Jean Vidalon
Aujourd'hui, nous allons explorer le monde fascinant de Jean Vidalon. De son origine à son impact sur la société actuelle, Jean Vidalon a fait l'objet d'intérêt et de discussions tout au long de l'histoire. Que ce soit en raison de son importance dans la science, la culture populaire, la politique ou tout autre domaine, Jean Vidalon a laissé sa marque sur le monde de diverses manières. A travers cet article, nous approfondirons sa signification, son évolution dans le temps et son influence aujourd’hui. Préparez-vous à découvrir un univers d'informations et de curiosités sur Jean Vidalon.
Cet article est une ébauche concernant un militaire français.
 Jean Vidalon
| ||
.jpeg) En couverture Le Petit Journal, 1918. | ||
| Naissance | Cazaubon (France) |
|
|---|---|---|
| Décès | (à 90 ans) |
|
| Origine | Français | |
| Allégeance | .svg){kind=small} France
|
|
| Grade | Général de division | |
| Commandement | 63e division d'infanterie (1918) 11e division d'infanterie (1920-1923) 37e division d'infanterie (1923-1924) 13e corps d'armée (1925-1926) Commandant supérieur des troupes du Maroc (1926-1931) |
|
| Conflits | Première Guerre mondiale Pacification du Maroc |
|
| Distinctions | Grand Croix de la Légion d'honneur | |
modifier  |
||
Jean Vidalon, né le à Cazaubon et mort le , est un général de division français, grand-croix de la Légion d'honneur.
Saint-Cyrien, il se distingue lors de la Première Guerre mondiale, en qualité de chef d'état-major adjoint de l'armée française et de chef de la 2e section de l'état-major général, chargée notamment des relations avec les armées étrangères et le Bureau spécial franco-américain. Il gère et coordonne avec succès les relations du ministère de la Guerre avec les autorités américaines. À partir du mois de septembre 1918, il commande la 63e division d'infanterie transformée, avec du personnel français et « polonais », en 1re division polonaise. Puis, lors de la pacification du Maroc, il est commandant supérieur des troupes de décembre 1926 à mai 1931.
Biographie
Fils de Jean Vidalon, gendarme à cheval, et de Marie Talès. Il intègre la 73e promotion de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr (1888-1890), promotion du Grand Triomphe.
Il élevé à la dignité de grand officier de la Légion d'honneur le , décoration remise le par le Maréchal Franchet d'Esperey puis de grand-croix de la Légion d'honneur le , décoration remise le par le Président de la République Paul Doumer.
Grades
- 1892 lieutenant
- 1900 capitaine
- 1910 chef de bataillon
- 1917 général de brigade
- 1924 général de division
- 1928 Général de corps d'armée
Décorations
Françaises
Grand-croix de la Légion d'honneur (10/07/1931)
- Grand Officier (11/07/1928)
- Commandeur (10/08/1924)
- Officier (29/12/1916)
- Chevalier (12/7/1911)
Croix de guerre –
Américaine
Polonaise
- Décoration de Ve classe de l'ordre de la Virtuti Militari (
Pologne), 1921[2]
Bibliographie
- Michel Wattel et Béatrice Wattel (préf. André Damien), « Vidalon, Jean » in Les Grand’Croix de la Légion d’honneur : De 1805 à nos jours, titulaires français et étrangers, Paris, Archives et Culture, , 701 p. (ISBN 978-2-35077-135-9).
- Gérard Géhin et Jean-Pierre Lucas, « Vidalon, Jean » in Dictionnaire des généraux et amiraux français de la Grande Guerre (1914-1918) : Tome 2, L-Z, Paris, Archives et Culture, , 704 p. (ISBN 978-2350770703).
Notes et références
- ↑ Jean Vidalon-Army Distinguished Service Medal, Hall of Valor: The Military Medals Database.
- ↑ Décret du Commandant en chef L. 2956 de 1921 r. (Dziennik Personalny z 1922 r. Nr 1, s. 11)
