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Conservatoire national supérieur de musique et de danse (d) Université Paris-VIII |
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Directrice de thèse |
Philippe Gumplowicz est un professeur des universités, musicologue et historien de la musique français, né le [1] à Paris.
Ses parents, juifs polonais, émigrent en France en 1933[2]. Jeune, il va baigner dans les mouvements de jeunesse « sionistes et marxistes »[2]. Il suit des études d'histoire et passe sa maitrise à l'université de la Sorbonne en 1972.
Son diplôme d’histoire est consacré à la "Gauche révolutionnaire sous le Front populaire".
Philippe Gumplowicz intègre le Centre d’étude, de recherche et de formation institutionnelles (CERFI), laboratoire d’études fondé par Félix Guattari, où il est le co-auteur de quatre études sur l’histoire de la diffusion musicale en France, préalable à sa thèse sur le mouvement orphéonique au XIXe siècle.
Passionné de musique, il finance ses études en jouant dans un orchestre de jazz[2]. Il étudie ensuite les sciences humaines et se passionne pour la psychanalyse qu'il abandonnera dans les années 1970[2]. Il va alors travailler sur l'histoire d'institutions musicales, comme le conservatoire ou l'opéra-comique[2]. Il passe sa thèse dans le milieu des années 1980 sur les orphéons en France[2], ces sociétés musicales amateurs qui au XIXe siècle apparaissent dans les villages et villes d'Europe. Il enseigne au conservatoire, à École des hautes études en sciences sociales et à l'Université d'Évry-Val d'Essonne où il est directeur du RASM (Recherches Arts Spectacles Musiques)[2].
Il a produit pour France Musique et France Culture des émissions et des documentaires radiophoniques (Les Grands entretiens avec le pianiste Jean-Claude Pennetier en 2010, l’historien israélien Zeev Sternhell en ou le chanteur Michel Delpech en )[1] ainsi que des documentaires comme Les années Barclay Une histoire de Haute fidélité en [1].
Après avoir été maître de conférences à l’université de Bourgogne, il est professeur de musicologie à l’université d’Evry depuis 2011.
Il peut être entendu à la guitare acoustique dans deux chansons de l'album Innocence d'Antoine Tomé, publié en 1979[3].