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Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Henri Charles Bernard Colboc |
Nationalité | |
Formation |
École nationale supérieure des beaux-arts (jusqu'en ) Institut d'urbanisme de Paris (jusqu'en ) |
Activités | |
Conjoint |
Geneviève Colboc (d) |
Enfants |
Pierre Colboc Emmanuelle Colboc (d) |
Mouvement | |
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Maîtres |
Paul Tournon, Charles Nicod, Henri Madelain (d) |
Partenaire |
Georges Philippe (d) (- |
Distinction |
Henri Colboc (21 juin 1917 à Bléville-19 décembre 1983 à Paris) est un architecte français[1] appartenant au mouvement moderne et ayant surtout travaillé pendant les années de reconstruction de l'après guerre.
Il étudie à l'École nationale supérieure des beaux-arts, ENSBA, avec Paul Tournon et est diplômé en 1942[2].
Il poursuit ses études à l'Institut d'urbanisme de Paris et est diplômé en 1943 après la soutenance de sa thèse intitulée :«L'évolution du Havre de Grâce» sous la direction de Pierre Lavedan[3].
En 1944, il reçoit le second grand Prix de Rome[4]. En 1948, il reçoit le prix Delano and Aldrich/Emerson Fellowship de l'American Institute of Architects décerné à un architecte français et lui permettant d'étudier et de travailler aux États-Unis [5].
En 1954, il devient Architecte Conseil auprès du ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme[6], spécialiste des régions très détruites.
En 1957, sa participation au Berlin International urban competition, Capital Berlin, Neue Städte aus Ruinen est remarquée[7],[8] (il a déjà travaillé sur le projet de faire sortir une nouvelle ville des ruines dans sa ville natale).
De 1960 à 1962, il est membre du Jury de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris.
De 1947 à 1977, il travaille dans son cabinet d'architecture et maîtrise d'œuvre avec Georges Philippe[9],[10], participe à des concours et réalise des projets d'édifices religieux, d'hôpitaux, de logements collectifs (principalement en périphérie parisienne) et maisons individuelles[11], de bureaux (Espace Europe), de stades, de centres commerciaux[12].
(une sélection)