Dans cet article, nous souhaitons aborder le sujet de Michel Chodkiewicz, qui a fait l'objet de nombreuses études, débats et controverses à travers l'histoire. Michel Chodkiewicz a eu un impact significatif dans divers domaines, de la politique à l'économie, en passant par la société en général. La pertinence de Michel Chodkiewicz a été telle qu'elle a suscité l'intérêt d'universitaires, d'experts et de chercheurs, qui ont consacré de nombreux efforts pour tenter de comprendre son influence et sa portée. Au fil de ces pages, nous explorerons les différentes facettes de Michel Chodkiewicz, analysant ses origines, son évolution dans le temps et son impact aujourd'hui. Nous espérons que cet article pourra contribuer à faire la lumière sur un sujet aussi complexe et important que Michel Chodkiewicz.
Président-directeur général Éditions du Seuil | |
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Michel Marie Paul Chodkiewicz |
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Michel Chodkiewicz, né le à Paris et mort le à Candé, est un éditeur et philosophe français, spécialiste du soufisme.
Michel Chodkiewicz fut directeur général, puis président directeur général des éditions du Seuil de 1977 à 1989 et directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales[1], où il anima des séminaires sur la pensée d'Ibn Arabî.
De 1953 à 1965, après un temps où il se voit confier la lecture de manuscrits, il est éditeur et directeur de collections au Seuil où il s'occupe notamment de séries Microcosme, de littératures étrangères et d'essais[2].
En 1965, il est nommé par les animateurs historiques du Seuil, Jean Bardet et Paul Flamand, président de la Société d'éditions scientifiques (SES), première filiale importante de l'entreprise d'édition. A cette fonction, il orchestre la reprise de la revue Atomes qu'il relance puis transforme et rebaptise La Recherche (en 1970). Il fonde L'Histoire (en 1978)[3].
Il est issu d'une ancienne famille de l'aristocratie polonaise installée en France depuis 1832. Il explique lui-même sa conversion à l'islam à l'âge de dix-sept ans comme l'« aboutissement d'une recherche personnelle commencée dès l'adolescence parce que le catholicisme ne apportait pas de réponses satisfaisantes »[4]. Sa fille, Claude Addas, diplômée en langues orientales, auteur d'une thèse de doctorat sur le poète soufi andalou Ibn Arabî, poursuit les recherches de son père.
Michel Chodkiewicz meurt le 31 mars 2020 à l’âge de 90 ans[5],[6],[7].