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Eugène Rubens-Alcais | |
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Fonctions | |
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1er président du Comité international des sports des sourds | |
– (29 ans) |
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Successeur | ![]() |
3e président de la Fédération sportive des sourds de France[1] | |
– (5 ans) |
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Prédécesseur | Fernand Chante |
Successeur | Pierre Bernhard |
3e directeur de La Gazette des sourds-muets | |
– (28 ans) |
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Prédécesseur | Henri Gaillard |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Saint-jean-du-gard, France |
Date de décès | [2] (à 79 ans) |
Lieu de décès | Ivry-sur-Seine, France |
Nationalité | ![]() |
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Eugène Rubens-Alcais, né le à Saint-Jean-du-Gard et mort le à Ivry-sur-Seine, est un militant sourd français dans le secteur sportif. Il est le créateur du Club Cycliste des Sourds-Muets (1899), du Club Sportif des Sourds-Muets de Paris (1911), du journal Le Sportman Silencieux (1914), de la Fédération Sportive des Sourds-Muets de France (1918, aujourd'hui fusionnée avec Le Fédération française handisport (FFH), des Deaflympics (1924), et du Comité International des Sourds Silencieux (1924, aujourd'hui Comité international des sports des sourds). Son surnom est « Le baron de Coubertin sourd », en relation avec la création des Deaflympics ; il est mondialement célèbre dans la communauté sourde[3].
Il a effectué une formation en mécanique automobile[3].
Il est enterré au cimetière parisien d'Ivry (5e division).