De nos jours, Francisca Tatchouop Belobe est un sujet qui a retenu l'attention et l'intérêt de nombreuses personnes à travers le monde. Avec les progrès de la technologie et la mondialisation, Francisca Tatchouop Belobe est devenu un aspect fondamental dans la vie quotidienne des gens. De la mode à la politique, Francisca Tatchouop Belobe a infiltré tous les aspects de la société moderne. Avec autant d’opinions et de perspectives différentes, il est important d’approfondir le sujet de Francisca Tatchouop Belobe pour comprendre son impact et sa pertinence dans le monde contemporain. Dans cet article, nous explorerons les nombreuses facettes de Francisca Tatchouop Belobe et analyserons son influence sur la société actuelle.
Vice-Présidente de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale |
---|
Naissance | |
---|---|
Nationalité | |
Formation | |
Activité |
A travaillé pour | |
---|---|
Parti politique |
Francisca Tatchouop Belobe, le à Malabo en Guinée équatoriale est la première femme vice-présidente de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC), ancienne 2e vice-présidente de l’Assemblée nationale pour le compte du Partido Democrático de Guinea Ecuatorial (PDGE) ainsi que ministre de l’Économie est un personnage de la vie politique de la Guinée équatoriale. .
Francisca Tatchouop Belobe est née le à Malabo en Guinée équatoriale.
Diplômée d'un Magister artium en sciences politiques[1] de l'Université Johan Wolfgang Goethe de Francfort-sur-le-Main en Allemagne, elle est spécialisée en développement social et économique[2].
Elle est la première femme vice-présidente de la Communauté économique des États de l'Afrique centrale (CEEAC)[3].
Elle a occupé la fonction de vice-ministre de l’Économie, du Commerce et de la Promotion des entreprises de 2008 à 2009, avant de devenir ministre du même département de 2009 à 2011[4].
Elle a été député du Partido Democrático de Guinea Ecuatorial.
À l'issue de cette expérience gouvernementale, elle a rédigé un guide d'investissement et commercial dénommé « Guinea a Mano 2013 »[1].