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François d'Harcourt | |
Fonctions | |
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Député français | |
– (10 ans, 8 mois et 19 jours) |
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Élection | 8 février 1871 |
Réélection | 20 février 1876 14 octobre 1877 |
Circonscription | Calvados |
Législature | Ire et IIe (Troisième République) |
Groupe politique | Centre droit |
Successeur | Jérôme Esnault |
Biographie | |
Nom de naissance | Charles, François, Marie d'Harcourt |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Ancien 10e arrondissement de Paris |
Date de décès | (à 60 ans) |
Lieu de décès | 7e arrondissement de Paris |
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Duc d'Harcourt | |
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François d'Harcourt, 9e duc d'Harcourt, est un homme politique français né le à Paris, où il est mort le .
Fils d'Henri-Marie-Nicolas, marquis d'Harcourt (1808-1846), et de Césarine-Slanie de Choiseul-Praslin (1807-1843), Charles-François-Marie d'Harcourt naît à Paris le 26 juin 1835. Il est encore enfant lorsque ses parents meurent.
En novembre 1853, il est admis à Saint-Cyr, dont il sort en 1855, pour servir comme officier d'ordonnance du général de Mac Mahon pendant la guerre de Crimée. Il sert au siège de Sébastopol et à la bataille de Magenta, après laquelle il reçoit la croix de chevalier de la Légion d'honneur.
Il sert ensuite en Algérie puis à la campagne d'Italie et démissionne de l'armée en 1862, époque de son mariage.
En 1865, à la mort de son grand-père, Eugène d'Harcourt, 8e duc d'Harcourt, député, pair de France, ambassadeur de France, il devient le 9e duc d'Harcourt et succède aussi à son grand-père comme propriétaire du château familial de Thury-Harcourt (Calvados).
En août 1870, il reprend du service, mais est fait prisonnier, au début du mois de septembre, à la bataille de Sedan, puis détenu en Allemagne jusqu'en février 1871.
Le 8 février 1871, il est élu représentant du département du Calvados à l'Assemblée Nationale, où il siège au centre-droit, soutenant les différents ministères monarchistes et s'intéressant particulièrement aux questions touchant à l'organisation de l'armée.
En 1876, il est largement réélu député du Calvados et siège à l'assemblée jusqu'en 1881.
En 1877, il est promu officier de la Légion d'honneur.
L'Égypte et les égyptiens, qu'il publie à Paris, chez Plon, en 1893, provoque la réaction de Qasîm Amîn (Les Égyptiens : réponse à M. le duc d'Harcourt (Le Caire, Jules Barbier, 1894).
Il meurt à Paris, dans le 7e arrondissement, le 4 novembre 1895.
Le 9e duc d'Harcourt épouse à Paris, dans le 8e arrondissement, les 26 et 27 mai 1862, la comtesse Marie de Mercy-Argenteau (1843-1916), fille de Charles, comte de Mercy-Argenteau, chambellan du roi des Pays-Bas, et d'Adélaïde, baronne de Brienen. De ce mariage naquirent deux fils :