Dans cet article, nous allons aborder Passacaille et fugue en do mineur, un sujet qui a gagné en pertinence ces dernières années. Depuis son émergence, Passacaille et fugue en do mineur a capté l'attention de publics divers, suscitant débat et réflexion autour de ses implications. Au fil des années, Passacaille et fugue en do mineur a fait l’objet de recherches et d’analyses par des experts du domaine, qui ont contribué à élargir notre compréhension de ce phénomène. A cette occasion, nous approfondirons l'analyse de Passacaille et fugue en do mineur sous différentes perspectives, en explorant ses dimensions historiques, socioculturelles, politiques et économiques. De même, nous souhaitons examiner l’impact que Passacaille et fugue en do mineur a eu sur la société contemporaine et comment il a façonné nos façons de penser et d’agir. Avec cela, nous cherchons à offrir une vision globale de Passacaille et fugue en do mineur qui invite à la réflexion et au dialogue sur ce sujet si d’actualité aujourd’hui.
La Passacaille et Fugue en ut mineur, BWV 582, est une œuvre pour orgue de Johann Sebastian Bach, composée entre 1706 et 1713 et tirée d'un thème d'André Raison.
La date de composition précise de l’œuvre n'est pas connue, mais les sources disponibles s'accordent sur une période comprise entre 1706 et 1713. Il est possible que la pièce ait été composée à Arnstadt peu après le retour de Bach de Lübeck [1], ville où Bach aurait étudié les œuvres en ostinato de Buxtehude.
L'ouverture de la passacaille, (une sorte d'ostinato), est un thème de huit mesures dont la première moitié provient d'une messe pour orgue d'André Raison, le Trio en Passacaille de son Premier livre d'orgue.[2].
Ce thème est répété vingt et une fois et est utilisé comme structure pour une série de variations décrites par Robert Schumann comme « si ingénieusement entremêlées qu'on ne cesse jamais d'en être étonné ».
Ces 21 variations se composent de 7 groupes de 3 variations qui symbolisent chacune un temps liturgique : l'attente, la naissance, l'enseignement, la passion, la mort, la résurrection et la vie éternelle. Le chiffre 3, c'est la Trinité que l'on va retrouver dans la fugue. D'ailleurs, la mesure est à 3 temps.
La fugue est basée sur la première moitié du thème précédent, combiné à deux contre-sujets. Pour G. Hoffman, la fugue « ramène la passacaille des passacailles à la fonction d'ouverture ». Cette réutilisation du même thème dans le prélude et dans la fugue est rare dans l'œuvre de Bach (bien que l'une des deux Toccata et Fugue en ré mineur, qui lui est attribuée, utilise également cette connexion entre le prélude et la fugue).
Les 3 sujets (sujet principal et 2 contre-sujets) représentent le Père, en valeurs longues, le fils en sujet descendant, et l'Esprit Saint, très mobile. Les trois sujets sont exploités de façon de plus en plus serrée, et le thème du Père embrasse à la fin l'ensemble par une exposition dans l’aigu et dans le grave. Le dernier accord n'utilise que les fondamentales de l'Ut 0.
La passacaille a été transcrite pour orchestre par Leopold Stokowski, Ottorino Respighi, René Leibowitz, Eugene Ormandy, Andrew Davis et Tomasz Golka, mais aussi pour piano par plusieurs compositeurs ou pianistes, parmi lesquels Eugen d'Albert, Georgy Catoire, Max Reger (version pour deux pianos), Fazil Say, Krystian Zimerman et Awadagin Pratt.
Elle est jugée par l'organiste américain E. Power Biggs comme un travail de logique musical persuasif et raisonné.