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François René Boullaire, né le à Corbeil-Essonnes[1] et mort le à Paris[2], est un général de division, sous chef d’état-major des armées et écrivain français[3]. Il se distingue en tant qu’historien de la Guerre 14-18 et pour avoir, en tant qu’officier de cavalerie, préconisé -parmi d’autres précurseurs- la modernisation et la motorisation des armées, pour aboutir aux Unités de reconnaissance de l’Arme blindée-cavalerie[4].
Les combats de la Première Guerre mondiale auxquels ont participé les unités mentionnées en références sont repris en note annexe[9].
Après la guerre
Le colonel Boullaire commande le 2e régiment de hussards de 1919-1921. Le 2e régiment de hussards traverse le Luxembourg le 18 décembre, entre en Allemagne dès le 19 décembre pour s’installer dans la région de Simmern jusqu’au 11 mars 1919, puis à Ingelheim am Rhein (entre Bingen et Mayence) jusqu’en 1920 Il est nommé Brigadier en 1921, sous chef de l’État-Major des armées 1922-1924, puis Divisionnaire 1928, à la tête de la 1re division de cavalerie 1928-1932.
La Cavalerie russe en Mandchourie, par le capitaine breveté Boullaire. Éditeur Berger-Levrault, 1911
Historique du 2e corps de cavalerie du 1er octobre 1914 au 1er janvier 1919, d’après les archives historiques du ministère de la guerre. Éditeur Charles-Lavauzelle et Cie, 1923, 504 pages[13].
La division légère automobile, par le général Boullaire, Berger-Levrault : aperçu des conditions dans lesquelles doivent fonctionner les différents organes de sûreté d’une colonne automobile, il estime que le char est un engin nécessaire pour les actes de force, mais qu’il n’est pas un organe de reconnaissance.
Le 2e corps de cavalerie dans les Flandres du 9 avril au 3 mai 1918, par le colonel R. Boullaire et le commandant J. Brun.
L’arrêt de l’offensive allemande sur Vourcq en 1918, par le colonel Boullaire
Aéroplanes et cavalerie, par le capitaine Boullaire, de l’état-major de la 8e division de cavalerie, édition Berger-Levrault, 1911.
La division légère automobile, Général Boullaire Berger-Levrault, 1924
Revues militaires
Revue d’artillerie (Nancy, Paris, etc.)-1911
Revue de cavalerie (Paris)-1924
Revue militaire française publiée avec le concours de l’État-major de l’armée-Librairie Chapelot (Paris) Librairie militaire Berger-Levrault (Paris)-1923
↑ a et bQui êtes-vous?: Annuaire des contemporains; notices biographiques, Volume 3, p. 105.
↑Candice Menat, (Doctorante en Histoire 2e année sous la direction de Rémy Porte- IEP Aix-en-Provence), Parcours des officiers français ayant œuvré à la modernisation des armées, Séminaire doctoral ADESPO/CHERPA du 15 novembre 2012.
↑L’inspection générale de 1895 signale dans la rubrique langues étrangères : notions d’allemand et d’anglais. En octobre 1920, lors de son passage au Centre des Hautes Études Militaires, son supérieur le général Debeney, héros de la Grande Guerre, lui reconnaît une « instruction très étendue »http://www.sciencespo-aix.fr/media/MENAT_etude_prosopographique_15112012.pdf (IBID).
↑* 1914- Combats entre Servon et Binarville, puis stabilisation du front et occupation d’un secteur vers Bagatelle et le Four de Paris (guerre des mines)* Les 23 octobre, 17 et 20 novembre, 17, 20 et 31 décembre, attaques allemandes et contre-attaques françaises.* 5 janvier 1915, violente attaque allemande.**1915-* 5 mai : engagement prévu dans les offensives des 9 mai et 16 juin (deuxième bataille d’Artois)* 20 juin : éléments en secteur vers Souchez, Neuville-Saint-Vaast, Notre Dame de Lorette, la fosse Calonne* 25 septembre : intervention prévue lors de la deuxième bataille de Champagne* 28 octobre au 7 juillet 1916 : occupation d’un secteur vers Auberive-sur-Suippe et la ferme des Marquises. **1916- * septembre : intervention prévue dans la bataille de la Somme* 10 décembre 1916 au 29 janvier 1917, occupation d’un secteur vers Pernant, Chavonne. **1917- * Avril : intervention prévue dans la deuxième bataille de l’Aisne* 12 avril au 5 mai dans le secteur des Cavaliers de Courcy* 4 mai au 9 juin vers le fort de la Pompelle et Prunay* jusqu’au 21 janvier 1918 (le 15 août 1917, réduction du secteur, à gauche, jusqu’à Reims exclu) occupation d’un secteur entre les Cavaliers de Courcy et la ferme des Marquises.**1918- * 23 mars au 1er avril : engagement dans la deuxième bataille de Picardie, défense en retraite de la région Nesle, Roye-Lassigny, Ressons-sur-Matz* 5 au 8 avril : secteur de bataille vers le nord-est de Rouvrel et vers Hangard* 16 avril au 5 mai : engagement dans la troisième bataille des Flandres : combats du mont Kemmel (25 avril) et de Locre (29)* 1er au 20 juin : engagement dans la troisième bataille de l’Aisne (combats de Troësnes et de Dammard)* 8 au 17 août : intervention prévue dans la quatrième bataille de Champagne* engagement dans la troisième bataille de Picardie* 28 septembre au 3 octobre : bataille des crêtes de Flandres* participation à la poussée vers l’est durant la bataille de la Lys et de l’Escaut
↑La Revue militaire suisse de 1923 a publié une étude sur l’Historique du 1er corps de cavalerie (général Sordet) et a signalé à ses lecteurs à la page 477 l’important ouvrage du général Boullaire : l’Historique du 2e corps de cavalerie. (publication des imprimeries réunies à Lausanne)
La part de Foch dans la victoire / général Palat (Pierre Lehautcourt), auteur : Palat, Barthelémy-Edmond (1852-1931), éditeur : Charles-Lavauzelle et Cie (Paris), date d’édition : 1930
Biographie de François-René Boullaire sur le site non-officiel de l'École supérieure de guerre