Félicien Menu de Ménil

Cet article abordera le sujet de Félicien Menu de Ménil, qui a fait l'objet d'un grand intérêt et de débats au cours des dernières décennies. Félicien Menu de Ménil a retenu l'attention des universitaires, des professionnels et du grand public en raison de son impact sur divers aspects de la société contemporaine. Tout au long de cet article, Félicien Menu de Ménil sera analysé en profondeur, explorant son origine, son évolution, ses implications et ses scénarios futurs possibles. Différentes perspectives, théories et études seront examinées qui mettront en lumière ce phénomène, permettant au lecteur d'obtenir une compréhension globale et critique de Félicien Menu de Ménil. Grâce à l'examen détaillé de ce sujet, nous cherchons à promouvoir la réflexion et le dialogue autour de Félicien Menu de Ménil, contribuant à la compréhension et à la génération de nouvelles idées et approches pour relever les défis qu'il présente.

Félicien Menu de Ménil
Félicien Menu de Ménil.
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom dans la langue maternelle
Félicien Auguste Marie Menu de MénilVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Conjoint
Sophie Marie-Aline Menu de Ménil (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Blason
Œuvres principales

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Le baron Félicien Auguste Marie Menu de Ménil ( - ), est un consul, compositeur et espérantiste français.

Biographie

Félicien Menu de Ménil nait le à Boulogne-sur-Mer de Antoine Menu de Ménil et Marie-Thérèse Martinet[1],[2].

Félicien Menu de Ménil était un baron originaire de Flandre. Il apprit l'espéranto et dès 1901 commença à rédiger des articles dans diverses revues espérantistes internationales. Il fut un militant convaincu de cette langue construite et participa activement à sa diffusion. Il était lié à Joseph-Emmanuel Van Driesten qui illustra ses partitions.

Il devint directeur de la revue Franca Esperantisto et rédacteur en chef de la revue La Revuo, fondée par Carlo Bourlet en 1906.

En 1909, il composa la musique de La Espero, l'hymne de la collectivité espérantophone. Il a été inspiré par un poème écrit par Ludwik Lejzer Zamenhof (1859-1917).

En 1919, il devint membre du Komitato Lingvo, depuis rebaptisé académie d'espéranto.

Il s'occupa du département musical de École Niedermeyer de Paris.

Félicien Menu de Ménil meurt le à Neuilly-sur-Seine[2] et est inhumé à Château-Thierry[3].

Œuvres

  • (eo) Léon Courtinat, Historio de esperanto: movado kaj literaturo, 1887–1960, Agen : Imprimerie Moderne, 1964–1966, p. 166
  • (eo) Félicien Menu de Ménil, « La Mortigistoj de Stradella », court récit publié dans le magazine La Revuo,  ;
  • (eo) Félicien Menu de Ménil, Muzika Terminaro, 1908.
  • (fr) Félicien Menu de Ménil, Les préjugés contre l'espéranto, 1908 ;
  • (fr) Félicien Menu de Ménil, L'Héritage Klodarec, comédie en un acte, 1906 ;

Références

  1. ↑ « Acte d’état civil de Boulogne-sur-Mer », sur archivesenligne.pasdecalais.fr (consulté le )
  2. ↑ a et b (eo) « Enciklopedio de Esperanto - M », sur www.eventoj.hu
  3. ↑ « Deuils », Ciné-Comœdia,‎ (lire en ligne)

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes