Dans le monde d'aujourd'hui, Houesville est toujours un sujet d'une grande pertinence et d'un grand débat. Depuis de nombreuses années, Houesville fait l’objet d’études, d’analyses et de réflexions de la part d’experts et de chercheurs de divers domaines. Son importance a transcendé les frontières, les générations et les disciplines, pour devenir un sujet d'intérêt universel. Tout au long de l’histoire, Houesville a suscité la curiosité et l’intérêt de l’humanité, et son impact a été un sujet de discussion et de réflexion dans différents contextes. Dans cet article, nous explorerons l'importance et l'impact de Houesville dans la société actuelle, ainsi que sa pertinence dans le passé et son influence potentielle dans le futur.
Le , le seigneur d'Houesville fut massacré au manoir du Quesnay à Valognes par les protestants, en même temps que le seigneur de Cosqueville et d'un bourgeois du nom de Jean Guiffard qui fut « embroché »[7].
En 2021, la commune comptait 246 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2004, 2009, 2014, etc. pour Houesville[10]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2].
Houesville a compté jusqu'à 386 habitants en 1836.
Église Saint-Brice et Saint-Gilles des XVIe – XIXe siècles inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[14], avec un cadran solaire du XVIIe, une croix de faitage du XVe, fenêtres du XVIe siècle et restaurations en 1791, comme l'indique une date sur le portail d'entrée.
Château du Vivier des XVIIIe – XIXe siècles inscrit à l'IGPC[16], avec haras, écurie et pistes d'entrainement de trotteurs. Le domaine abrite un élevage de chevaux[17] où sont nés Upsalin, Fakir, Hadol, Jet…
La Cour d'Houesville des XVIIIe – XIXe siècles.
Croix de chemin dite croix Clément du XVIe siècle, croix Paon du XIXe siècle, croix de cimetière du XIXe siècle.
Joseph Tardif (1855-1923), archiviste, paléographe et avocat à la cour d'appel de Paris, né à Houesville.
Héraldique
Blason
D'azur aux trois pommes tigées et feuillées d'or, au chef cousu de gueules chargé de deux léopards affrontés aussi d'or armés et lampassés du champ[18].
Ce blason est emprunté aux armoiries de la famille Le Sauvage, anciens seigneurs de Houesville et de Caudard. Création de Michel Hersent. Adoptée par le conseil municipal le 4 novembre 1997.
Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN978-2-9159-0709-4), p. 112.
René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN978-2-35458-036-0), p. 255.
↑Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.