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Naissance | |
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Nationalité | |
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Western Canada High School (en) |
Activités |
Distinctions |
Prix du Gouverneur général : études et essais de langue anglaise () Orange Award for New Writers (en) () |
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Karen Connelly, née à Calgary au Canada le , est une poétesse et romancière canadienne.
Karen Marie Connelly naît le à Calgary au Canada, et y passe son enfance[1].
Elle a dix-sept ans quand elle remporte en 1986 une bourse Rotary. Elle en profite pour partir en Thaïlande, où elle passe un an dans un village du nord du pays[1]. Elle passe plusieurs mois près de la frontière birmane, aux côtés des opposants birmans[2]. Elle séjourne ensuite en Europe et en Asie, puis revient au Canada et se fixe à Toronto. Elle y enseigne dans un collège, et donne des conférences lors de festivals littéraires[1].
Ses œuvres écrites, en poésie et en prose, portent sur les thèmes du voyage, de la mémoire, de l'enfance, du dépaysement, de l'exclusion culturelle, du langage[1].
Karen Connelly commence par écrire des poèmes ; elle publie en 1990 le recueil The Small Words in My Body, qui lui vaut le prix Pat Lowther[1]. Elle explore les mêmes thèmes, avec ses voyages en France et en Espagne, dans This Brighter Prison: A Book of Journeys, paru en 1993[1]. Elle publie en 2000 The Border Surrounds Us où elle revient sur son expérience à la frontière de la Thaïlande et de la Birmanie[1]. Elle éctit ensuite The Disorder of Love (1997) et en fait paraître en 2001 une réédition dans Grace and Poison, qui reprend aussi ses premiers poèmes[1].
Ses œuvres en prose sont d'abord des réflexions, des souvenirs, des extraits de journaux. Ce sont Touch the Dragon: A Thai Journal, publié en 1992, qui lui obtient le prix du Gouverneur général pour les essais en anglais[1] ; puis One Room in a Castle: Letters From Spain, France and Greece, en 1995, sur ses séjours en Europe[1].
Son premier roman, The Lizard Cage (La Cage aux lézards en français), est publié en 2007. Elle y évoque les dures conditions de la vie en Birmanie à la fin des années 1980[1]. À travers l'histoire d'un prisonnier, contée uniquement à partir de sa cellule, elle y dénonce la torture, la dictature, dans un « livre atroce et superbe »[2].
Selon Jean Soublin, Karen Connelly bénéficie d'une solide notoriété dans les pays anglophones[2].