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Titre québécois | Sans laisser de trace |
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Réalisation | Debra Granik |
Scénario |
Debra Granik Anne Rosellini |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Bron Studios First Look Media Harrison Productions Reisman Productions Still Rolling Productions Topic Studios |
Pays de production |
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Genre | drame |
Durée | 109 minutes |
Sortie | 2018 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Leave No Trace ou Sans laisser de trace[1] au Québec est un film dramatique américain coécrit et réalisé par Debra Granik, sorti en 2018. Il s’agit de l’adaptation du roman américain My Abandonment de Peter Rock (écrivain) (en) (2009). Le film raconte l'histoire d'un ancien militaire atteint d'un TSPT et de sa fille. Le titre du film est tiré du concept de "Leave No Trace".
Will, un ancien combattant de la guerre en Irak souffrant de trouble de stress post-traumatique, vit avec sa fille de 13 ans, Tom, dans un parc public de Portland, dans l'Oregon. Ils vivent dans l'isolement, n'entrant occasionnellement dans la ville que pour acheter de la nourriture et du matériel. Will gagne son argent en vendant ses antalgiques à d’autres vétérans.
Mais ils sont arrêtés et placés dans des services sociaux. Ils aménagent une maison mais un matin, Will décide de partir. Tom suit à contrecœur...
Leave No Trace est sélectionné en hors compétition « Premieres » et présenté en avant-première mondiale le au Festival du film de Sundance, avant sa sortie limitée dès le aux États-Unis. En France, il est également sélectionné dans la section « Quinzaine des réalisateurs » et présenté le au Festival de Cannes, puis sortie dès le . Au Québec, il sort le sous le titre français Sans laisser de trace[1]. En Belgique, il est sélectionné et présenté le au Festival du film d'Ostende.
Site | Note |
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Metacritic | 88/100 |
Rotten Tomatoes | 100% |
Allociné | ![]() |
Périodique | Note |
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Télérama | ![]() |
En France, le site Allociné recense une moyenne des critiques presse de 3,7/5, et des critiques spectateurs à 4/5[2].
Pour Jean-Francois Lixon de Culturebox, Leave no Trace est « une odyssée père-fille touchante et puissante. »[3].
Pour Théo Ribeton des Inrockuptibles, « "Leave No Trace" est un film sur la soustraction non pas à la ville, ni au village, mais à la société dans son principe. En progressant lentement vers l’extrémité de cette logique, le film de Granik trouve un vrai point de vertige, en profondeur sous la robinsonnade indé habituelle. »[4]