Le terme Langues malaïques a gagné en pertinence ces dernières années, car il couvre un large éventail de contextes et de situations. De Langues malaïques dans le domaine de la santé à son application dans le monde de la technologie, ce concept a démontré sa polyvalence et son applicabilité dans différents domaines. Son impact s’est répandu dans le monde entier, générant d’importantes discussions, recherches et avancées. Dans cet article, nous explorerons en détail les différentes facettes et utilisations de Langues malaïques, ainsi que son influence sur divers aspects de la société moderne.
Les langues malaïques (en anglais, Malayic languages) forment un groupe dans la branche malayo-polynésienne des langues austronésiennes. Au nombre de 53, elles sont ainsi nommées d'après le malais, qui constitue le sous-groupe le plus important.
Le caractère relativement archaïque des langues ibaniques et kendayan a amené le linguiste néerlandais A. Adelaar à penser que le berceau des langues malaïques se trouve à Bornéo[1]. Cette thèse est désormais la plus communément admise par les linguistes d'une part, les spécialistes du monde austronésien d'autre part.
Les langues malaïques se répartissent entre les 3 sous-groupes suivants :