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Naissance | |
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Décès | |
Activités |
Membre de |
Accademia degli Apatisti Accademia degli Intronati Accademia nazionale di scienze, lettere e arti. Modène, Italie (d) Académie des Ricovrati de Padoue Accademia dei Gelati |
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Maîtres |
Clemente Settimi (d), Evangelista Torricelli, Alessandro Marsili (d) |
Giovanni Cinelli Calvoli (Florence, - Lorette, ), est un médecin, érudit et bibliographe toscan[1].
Giovanni Cinelli Calvoli nait à Florence le [1]. Il fait ses études à l’Université de Pise, où l’un de ses professeurs est Evangelista Torricelli. Reçu docteur en philosophie et en médecine, il se marie et retourne à Florence en 1651. Il est appelé cinq ans après à enseigner à Porto-Longone, localité de l’Île d'Elbe. La perte de sa femme, qui lui laisse quatre enfants, le force à s’établir au bourg St-Sépulcre, près de Florence. Il s’y remarie, et ses enfants grandissant, les besoins de leur éducation le rappelèrent à Florence où il fait la connaissance de Antonio Magliabechi, savant et garde de la bibliothèque du grand-duc où Cinelli fait des recherches sur l’histoire littéraire de la Toscane et sur les auteurs s'y afférant. Il rassemble des petits opuscules rares et les publie par cahiers, sous le titre de Biblioteca volante, scanzia 1, 2, 3, 4, etc., in-8°[2]. L’auteur joint parfois des critiques en note au titre des ouvrages comme dans le 4e cahier, au sujet d’une discussion entre deux médecins de Florence dont l'un, médecin du grand-duc Cosme III de Médicis, accuse Cinelli de calomnie, l’attaque en justice et le fait condamner à retirer l’édition de ce 4e cahier qui est brûlé publiquement par l’exécuteur de la justice[3]. Une fois libéré, Cinelli quitte Florence et sa famille pour Venise et y fait imprimer un écrit intitulé : Giustificazione di Giovanni Cinelli[4] où il fait part de son ressentiment. De Venise, il revient à Bologne où il est accueilli par les savants de l’Accademia dei Gelati ; il va à Modène enseigner la langue toscane tout en exerçant la médecine et continue à publier des tablettes et cahiers de sa Bibliothèque volante[3]. Cinelli est choisi, en 1609, par le cardinal Bichi, évêque d’Ancône, pour être son premier médecin. À la mort du prélat il continue à exercer à la Sainte Maison de Lorette où il meurt après une brève maladie le [1].