Dans cet article, nous allons analyser en détail Ivone Ramos, un sujet qui a généré un grand débat dans la société contemporaine. Ivone Ramos est un sujet d'une grande importance, car il touche un large spectre de la population et a des répercussions sur divers aspects de la vie quotidienne. Tout au long de cet article, nous explorerons différentes perspectives sur Ivone Ramos, dans le but de mettre en lumière ses implications et de générer une réflexion approfondie. De son origine à ses solutions possibles, en passant par ses conséquences à court et long terme, Ivone Ramos est un sujet qui mérite d'être abordé avec sérieux et rigueur, c'est pourquoi il est primordial d'approfondir son analyse.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom de naissance |
Ivone Aida Lopes Rodrigues Fernandes Ramos |
Nationalité | |
Activités |
Ivone Aida Lopes Rodrigues Fernandes Ramos, née le [1] à Santa Catarina (Cap-Vert) et morte le à Mindelo (Cap-Vert)[2], est une autrice capverdienne.
Elle est née de Armando Napoleão Rodrigues Fernandes et Alice Lopes da Silva Fernandes. Elle appartient à une famille comprenant d'autres figures littéraires, dont ses oncles et cousins José Lopes da Silva, poète, António Aurélio Gonçalves et Baltasar Lopes da Silva, sa sœur Orlanda Amarílis et son beau-frère Manuel Ferreira. Elle a également des liens familiaux avec la poète Yolanda Morazzo.
À six ans, elle retourne à Assomada. Elle aime lire depuis son enfance. Ses genres de prédilection sont les oeuvres politiques, les histoires d'amour et d'espionnage, les livres médiévaux et autres. En grandissant, elle est très tôt sensibilisée aux problèmes locaux et mondiaux.
Elle déménage ensuite sur l'île de São Vicente et vit chez son oncle, l'écrivain António Aurélio Gonçalves, où elle commence à écrire des histoires, dont des histoires du folklore du Cap-Vert[3]. Ces histoires lui sont racontées par ses voisins, leurs femmes au foyer et les aînés de Santa Catarina et de São Nicolau, dans la cour et à la porte de la maison, sous le ciel étoilé. Ce sont des récits de sorciers, de personnes aux facultés extraordinaires ou de héros qui partent en missions pleines de dangers.
Ce n'est que bien plus tard que ces histoires lui inspirent une série de livres. Son premier livre est Vidas Vividas, publié en 1990. Elle réédite le livre de son père, Léxico do dialecto crioulo do arquipélago de Cabo Verde, en 1990 à Mindelo[4],[5]. Elle réalise par la suite d'autres récits, dont Futcera ta cendê na Rotcha, publié en 2000, et Exilada, publié en 2005. En 2009, elle sort un livre de contes pour enfants intitulé Mam Bia Tita conta estória na criol.