Dans cet article, nous allons approfondir le sujet de Jacques Abouchar, un sujet qui a retenu l'attention de personnes de tous âges et de tous intérêts. Jacques Abouchar a fait l'objet de débats et de discussions dans divers domaines, que ce soit dans les sphères académique, sociale, politique ou culturelle. Depuis son émergence, Jacques Abouchar suscite un grand intérêt en raison de sa pertinence dans la société actuelle et de son impact sur nos vies. Tout au long de cet article, nous explorerons différentes perspectives et approches liées à Jacques Abouchar, dans le but de fournir une vision complète et enrichissante sur ce sujet.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom de naissance |
Jack Michel Abouchar |
Nationalité | |
Activité |
Jacques Abouchar né le dans le 19e arrondissement de Paris et mort le à Bayonne[1], est un ancien grand reporter et journaliste français qui a été surtout connu pour avoir passé 40 jours dans les geôles afghanes en 1984.
Il était entré, à la fin des années 1950, à la Radiodiffusion-télévision française (RTF) et avait fait tous les métiers de l'information avant de passer grand reporter, sous l'ORTF, et avait intégré Antenne 2 en 1975[2].
Dans le cadre de la guerre d'Afghanistan qui opposa l'armée rouge aux rebelles afghans, de 1979 à 1989, dans la nuit du 17 au , alors qu'il réalisait un reportage sur les rebelles afghans, près de la frontière afghano-pakistanaise, il tombait dans une embuscade tendue par les troupes soviétiques, sur la route de Kandahar et était capturé par l'armée rouge[3]. Après 40 jours d'emprisonnement, il fut libéré par le gouvernement afghan, présidé par Babrak Karmal, sous la pression du gouvernement français. Le journaliste narra son périple afghan dans le livre Dans la cage de l'ours, en 1985[4]. Jacques Abouchar témoigne dans son autobiographie de l'assistance de Roland Barraux et de l'ambassade de France en Afghanistan pour sa libération[5]