Aujourd’hui, Philippe Roch est un sujet très pertinent qui a retenu l’attention de millions de personnes à travers le monde. Avec les progrès de la technologie et la mondialisation, Philippe Roch est devenu un sujet de discussion constant dans tous les domaines, de la politique à la culture pop. Cet article cherchera à analyser en profondeur l’impact de Philippe Roch sur la société contemporaine, en explorant ses différentes facettes et comment il en est venu à influencer nos vies d’une manière que nous n’avions peut-être même pas envisagée auparavant. A travers des témoignages, des études et des avis d'experts, il a pour vocation d'éclairer ce sujet et d'offrir aux lecteurs une vision complète et actualisée de Philippe Roch.
Directeur Office fédéral de l'environnement | |
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Directeur WWF Suisse | |
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Député au Grand Conseil du canton de Genève | |
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Philippe Roch, né le à Lancy, est un homme politique suisse. Il a dirigé le WWF Suisse puis l'Office fédéral de l'environnement.
Il obtient un diplôme d'études chimiques et biologiques à l'université de Genève en 1973, puis soutient en 1978 une thèse de doctorat en biochimie sur l'AMP cyclique dans le système nerveux périphérique[1]. Fondateur d'une section du WWF à Genève, il rédige l'éditorial de Panda Nouvelles (périodique du WWF Suisse)[2] et contribue au contenu du journal des jeunes du WWF Panda Club[3].
Il est nommé secrétaire et responsable du WWF de Suisse romande en 1977[4], premier secrétaire de l'entreprise CJ Énergies Nouvelles dès 1980, puis directeur général du WWF Suisse jusqu’en 1992[5].
Il est directeur de l'Office fédéral de l'environnement et secrétaire d'État à l'environnement (1992-2005) puis consultant indépendant à partir de 2005[6],[7].
Il a eu plusieurs engagements institutionnels ou politiques. Membre du Parti démocrate-chrétien, il est élu député au Grand conseil du canton de Genève pour deux législatures (1973-1982)[4]. Il a été membre du comité de pilotage sur la recherche suisse du conseil de fondation de la Station ornithologique suisse de Sempach[8], président du comité pour l'Afrique du WWF international (1990-1992), coprésident du Fonds pour l'environnement mondial (FEM/GEF) (1996-2005) et membre du conseil d'administration de l'UNITAR (1996-2001).
En 1987 il remporte avec le WWF la votation sur l’Initiative populaire « pour la protection des marais - Initiative de Rothenturm ». Pendant son mandat de directeur de l'office de l'environnement, son attitude prudente et l'interdiction d'expérimenter des OGM en plein champ lui vaut d’être la cible d’une motion qui demande la suppression de l’office, tandis que 250 scientifiques s'insurgent contre l'entrave à une recherche prioritaire[9]. En 2012 avec Vera et Franz Weber il remporte la votation sur l’initiative « pour en finir avec les constructions envahissantes de résidences secondaires ». Entre 2012 et 2014, il défend l'initiative d'Ecopop « Halte à la surpopulation - Oui à la préservation durable des ressources naturelles », qui échoue en votation, et en 2017 il s'oppose à la Stratégie énergétique 2050 à cause de son caractère trop bureaucratique et des éoliennes[10].
En 2020, il participe avec Sophie Swaton et Jacques Dubochet à une table-ronde sur l'avenir de l'humanité et de la planète Salut l'écologie![11].