airey a façonné nos perceptions et nos comportements, et examinerons son rôle clé dans la formation des identités individuelles et collectives. De même, nous approfondirons les différentes perspectives et approches qui ont été développées autour de Don Airey, afin de mieux comprendre sa pertinence dans le monde d'aujourd'hui.
Aîné de six garçons, Donald Smith Airey est bercé par le jazz durant son enfance, avant d'étudier la musique et l'anglais à l'université de Nottingham, puis à Manchester avec le Polonais Ryszard Bak[1].
Il abandonne la scène de 1992 à 1995 en raison de problèmes de santé de son fils, qui guérit en 1995.
Fervent supporter du club de football de sa ville natale, Sunderland A.F.C., il vit désormais avec sa femme et ses trois enfants dans le sud-ouest de l'Angleterre.
En 2013, Don Airey joue sur le titre Move On sur l'album Big Trouble du groupe Hollywood Monsters avec la participation de Steph Honde (chant et guitare), Vinny Appice (batterie), Tim Bogert (basse) et Paul Di'Anno (chant). L'album sort en 2014[2]. Il joue aussi sur la pièce "Tearing the Mist de l'album A Disturbing Awakening d'AraPacis sorti en 2014[3].
Le 8 avril 2016, Deep Purple est intronisé au Rock and Roll Hall of Fame mais cette distinction ne s'étend pas à tous les membres du groupe : les seuls concernés sont Ritchie Blackmore, Ian Gillan, Roger Glover, Ian Paice, Rod Evans, Glenn Hughes, David Coverdale et Jon Lord à titre posthume. Don Airey, bien que présent dans le groupe depuis près de quinze ans n'est pas récompensé, tout comme le guitariste Steve Morse, membre du groupe depuis plus de vingt ans. Pour Gillan, l'oubli de Steve Morse et Don Airey est « très bête » et reflète le caractère « arbitraire » de la sélection effectuée par le Hall of Fame[4].