Dans l'article suivant, nous explorerons en détail l'impact de Onosandre sur la société actuelle. Depuis son apparition, Onosandre a généré des controverses et des débats, attirant l'attention d'experts et de personnes de tous âges et de tous intérêts. Au fil des années, Onosandre s'est avéré avoir un impact significatif sur divers aspects de la vie quotidienne, de la façon dont nous communiquons à la façon dont nous consommons l'information. Dans cet article, nous discuterons de la manière dont Onosandre a façonné notre culture, influencé nos décisions et remis en question nos perceptions, ainsi que les éventuelles implications futures de sa présence dans notre société.
Nom dans la langue maternelle |
Ὀνήσανδρος |
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Époque | |
Activités | |
Période d'activité |
Ie siècle |
Science du chef d'armée (d) |
Onosandre (en grec Όνόσανδρος, en latin Onosander)[1] est un écrivain grec, auteur d'un traité d'art militaire en trente-trois chapitres intitulé Stratêgikos (Στρατηγικός).
La Souda indique qu'il était philosophe et auteur d'un commentaire de La République de Platon. La préface est adressée à un certain Quintus Veranius qui est peut-être l'officier de ce nom dont parle Tacite (Ann., II, 56 ; XII, 5), auquel cas Onosandre aurait vécu au Ier siècle ap. J.C.
Le traité est tout théorique, ne contenant aucun exemple historique. Il commence par le choix du général (§ 1), puis le choix de son état-major par le général (§ 2), puis la déclaration de guerre (§ 3), et ensuite tous les aspects de la conduite d'une expédition militaire (les marches, la castramétation, les exercices, le fourrage, les espions, les sentinelles, la consultation des devins, la tactique sur le champ de bataille, etc.).
Le traité d'Onosandre a inspiré le Stratêgikon de l'empereur Maurice et les Taktika de l'empereur Léon VI et de Nicéphore Ouranos. Ces derniers ouvrages l'intègrent d'ailleurs presque en entier.
Il fut d'abord imprimé une traduction latine de ce texte, par Nicolaus Saguntinus (Rome, 1494), puis une traduction allemande anonyme (Mayence, 1532), une traduction italienne par Fabio Cotta (Venise, 1546) et une traduction française par Jean Charrier (Paris, 1546), puis une seconde traduction latine par Joachim Camerarius le Jeune (Nuremberg, 1595). L'editio princeps du texte grec fut donnée par Nicolas Rigault (Paris, 1598). Il y eut ensuite l'édition de Nicolas Schwebel (Nuremberg, 1761) et celle de la Bibliothèque grecque d'Adamance Coray (Paris, 1822). Le maréchal de Saxe affichait une grande admiration pour ce texte.