Mécanisme de flux d'air

Dans cet article, nous allons aborder le sujet de Mécanisme de flux d'air, un sujet qui a retenu l'attention de nombreuses personnes ces derniers temps. Mécanisme de flux d'air est un sujet d'une grande importance dans la société actuelle, car il a un impact significatif sur divers domaines de la vie quotidienne. Au fur et à mesure que nous progressons dans cet article, nous explorerons différents aspects liés à Mécanisme de flux d'air, de son origine et de son histoire à son influence aujourd'hui. Nous examinerons également les implications et les répercussions de Mécanisme de flux d'air dans différents domaines, ainsi que les différentes perspectives qui existent autour de ce sujet. Au final, cet article cherche à offrir une vision complète et enrichissante de Mécanisme de flux d'air, dans le but de permettre une meilleure compréhension et sensibilisation à ce sujet.

En phonétique articulatoire, le mécanisme de flux d'air servant à émettre les sons de la parole peut être divisé en plusieurs types, selon qu'il fait appel ou non aux poumons.

Le flux pulmonaire sert à l'articulation des voyelles et de la majorité des consonnes, qualifiées pour cette raison de consonnes pulmonaires. Toutes les langues du monde utilisent ce type de consonne, et la grande majorité, dont le français et toutes les autres langues d'Europe, n'en connaissent pas d'autres.

Le flux pulmonaire est généralement égressif et sort donc des poumons par la bouche ou le nez. Cependant, l'articulation peut aussi utiliser un flux ingressif, comme dans certaines interjections en cas de surprise (par exemple « Oh ! »). Toutefois, une différence phonologique portant sur la direction du flux n'est attestée dans aucune langue, et la direction du flux n'est pas donc transcrite dans l'alphabet phonétique international, mais elle l'est dans les extensions de l’alphabet phonétique international.

Le flux non pulmonaire est plus rare, comprend plusieurs types et sert à l'articulation des consonnes non pulmonaires.

L'émission de sons non pulmonaires implique que leur production est indépendante de la respiration, mais dans les faits, seuls les clics (vélaires ou labiaux) n'empêchent pas la respiration et peuvent donc être produits parallèlement à celle-ci, la respiration étant alors nasale.

Bibliographie

Articles connexes