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Jacques Winsberg commence à pratiquer la peinture en autodidacte à l'âge de 17 ans, en même temps que, homme de scène, il est membre de la troupe des Comédiens de Provence[2] : il est tour à tour l'un des interprètes de la pièce Huis clos de Jean-Paul Sartre, mime et chanteur de cabarets[3].
Il s'installe en 1956 à Eygalières où il se lie un temps d'amitié avec Raymond Guerrier[4].
Si, parallèlement à ses paysages de Camargue, Raymond Nacenta relève l'influence de ses séjours en Espagne sur son travail[2], il est également situé avec Bernard Buffet parmi les acteurs en peinture d'un « nouveau réalisme » par lequel on désigne le courant misérabliste qui suit la Seconde Guerre mondiale[5].
Jacques Winsberg meurt le en son mas de Belvézet et repose au cimetière du village.
Participations non datées : Salon d'art sacré, Salon Terres latines, Salon de mai[3].
Réception critique
« Il a une prédilection pour les paysages de la Camargue qu'il peint avec une grande sincérité. » - Raymond Nacenta[2]
« Peintre figuratif, il exprime ses sensations devant la nature et les êtres. Son œuvre se situe autour de quelques thèmes principaux : la Camargue, l'Espagne, la tauromachie, des natures mortes, des portraits. » - Dictionnaire Bénézit[3]
↑ abcdefg et h Éric Mercier, Années 1950 - La Jeune Peinture, tome 2 : Panorama de la Jeune Peinture, ArtAcatos, 2010, « Jacques Winsberg », pp. 402-403.
↑ Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, éditions Arts et Images du Monde, 1992, page 314.