Les Frères Jacques

Les Frères Jacques Description de cette image, également commentée ci-après Les Frères Jacques, chantant Le Fric en 1968. De gauche à droite : Georges Bellec, François Soubeyran, André Bellec et Paul Tourenne.Informations générales
Pays d'origine France
Genre musical Variété française, musique humoristique
Années actives 19441982
Labels Polydor, Philips, Le Chant du monde
Composition du groupe
Membres André Bellec (†)
Georges Bellec (†)
François Soubeyran (†)
Paul Tourenne (†)
Membres additionnels Pierre Philippe (†)
Hubert Degex (†)
Jean-Denis Malclès (†)

Les Frères Jacques est un quatuor vocal français, actif de 1946 à 1982, composé d'André Bellec, Georges Bellec, François Soubeyran et Paul Tourenne. Durant son parcours, le groupe atteint un sommet dans l'art de combiner le chant et le mime, et a interprété des chansons de nombreux auteurs, notamment de Prévert et Kosma (Barbara, En sortant de l'école, parmi de nombreuses autres), de Serge Gainsbourg (Le Poinçonneur des Lilas), de Stéphane Golmann (La Marie-Joseph) ou de Ricet Barrier (Eugénie de Beaulieu).

Biographie

Formation (1944-1945)

Après la Libération, André et Georges Bellec montent à Paris. Georges retrouve les Beaux-Arts, peint et joue de la trompette avec Claude Luter. André, quant à lui, a de son côté repris son numéro de Pif et Paf et rencontre quelques succès dans les usines. En novembre 1944, il est nommé instructeur d'art dramatique et administrateur à Travail et Culture, situé au 5 rue des Beaux-Arts à Paris. Un beau jour, les deux frères se croisant dans la rue par hasard se parlent de leurs vies difficiles et André évoque le projet de monter un quatuor vocal : le guitariste de jazz et chanteur Teymour Nawab (plus connu sous son nom de guerre Timsy Pimsy et, par ailleurs, neveu du chah d'Iran) se joint alors à eux et Yves Robert est contacté mais a d'autres projets et leur parle de François Soubeyran. La guerre se termine alors et Travail et Culture fournit des émissions aux ondes radiophoniques renaissantes. Pour l'une d'entre elles, le 26 mai 1945, on propose le concours d'un quatuor vocal, qui n'a pas encore de nom : la mode est alors à la parenté (Marx Brothers, Mills Brothers, Andrews Sisters, Dolly Sisters, Sœurs Étienne), pourquoi pas Frères… « Les Frères Jacques », lance un technicien en studio. Le nom rappelle à la fois la chanson enfantine Frère Jacques, et « faire le jacques, faire le pitre, c'est ce qu'on voulait faire en montant des chansons. »

À l'écoute de l'émission, Maurice Jacquemont, directeur du Studio des Champs-Élysées et de la Comédie des Champs-Élysées, les remarque. Il est également l'auteur et le metteur en scène d'une pièce couverte d'éloges, Les Gueux au paradis, qui comporte des interventions chantées par les Compagnons de Route (qui ne s’appellent pas encore Les Quatre Barbus) qui souhaitent prendre des vacances. Après une audition, les Frères Jacques sont engagés, tandis que la pièce passe du Studio à la grande salle de la Comédie. Mais Georges Bellec et Teymour Nawab partent en tournée avec un orchestre. À Travail et Culture, Paul Tourenne est recommandé à André Bellec et le quatrième est ponctuellement Gustave Gras (membre de la chorale de TEC). Le 14 juillet 1945, les Frères Jacques apparaissent pour la première fois en public, lors d'un gala radiodiffusé depuis les jardins du Palais-Royal. Le 1er août, ils font leur entrée à la Comédie des Champs-Élysées et confirment leur succès radiophonique. Et lors d'une soirée, ils rencontrent Francis Blanche, qui va bientôt contribuer à la qualité de leur répertoire avec Sœur Marie-Louise (1948), Jour de colère (1952), Général à vendre (1954), La Truite (1955), Gros Jean comme devant (1958) ainsi que l'opérette La Belle Arabelle.

Leur tout premier répertoire est choisi parmi des chansons du folklore, des negro spirituals et des chants religieux. La chanson Place de la Concorde (texte de Jean Tardieu, musique de Maurice Thiriet) figure également à leur répertoire. Ils sont influencés par des artistes de leur jeunesse (les Revellers, les Comedian Harmonists, le duo Gilles et Julien) ou la chanson réaliste du début du XXe siècle, dont ils perçoivent les possibilités de mises en scène humoristiques.

« En 1945, nous étions motivés par le désir de chanter tout ce qui pouvait être déjà harmonisé à quatre voix égales en partant de chansons de route, de feux de camp, de folklore, en passant par l'humour, la poésie, le negro spiritual, la chanson d'église et même celles des étudiants en médecine. Nos premiers auteurs, tels que Francis Blanche, Gilles, Raymond Queneau et les compositeurs Francis Poulenc, Claude Arrieu, Maurice Thiriet et Pierre Philippe nous ont ouvert la voie au style que nous ressentions et qui s'est concrétisé définitivement avec l'apport du costume de Jean-Denis Malclès. »

À la rentrée, les Compagnons de Route reprennent leur rôle dans Les Gueux. En septembre, Léon Chancerel, qui a imaginé le « théâtre de la ville et des champs », propose aux Frères Jacques une tournée de deux mois en Alsace libérée, avec leur tour de chant, ainsi que la pièce Le Médecin malgré lui. Georges Bellec est revenu et le quatuor répète à cinq (avec Teymour Nawab). Fin novembre, ils sont de retour à Paris, sans contrat, mais continuent à répéter. À cette époque, ils chantent même une messe de minuit à Offenbourg, en Allemagne. Ils cherchent leur style et leur répertoire : « Sur le plan musical, on était très inspirés par les quatuors américains. On était influencés par les Mills Brothers, le Golden Gate Quartet… On voulait chanter comme eux. Dès qu'on a trouvé notre voie chez Grenier-Hussenot, on a su que c'était comme ça qu'il fallait travailler. »

Rencontre de Philippe et Malclès (1946-1965)

Début janvier 1946, Jean-Pierre Grenier, Olivier Hussenot et Yves Robert invitent les Frères Jacques à se joindre à la compagnie qu'ils viennent de créer pour préparer un spectacle composé de Parade pour rire et pour pleurer, et d'un burlesque (Orion le tueur). La première a lieu le 4 février 1946. Ils y insèrent l'une de leurs chansons, L'Entrecôte, parodie d'un mélodrame 1900, que Georges Bellec a apporté des Beaux-Arts. Ils répètent alors sous la direction de Pierre Philippe, pianiste et compositeur, tandis que le décorateur Jean-Denis Malclès leur confectionne leur premier costume avec collants, l'idée des gants blancs venant de Georges Bellec.

Jusqu'à présent — mis à part le temps du passage de Teymour Nawab qui les accompagnait à la guitare —, les Frères Jacques ont chanté a cappella, puis avec le pianiste Pierre Cazenave (compagnon de Georges Bellec au Hot Club de Bordeaux). Mais il leur manque une musicalité propre, un style et une rigueur dans le travail. C'est un cinquième membre qui va les leur fournir. Le pianiste Pierre Philippe les juge d'abord sévèrement, mais il sait les faire travailler et est satisfait du résultat. Ainsi devient-il le pianiste du quatuor. Pierre Philippe sera leur pianiste durant vingt ans, sans la moindre défection, jusqu'en décembre 1965.

Le 1er mai 1946, un gala des Frères Jacques à La Baule remporte un immense succès. Puis ils remplacent à nouveau les Quatre Barbus et s'acharnent sur L'Entrecôte, cherchant devant une glace des heures durant les mimiques qui animeront la chanson. Le quatuor s'oriente alors définitivement vers la chanson « jouée », dans laquelle paroles et musique ne peuvent se passer de mise en scène. « On a toujours mis nos chansons en scène tout seuls, même les opérettes comme Les Pieds-Nickelés ou La Belle Arabelle. On s'enfermait dans une pièce, il fallait que l'on soit vraiment tous les quatre, seuls. » Leur premier répertoire ne craint pas de s'attaquer à de grands succès, qu'ils revoient à leur manière (L'Homme du trapèze volant qu'ils interprètent dans Parade), auxquels ils ajoutent des chansons nouvelles ou inconnues et dont ils vont faire des classiques (Le Général Castagnetas).

Ils enchaînent alors les représentations de Parade et d'Orion le tueur. Ils donnent quelques représentations en province et à Paris. La compagnie Grenier-Hussenot est alors couronnée d'un Prix spécial des jeunes compagnies. Agnès Capri leur offre son théâtre, la Gaîté Montparnasse, pour la véritable création de Parade/Orion le tueur, le 25 juin 1946. En septembre, les Frères Jacques chantent au Bœuf sur le toit avec Agnès Capri : le tour de chant n'est pas au point et l'accompagnement de Pierre Cazenave ne les soutient guère, au contraire. Ils retrouvent avec plaisir la sécurité du piano de Pierre Philippe pour un abrégé de La Parade à l'ABC. Puis ils effectuent leurs premières vraies tournées en province et en Suisse. En octobre, l'ABC réclame une version condensée de Orion, et le Bœuf sur le toit un 2e passage en décembre. Ils commandent de nouveaux collants. Et, fin 1946, la rupture avec Pierre Cazenave est consommée ; Pierre Philippe fait définitivement partie du groupe. Tandis que, visuellement, c'est le décorateur Jean-Denis Malclès qui leur confectionne les costumes et accessoires : il les moule dans des collants, des justaucorps et des gants blancs, et complète leur silhouette par des chapeaux et moustaches divers (c'est également lui qui conçoit le décor). Ces éléments varieront peu par la suite. Le 31 décembre 1946, les Frères Jacques animent le réveillon du Cité-Club, situé près du parc Monceau, et étrennent pour l'occasion leurs nouvelles tenues, avec un gilet de couleur dont les pointes viennent recouvrir le collant uniformément noir, et qui ne les quittera plus : Georges Bellec en jaune, Paul Tourenne en bleu-gris clair, André Bellec en vert et François Soubeyran en rouge.

Leur premier 78 tours sort en 1948. Les engagements abondent, mais c'est quand ils rencontrent l'agent artistique Jacques Canetti qu'ils entrent véritablement dans la lumière. C'est lui qui leur obtient les textes de Jacques Prévert — sceptique au départ — et les musiques de Joseph Kosma, qu'ils enregistrent et que la radio fait connaître au-delà de la sphère parisienne. Avec L'Inventaire, ils obtiennent même le Grand Prix du disque à deux reprises (en 1950 et en 1958). Ils ont également chanté avec Édith Piaf et Brigitte Bardot.

En 1950, leur ami le photographe Pierre Jahan prend de nombreux clichés des quatre comédiens alors qu'ils séjournaient dans un château prêté par un admirateur pour s'y reposer et préparer de nouvelles tournées. Il en publiera trois dans Objectif (Marval, 1994, pp. 63 et 64). En avril 1959, à l'ambassade d'Angleterre, en présence de la reine mère et de sa fille la princesse Margaret, après le dîner est donné un spectacle des Frères Jacques. Selon Jean Cocteau : "une chanson sur les pasteurs anglais ivres de beaujolais ne tombait pas à pic". La chanson s'appelle Les Pasteurs.

En 1965, Pierre Philippe est remplacé au piano par Hubert Degex.

Dernières années (1966-1982)

Les Frères Jacques donnent leur dernier récital le 3 janvier 1982 au Théâtre de l'Ouest parisien. Chacun des membres du quatuor se retire alors pour vaquer à ses occupations. Le 14 juin 1995, Pierre Philippe (de son vrai nom Le Philipponnat), pianiste qui a accompagné le quatuor vocal de son début à 1965, décède, à Saint-Bouize (Cher). Un hommage est rendu aux Frères Jacques au Casino de Paris les 12 et 13 janvier 1996, à l'occasion du cinquantième anniversaire de leur création, en présence de nombreux artistes. 5 000 spectateurs assistent à ces concerts, mais aucune télévision n'y est présente.

Le 30 mai 2002, Jean-Denis Malclès, créateur de leurs costumes de scène, meurt à Paris. François Soubeyran est mort le 21 octobre 2002 à Montélimar (Drôme). André Bellec meurt le 3 octobre 2008 à Pontpoint (Oise). Georges Bellec décède le 13 décembre 2012 à Senlis. Enfin, Paul Tourenne disparaît le 20 novembre 2016 à Montréal au Canada. Le 6 novembre 2021, Hubert Degex, pianiste du quatuor de 1965 à 1982, décède à 92 ans.

La Bibliothèque historique de la ville de Paris possède un fonds sur les Frères Jacques, qui comprend des costumes de scène, des partitions musicales manuscrites et imprimées, des enregistrements sonores commerciaux et inédits, des programmes, des affiches, des dessins, des coupures de presse et de la correspondance. Cette collection a appartenu à Paul Tourenne.

Style musical

Leur répertoire comporte des chansons traditionnelles, des chansons humoristiques (Chanson sans calcium, La confiture ou Le général Castagnetas avec des paroles de Marcel Dabadie, le père de Jean-Loup), des fantaisies sur une musique classique (la Truite de Franz Schubert, sur un texte de Francis Blanche), de la pure poésie (Jacques Prévert, Raymond Queneau, Boris Vian, Bernard Dimey), des textes grinçants (Les Bonnes, satire antibourgeoise), des chansons tristes à pleurer et de philosophie de rue, ainsi que des chansons paillardes (La Digue du cul).

Membres

Membres additionnels

André et Georges Bellec

André, né le 12 février 1914, et Georges Bellec, né le 18 mars 1918, sont deux frères, tous deux nés à Saint-Nazaire. Ils passent leur enfance et leur adolescence dans le Marais breton (en Vendée). En 1933, la famille s'installe à Bordeaux. Après son baccalauréat, André entame une licence en droit et s'inscrit en parallèle au conservatoire de Bordeaux, y obtient un deuxième accessit de comédie et s'intègre à une compagnie. Georges, quant à lui, est un boute-en-train, il chante des chansons grivoises et il dessine. Il s'oriente vers l'École des beaux-arts de Bordeaux. Étant beaucoup plus orienté vers le jazz, il abandonne le violon pour le cornet à pistons.

À l'arrivée de la guerre, André est mobilisé au théâtre des armées de Saumur. Georges, malade, est réformé : il fréquente alors le Hot Club de Bordeaux et, après une exposition de peinture, rejoint Paris en 1942, où il s'inscrit aux Beaux-Arts et rallie le Hot Club de France où il côtoie Claude Abadie, Boris Vian, joue avec Claude Luter, Django Reinhardt… Mais, menacé par le STO, il retourne à Bordeaux où il retrouve André. Démobilisé, celui-ci a été nommé « chargé de l'éducation artistique en région Pyrénées-Gascogne » à Toulouse. Il endosse alors l'uniforme des chantiers de jeunesse, où il apprend beaucoup auprès de Léon Chancerel et ses Comédiens Routiers, et où il enseigne. Il joue avec un camarade un numéro, Paf et Pif, et propose à son frère Georges de devenir Pouf et son adjoint aux Chantiers. Ainsi se forme un premier groupe vocal. Mais Georges démissionne et se réfugie avec ses parents à Clisson (en Loire-Atlantique). André, renvoyé à son tour, rejoint la famille, où leurs hôtes ont deux filles qui chantent, et avec lesquelles ils forment un quatuor vocal. Puis vient la Libération et chacun se disperse.

François Soubeyran

François Soubeyran, né le 22 août 1919 à Dieulefit (Drôme), vit dans la maison familiale, une ancienne poterie qui est ouverte et accueille d'étranges personnages venus de partout, dont une demoiselle ayant formé un chœur mixte dans lequel chante François. Il fait ses études à Montélimar et Grenoble, obtient son baccalauréat, effectue son service militaire, mobilisation puis débâcle, et retour à Dieulefit.

Vers Noël 1944, une lettre d'Emmanuel Mounier (connu pendant la Résistance) annonce une place à Travail et Culture (TEC). L'association TEC est un « capharnaüm effrayant » dans lequel tout le monde se côtoie et s'agite (Paul Tourenne y est distributeur de billets de théâtre). François y rencontre un autre errant qui devient son grand ami, Yves Robert. François chante en duo avec lui, « progresse dans la connaissance du théâtre », sans enthousiasme, et essaie de se mettre à la poterie (qui est l'artisanat principal de sa ville natale, Dieulefit). Yves Robert, qui joue aux Bouffes-du-Nord, part en tournée et laisse son rôle à François.

Paul Tourenne

Paul Tourenne (né le 25 février 1923 à Paris) entre en 1937 aux PTT, ce qui ne l'empêche pas de cultiver son amour de la musique, étoffé de pipeaux, d'harmonicas et autres guitares hawaïennes puis violon. Il s'essaie à chanter, harmonise. Avec trois sœurs — comme lui pionnières du camping —, il forme un quatuor vocal qui captive les amis du camp le samedi soir. Paul rêve d'une carrière de professeur de chant.

Lorsque la guerre éclate, Paul devient moniteur de la colonie de vacances des enfants de la radio, dans l'Aubrac, avec lesquels il forme une chorale. Ils reçoivent des visites, dont celle du chef d'orchestre Paul Kast : il est alors propulsé au service artistique de la radio pour former une chorale enfantine. À tout juste 21 ans, Paul Tourenne est maintenant jeune régisseur à la Radiodiffusion nationale. Il fuit lui aussi le STO et se retrouve à Limoges. À la Libération, il retourne à Paris au service artistique de la Radiodiffusion française. Puis il devient responsable de la billetterie et de la « propagande » au sein de Travail et Culture.

Discographie

Il a existé quelques disques souples dont les traces ont été conservées et rééditées en CD dans les anthologies CD Rym Musique de 1996 et 2005.

78 tours

45 tours

LP 25 cm 33 tours

LP 30 cm 33 tours

Éditions CD

Vers 1988, deux compilations de la collection Expression ont été édités.

Autres

Théâtre

Notes et références

  1. Billboard, 8 juin 1974, Les Freres Jacques, a vocal quartet which specializes in comic songs, has announced that after 30 years they are having difficulty in finding suitable material.
  2. Monneraye et Unglik Bellaïche, p. 17.
  3. Monneraye et Unglik Bellaïche, p. 17.
  4. « Biographie | Les FRERES JACQUES », sur RFI Musique (consulté le 5 février 2022).
  5. Jean Cocteau, Le passé défini, tome VI :1958-1959, journal, Paris, Gallimard, 2011, 794 p., p. 520
  6. « LE PHILIPPONNAT Charles Pierre sur matchID », sur deces.matchid.io (consulté le 29 mars 2021).
  7. « MALCLES Felix Jean Denis sur matchID », sur deces.matchid.io (consulté le 29 mars 2021)
  8. « SOUBEYRAN Francois Joseph Louis sur matchID », sur deces.matchid.io (consulté le 29 mars 2021).
  9. « BELLEC Andre Eugene Emilien sur matchID », sur deces.matchid.io (consulté le 29 mars 2021).
  10. « BELLEC Georges Paul Francois sur matchID », sur deces.matchid.io (consulté le 29 mars 2021).
  11. « Paul Tourenne, le dernier des Frères Jacques, est mort », sur Ouest France (archives), 20 novembre 2016 (consulté le 5 février 2022).
  12. « Le pianiste de jazz Hubert Degex est mort », sur Courrier picard (archives), 7 novembre 2021 (consulté le 5 février 2022)..
  13. « Paul Tourenne, le dernier des Frères Jacques, est mort », Le Monde,‎ 21 novembre 2016 (lire en ligne, consulté le 29 mars 2021).

Annexes

Bibliographie

Liens externes