Dans cet article, nous aborderons le sujet de Localisation des pyramides égyptiennes sous différents angles dans le but d'approfondir son importance et sa pertinence aujourd'hui. Localisation des pyramides égyptiennes est un sujet qui suscite un intérêt croissant dans divers secteurs et une analyse détaillée peut éclairer ses multiples facettes. Au fil des prochaines lignes, nous explorerons les différents aspects de Localisation des pyramides égyptiennes, en présentant différentes opinions et approches qui permettront au lecteur de pleinement comprendre la complexité et l'importance de ce sujet. À travers une approche multidisciplinaire, nous approfondirons les conséquences et les défis posés par Localisation des pyramides égyptiennes, offrant ainsi une vision globale qui contribuera à la connaissance et à la compréhension de ce phénomène.
Il existe en Égypte une multitude de pyramides concentrées, pour la plupart, dans la région memphite et érigées durant une longue période s'étalant de l'Ancien Empire jusqu'au Nouvel Empire. Cet article a pour but de proposer des recherches chronologiques et géographiques ainsi qu'une recherche basée sur les listes de références dressées par Karl Richard Lepsius et John Shae Perring au XIXe siècle.
Quelques pyramides souffrant d'un état de délabrement très avancé, échappent encore à la classification. À savoir :
Près d'une centaine de pyramides (pyramides subsidiaires et provinciales comprises) sont actuellement connues. Les pyramides de plusieurs souverains de l'Ancien Empire n'ont pas encore pu être localisées, notamment celles d'Ouserkarê, Mérenrê II et Nitocris. De même, des pyramides de reines reposent toujours enfouies sous les sables : celles de Sechséchet Ire et Ânkhésenpépi Ire, auxquelles il faut sans doute ajouter quelques pyramides de souverains et reines obscurs de la Première et de la Deuxième Période intermédiaire n'ayant laissé aucune trace dans l'histoire.
L'égyptologue allemand Rainer Stadelmann a décelé les vestiges de trois pyramides, toutes situées à Dahchour, la pyramide A de Dahchour sud, la pyramide B de Dahchour sud et la pyramide anonyme de Dahchour. Cette dernière, située au sud de la celle d'Amenemhat II a été très endommagée par la construction d'un pipeline. Les deux pyramides de Dahchour sud n'ont encore fait l'objet d'aucune étude.
Une étude a été effectuée en 2006 par l'équipe allemande du Deutsches Archäologisches Institut. Celle-ci visait à repérer des vestiges dans deux zones vierges de toutes prospections, celles de Saqqarah Sud et de Dahchour Sud (près de Mazghouna). Il en est ressorti que, outre de nombreux monuments divers, des pyramides inachevées devaient reposer sous les sables. L'équipe nomma deux pyramides, pyramide SAK S3 et pyramide SAK S7, situées près de la pyramide inachevée de Saqqarah sud et de la pyramide de Khendjer, ainsi que pyramide DAS 53, près de la pyramide nord de Mazghouna. Aucune fouille n'est actuellement programmée pour mettre au jour l'un ou l'autre de ces monuments.
Cette liste, établi par le voyageur Karl Richard Lepsius en 1842, regroupe soixante-sept constructions (toutes ne sont pas des pyramides) dont la plus au nord se situe à Abou Rawash.