Aujourd'hui, Milo Manara est devenu un sujet d'un grand intérêt et d'une grande pertinence dans différents domaines de la société. Son impact s'est fait sentir dans divers secteurs, de la culture à la technologie, en passant par la politique et l'économie. Alors que Milo Manara continue de susciter débats et intérêt, il est crucial de comprendre son influence sur notre vie quotidienne. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Milo Manara et discuterons de son importance dans le contexte actuel. De ses origines à son évolution, en passant par ses implications et ses défis, Milo Manara continue d'être un sujet d'étude et de réflexion constant pour les universitaires, les experts et le grand public.
Quatrième d'une famille de six enfants, Milo Manara grandit dans une petite ville italienne proche de la frontière autrichienne. C'est chez le sculpteur espagnol Berrocal qu'il découvre la bande dessinée à travers Barbarella (Jean-Claude Forest) et Jodelle (Guy Peellaert) en 1967. Ses premières planches professionnelles — des récits érotiques — datent de 1968 et elles lui permettent de financer ses études d'architecture à Venise. Il abandonne son métier d'assistant de sculpteur et publie Genius pour les éditions Vanio. Vient ensuite Jolanda, qui relate les aventures d'une femme pirate.
Entre-temps, l'œuvre de Federico Fellini, autre « maître d’aventure » de Manara, a inspiré une autre collaboration avec la mise en image du Voyage à Tulum (1984), qui se poursuit en 1992 avec Le Voyage de G. Mastorna.
Frédéric Potet, « Le Caravage, Pratt, Fellini… les maîtres de Milo Manara », Le Monde, (lire en ligne)
Aurélia Vertaldi, « Les Belles de Manara à Bruxelles, au sommet de l'érotisme », Le Figaro, (lire en ligne)
Christophe Levent et Milo Manara (int.), « L'érotisme, c'est la vie », Aujourd'hui en France, (lire en ligne)
Daniel Couvreur, « "La nudité touche à l’éternité" : Milo Manara, maître de l’érotisme, a reçu le Grand Prix Saint-Michel 2016 », Le Soir,
Paul Roux, « Bande dessinée : Sexploitation », Le Devoir, .
Vincent Bernière, « Milo Manara, L'Âne d'or », dans Les 100 plus belles planches de la BD érotique, Beaux-Arts éditions, (ISBN979-1020402011), p. 12-13.
Vincent Bernière, « Milo Manara : Candide Camera », dans Les 100 plus belles planches de la BD érotique, Beaux-Arts éditions, (ISBN979-1020402011), p. 36-37.
Vincent Bernière, « Milo Manara : Le Déclic », dans Les 100 plus belles planches de la BD érotique, Beaux-Arts éditions, (ISBN979-1020402011), p. 54-55.
Vincent Bernière, « Hugo Pratt et Milo Manara : El Gaucho », dans Les 100 plus belles planches de la BD érotique, Beaux-Arts éditions, (ISBN979-1020402011), p. 66-67.
Vincent Bernière, « Milo Manara : Kâmasûtra », dans Les 100 plus belles planches de la BD érotique, Beaux-Arts éditions, (ISBN979-1020402011), p. 108-109.
Vincent Bernière, « Milo Manara : Le Parfum de l'invisible », dans Les 100 plus belles planches de la BD érotique, Beaux-Arts éditions, (ISBN979-1020402011), p. 148-149.
Vincent Bernière, « Milo Manara : Rendez-vous fatal », dans Les 100 plus belles planches de la BD érotique, Beaux-Arts éditions, (ISBN979-1020402011), p. 164-165.
Milo Manara (int. par Giulio Cesara Cuccolini), « Milo solo », BoDoï, no 47, , p. 35-39.
Milo Manara (int.) et Sonia Déchamps, « La BD, seule peinture de notre temps », Casemate, no 132, , p. 4-12.