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Kenji Misumi naît le à Kyoto d'une relation entre une geisha et un agent maritime originaire de Kobe[2]. Il est le fruit d'une grossesse vraisemblablement non désirée, sa mère le confie tout jeune à la garde de sa tante tandis que son père ne participe que financièrement (et lointainement) à son éducation[2].
Après des études à l'université de Ritsumeikan[3], il choisit le septième art — afin de tirer un trait sur sa vocation de peintre, sa famille s'y étant opposée — et intègre l'antenne locale de la société Nikkatsu, initialement pour tenter sa chance en tant qu'acteur, puis finalement en tant qu'assistant-réalisateur. Mais son expérience au sein de la société de production est de courte durée puisqu'en 1942, il est incorporé dans l'armée et envoyé en Mandchourie[2],[4]. À la suite de l'incursion en 1945 des troupes soviétiques venues combattre les troupes japonaises, Kenji Misumi est fait prisonnier et envoyé dans un camp en Sibérie où il reste captif jusqu'en 1947. De retour au Japon, après un certain temps d'errance spirituelle et de difficile réacclimatation à la vie civile, il rejoint la Daiei au tout début des années 1950[2].
Du au , la Maison de la culture du Japon à Paris présente dix films du réalisateur dans le cadre du cycle « Les Maîtres de l'âge d'or du cinéma de genre japonais - VOL.1 - Kenji Misumi et Tai Katō »[20].
↑Contes fantastiques de Yotsuya : titre français du film lors de la rétrospective « Le Cinéma japonais » du 19 mars au 29 septembre 1997 au Centre Georges-Pompidou.
↑Le Fantôme de Yotsuya : titre français du film lors de la rétrospective « Les Maîtres de l'âge d'or du cinéma de genre japonais, vol 1 : Kenji Misumi et Tai Katō » du 17 janvier au 18 février 2012 à la MCJP.
↑Le Palais de la princesse Sen : titre français du film d'après le catalogue de Hideko Govaers, Reiko Inoue et La Cinémathèque française, Le Cinéma japonais de ses origines à nos jours (de janvier 1984 à avril 1985), Cinémathèque française, 1er trimestre 1984, 144 p. (lire en ligne), p. 139.
↑Komako de la maison Shirako : titre français du film d'après le catalogue de Hideko Govaers, Reiko Inoue et La Cinémathèque française, Le Cinéma japonais de ses origines à nos jours (de janvier 1984 à avril 1985), Cinémathèque française, 1er trimestre 1984, 144 p. (lire en ligne), p. 139.
↑Le Passage du grand Bouddha : titre français du film lors de la rétrospective « Le Cinéma japonais » du 19 mars au 29 septembre 1997 au Centre Georges-Pompidou.
↑Bouddha : titre français du film d'après le catalogue de Hideko Govaers, Reiko Inoue et La Cinémathèque française, Le Cinéma japonais de ses origines à nos jours (de janvier 1984 à avril 1985), Cinémathèque française, 1er trimestre 1984, 144 p. (lire en ligne), p. 139.
↑La Lignée d'une femme : titre français du film d'après le catalogue de Hideko Govaers, Reiko Inoue et La Cinémathèque française, Le Cinéma japonais de ses origines à nos jours (de janvier 1984 à avril 1985), Cinémathèque française, 1er trimestre 1984, 144 p. (lire en ligne), p. 139.
↑Le Combat de Kyoshiro Nemuri : titre français du film d'après le catalogue de Hideko Govaers, Reiko Inoue et La Cinémathèque française, Le Cinéma japonais de ses origines à nos jours (de janvier 1984 à avril 1985), Cinémathèque française, 1er trimestre 1984, 144 p. (lire en ligne), p. 139.
↑Sur la route à jamais : titre français du film lors de la rétrospective « Les Maîtres de l'âge d'or du cinéma de genre japonais, vol 1 : Kenji Misumi et Tai Katō » du 17 janvier au 18 février 2012 à la MCJP.
↑Kyōshirō Nemuri : le Sabreur et les Pirates : titre français du film lors de la rétrospective « Les Splendeurs de la Daiei, 2e partie : les héritiers du grand maître » du 8 janvier au samedi 29 mars 2014 à la MCJP.
↑Le Sabre hors-la-loi : titre français du film lors de la rétrospective « Les Maîtres de l'âge d'or du cinéma de genre japonais, vol 1 : Kenji Misumi et Tai Katō » du 17 janvier au 18 février 2012 à la MCJP.
↑La Rivière des larmes : titre français du film lors de la rétrospective « Les Maîtres de l'âge d'or du cinéma de genre japonais, vol 1 : Kenji Misumi et Tai Katō » du 17 janvier au 18 février 2012 à la MCJP.
Collectif d'auteurs sous la direction de Pascal-Alex Vincent, Dictionnaire du cinéma japonais en 101 cinéastes, Carlotta Films, , 242 p. (ISBN978-23-77970-17-9)