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L'article recense les diocèses et les autres églises particulières de l'Église catholique ayant leur siège en Italie.
Au , l'Église catholique en Italie compte 225 églises particulières, auxquelles s'ajoutent un ordinariat militaire — l'Ordinariat militaire en Italie — ainsi qu'une prélature personnelle — l'Opus Dei.
222 sont des églises particulières de l'Église latine, régie par le code de droit canonique. Les trois autres — l'éparchie de Lungro, l'éparchie de Piana degli Albanesi et l'abbaye territoriale Sainte-Marie de Grottaferrata — sont les trois églises particulières de l'Église grecque-catholique italo-albanaise, une des Églises catholiques orientales régies par le code des canons des Églises orientales.
Les 225 églises particulières ayant leur siège en Italie couvre l'intégralité de la République italienne ainsi que le Vatican, qui est compris dans le diocèse de Rome dont le siège est la basilique Saint-Jean-de-Latran, et la République de Saint-Marin, qui est comprise dans le diocèse de Saint-Marin-Montefeltro dont le siège est à Pennabilli.
Trois églises particulières — l'éparchie de Lungro, l'éparchie de Piana degli Albanesi et l'abbaye territoriale Sainte-Marie de Grottaferrata — suivent le rite byzantin.
Le rite ambrosien est suivi dans la majeure partie de l'archidiocèse de Milan, dans une partie du diocèse de Bergame — notamment le vicariat de Calolzio-Caprino — ainsi que dans quelques paroisses des diocèses de Lodi, Novara et Sulmona.
Les autres églises particulières suivent le rite romain.
Les 225 églises particulières se répartissent comme suit :
Le diocèse de Rome, dont le pape est l'évêque, présente la particularité d'être aussi :
L'Église catholique en Italie compte quarante-deux sièges métropolitains et autant de provinces ecclésiastiques.
L'archidiocèse métropolitain d'Udine présente la particularité de ne pas avoir de suffragant.
193 églises particulières sont suffragantes d'un des quarante-et-un autres sièges métropolitains.
Les vingt-deux églises particulières restantes sont exemptes et relèvent directement du Saint-Siège.
Archidiocèses, diocèses et abbayes dépendants directement du Saint-Siège :
Diocèses dépendants directement du Saint-Siège
Le nombre important de diocèses en Italie (la France, pour un territoire plus vaste et plus peuplé, en compte environ deux fois moins), et la taille réduite de certains d'entre eux, fait que la question de la réduction de leur nombre se pose dès le pontificat de Paul VI, à la suite des réformes du concile Vatican II[2]. Un travail en cours au sein de la Conférence épiscopale italienne et de la Congrégation pour les évêques doit permettre de redéfinir la carte des diocèses en Italie, en réduisant leur nombre[3].
sur chiesacattolica.it :
Sur www.catholic-hierarchy.org :
Sur www.gcatholic.org :