Nicolas Hulot

Nicolas Hulot
Illustration.
Nicolas Hulot en 2015.
Fonctions
Ministre d'État
Ministre de la Transition écologique
et solidaire
17 mai 20174 septembre 2018
(1 an, 3 mois et 18 jours)
Président Emmanuel Macron
Gouvernement Philippe I et II
Prédécesseur Ségolène Royal (Environnement, Énergie et Mer)
Successeur François de Rugy
Biographie
Date de naissance 30 avril 1955
Lieu de naissance Lille (Nord, France)
Nationalité Français
Parti politique Sans étiquette
Profession Journaliste
Animateur de télévision
Producteur de télévision
Écrivain

Nicolas Hulot , né le 30 avril 1955 à Lille, est un journaliste, reporter, animateur et producteur de télévision, écrivain, militant écologiste, homme d'affaires et homme politique français.

Avant de faire son entrée dans le monde médiatique, il est animateur de planche à voile.

D'abord connu du public pour son émission télévisée Ushuaïa, il s'engage dans la protection de l'environnement et la sensibilisation du grand public sur les questions écologiques.

En 1990, Nicolas Hulot crée la Fondation Ushuaïa, qui devient ensuite la Fondation Nicolas-Hulot pour la nature et l'homme. Critiqué par une partie du mouvement écologiste français comme étant trop consensuel, il est le coauteur du film sorti en 2009, Le Syndrome du Titanic, visant à interpeller sur l’« urgence écologique ».

Désireux que les questions écologiques urgentes pèsent dans la campagne de l’élection présidentielle de 2007, il renonce à se présenter après avoir obtenu la signature du Pacte écologique par la plupart des principaux candidats. Candidat à la primaire présidentielle écologiste de 2011 en vue de l'élection présidentielle française de 2012, il est battu par Eva Joly.

Après avoir refusé le ministère de l'Écologie successivement proposé par les présidents Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande, il accepte en 2017 d'être nommé ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire, au sein des gouvernements Philippe I et II, sous la présidence d'Emmanuel Macron. En désaccord avec plusieurs mesures prises par l’exécutif, il quitte le gouvernement quinze mois plus tard.

Il annonce « quitter définitivement la vie publique » et la présidence de sa fondation en novembre 2021, après avoir été accusé par plusieurs femmes d'agressions sexuelles et de viol et y avoir opposé un démenti catégorique global. L'enquête est classée sans suite pour prescription en 2022.

Biographie

Famille

Son grand-père paternel, architecte, vivait dans le même immeuble parisien que le cinéaste Jacques Tati, lequel s'en est inspiré pour créer le personnage de Monsieur Hulot dans Les Vacances de monsieur Hulot (1953),.

Son arrière-grand-père maternel, Georges Moulun, était un riche industriel qui tira sa fortune de la construction des premiers barrages hydroélectriques français, et qui « perdit au jeu son dernier fusil de chasse ».

Nicolas Jacques André Hulot naît le 30 avril 1955 à Lille du mariage de Philippe Hulot, chercheur d'or et créateur de jardins, et de Monique Moulun, responsable de maisons de santé. Il a un frère, Gonzague, et une sœur, Béatrice.

Philippe Hulot meurt d'un cancer et laisse une famille de trois enfants, alors que Nicolas a tout juste 15 ans. Quatre années plus tard, le soir de Noël, Nicolas et sa sœur découvrent le corps de leur frère aîné, censé faire le tour du monde depuis trois mois, suicidé à la cave, et, voulant préserver leur mère, ils préfèrent n'en parler que le lendemain matin.

Formation, débuts comme photographe

Nicolas Hulot est élève au collège Fénelon-Sainte-Marie avant d'intégrer le lycée Saint-Jean-de-Passy, établissement d'enseignement privé catholique sous contrat d'association avec l'État, dans le 16e arrondissement de Paris, puis au collège Sasserno, autre établissement d'enseignement privé catholique, situé à Nice. Après le baccalauréat, il entame des études de médecine à l'université Pierre-et-Marie-Curie, qu'il abandonne au bout de six mois.

Il est successivement plagiste, moniteur de voile, serveur, puis photo-reporter,.

De 1975 à 1979, il est engagé par Gökşin Sipahioğlu, fondateur de l'agence de presse Sipa.

En 1976, il part pour le Guatemala, après le tremblement de terre qui a fait 20 000 morts. La même année, grâce à un ami, il part en reportage en Afrique du Sud avec le navigateur Éric Tabarly. En 1977, il est en Rhodésie, en pleine guerre d'indépendance, et interviewe Ian Smith, le Premier ministre. En 1978, après l'enlèvement du baron Empain, il mène une surveillance, planqué pendant 46 jours dans une voiture devant son domicile, mais s'absente au moment où le baron est libéré par ses ravisseurs et manque le cliché espéré. Le 2 novembre 1979, il refuse de photographier la mort de Jacques Mesrine alors qu'il est parmi les premiers sur les lieux de la fusillade.

Carrière dans l'audiovisuel

Nicolas Hulot commence sa carrière dans les médias à France Inter de 1978 à 1987.

Il fait ses débuts à la télévision dans une émission pour enfants, Les Visiteurs du mercredi, en 1980, avant Les Pieds au mur (1982-1983). Puis il se fait connaître comme animateur-reporter en soirée sur France Inter sur des événements moto, sa chronique s'appelle La Poignée dans le coin.

Pour mieux raconter la course, Nicolas Hulot participe au deuxième rallye Paris-Dakar en 1980 dans la catégorie autos mais doit abandonner avant l'arrivée, suivi d'une participation à l'expédition transafricaine en 1986 au volant d'une Peugeot 505 Dangel (prototype équipé d'un moteur essence V6 PRV spécialement préparé pour lui).

De 1987 à 1995, il présente l'émission télévisée Ushuaïa, le magazine de l'extrême, diffusée sur TF1 et coproduite avec Dominique Cantien. Il devient, grâce à cette émission, un familier des téléspectateurs et l'un des grands porte-parole français de la sauvegarde de la nature de ces 20 dernières années. En 1996 et 1997, il présente Opération Okavango, puis Ushuaïa Nature de 1998 à 2012. Le 29 décembre 2011, TF1 et Nicolas Hulot annoncent la fin du contrat qui les liait. Quatre épisodes seront cependant encore diffusés, jusqu'en avril 2012 où l’émission prend fin.

Il est l'inspirateur de la nouvelle chaîne Ushuaïa TV, lancée sur le câble en mars 2005 et appartenant au Groupe TF1.

Son émission Ushuaïa Nature obtient le 7 d'or de la meilleure émission de découverte, aventure et évasion en 1999 et 2001, et il reçoit le prix Roland-Dorgelès dans la catégorie Télévision en 2002.

Fondation Nicolas-Hulot pour la nature et l'homme

Il crée en 1990 la Fondation Ushuaïa (d'où son attribution du prix André-de-Saint-Sauveur en 1991 par l'Académie des sports, prix en faveur d'exploits sportifs exceptionnels et de caractères originaux), qui devient en janvier 1995 la Fondation Nicolas-Hulot pour la nature et l'homme (reconnue d'utilité publique en 1996) dont il est président jusqu'en juin 2017.

En février-mars 1992, Nicolas Hulot et Gérard Feldzer expérimentent le dirigeable de Didier Costes avec sa dérive flottante appelée « chien de mer ». L'année suivante, en mars 1993, ils tentent la traversée de l'Atlantique depuis l'Espagne en dirigeable à pédales à propulsion électrique d'origine solaire et musculaire (pédaliers). Cette tentative échoue cependant après 1 500 km, non loin des îles du Cap-Vert,.

Depuis, les projets et les partenariats n'ont cessé de se développer. Ses « partenaires fondateurs » sont EDF, l'Oréal, TF1 auxquels s'ajoute Véolia,. TF1 possède la marque Ushuaïa dont Hulot reçoit des royalties.

Depuis 2006, le Muséum national d'histoire naturelle et l’association Noé Conservation, en partenariat avec la Fondation Nicolas-Hulot pour la nature et l'homme, organisent chaque année des événements ludiques dans le but de rapprocher l'humain de la biodiversité.

Après avoir travaillé aux côtés des enfants et des enseignants, en 2005, la Fondation Nicolas-Hulot et l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) lancent l’opération « Défi pour la Terre ». Elles invitent le public, les collectivités ou les entreprises à être dans les gestes de la vie quotidienne, plus respectueux de l’environnement.

En 2009, la Fondation franchit une nouvelle étape en lançant la campagne ÉVOLUTION, Chapitre 2.

« Face au carrefour de crises écologique, sociale, financière, la Fondation Nicolas Hulot invite chacun à se projeter dans l'avenir, à oser l’inédit pour bâtir autre chose, ouvrir un nouveau chapitre de notre histoire individuelle et collective. Avec le Comité de Veille Écologique, la Fondation entend participer à sa mesure à ce grand défi, en encourageant la volonté d’agir et en mettant au débat des pistes de réflexion pour construire demain autrement. »

En janvier 2013, la fondation lance un think tank de la transition écologique.

Engagement politique pour l'écologie

Avant 2007

Cette section ne s'appuie pas, ou pas assez, sur des sources secondaires ou tertiaires indépendantes du sujet.
Pour l'améliorer, ajoutez-en, ou placez des modèles {{Source secondaire souhaitée}} ou {{Source secondaire nécessaire}} sur les passages mal sourcés. (septembre 2021)

Nicolas Hulot a conseillé plusieurs personnalités politiques telles que Laurent Fabius ou Jacques Chirac, dont il aurait refusé en 2002 la proposition de devenir ministre de l’Écologie. Il est à l'origine de l'idée d'inclure une charte de l'environnement dans la Constitution, ce qui est effectif depuis mars 2005.

Partisan d'une société de sobriété, il cite Jean-Baptiste de Foucauld qui préconise l'« abondance frugale » : « Il ne s'agit pas de supprimer voitures et avions. Mais d'organiser la modération avant d'y être contraint. Soit l'évolution sera imposée à nous, soit on l'organisera ».

Le 29 juillet 2006, des rumeurs circulent selon lesquelles il pourrait être candidat à l'élection présidentielle française de 2007, mais il dément : « Je ferai tout pour ne pas être candidat ». Il se rend aux universités d'été de l'UDF, des Verts et de Cap21 pour prôner aux politiques la nécessité d'agir d'urgence pour préserver notre environnement. Courant septembre, il annonce sur le site de sa Fondation qu'il présentera sa décision fin novembre.

Sa démarche vise à faire pression sur les hommes et appareils politiques, il écrit sur son site :

« Il faut placer les enjeux écologiques au cœur de l’élection présidentielle ! 9 Français sur 10 estiment nécessaire de changer profondément de politique pour faire face au risque écologique, 52 % souhaitent que la protection de l’environnement soit parmi les objectifs prioritaires du futur président. À l’aube des élections, je lance un appel à la raison en espérant que les candidats de l’ensemble des partis s’emparent de ces questions et fixent des priorités. Je souhaite que les politiques placent ces enjeux au cœur de leurs programmes électoraux. La Fondation et moi-même allons mettre toute notre énergie pour convaincre les candidats en ce sens. »

Pacte écologique de 2007

Le 7 novembre 2006, il lance le Pacte écologique afin d'imposer l'écologie dans la campagne présidentielle française. Il souhaite ainsi interpeller les candidats, mobiliser les citoyens et nourrir le débat public. Son pacte est signé par cinq candidats sur douze déclarés à la présidentielle (Ségolène Royal, Nicolas Sarkozy, François Bayrou, Marie-George Buffet et Dominique Voynet) et 740 300 personnes (au 24 mai 2007). Deux autres candidats, qui n'ont pas signé le pacte, ont néanmoins réagi à l'initiative : Arlette Laguiller rejette la responsabilité de la situation sur le patronat et refuse en bloc les mesures proposées par Nicolas Hulot tandis qu'Olivier Besancenot propose des solutions alternatives, selon lui plus efficaces que celles proposées.

Le 22 janvier 2007, au cours d'une conférence de presse au Palais de la découverte, il annonce qu'il ne se présentera pas à l'élection présidentielle. Il déclare, au cours de cette conférence de presse relative à sa candidature, qu'il ne « supportera aucun candidat à l'élection présidentielle » laissant « l'impératif écologique au cœur de ses préoccupations ». Il déclare par ailleurs « faire confiance aux candidats à l'élection quant à leur engagement vis-à-vis du Pacte écologique ». À une question relative à son intérêt personnel pour un poste de vice-premier ministre chargé des affaires environnementales, Nicolas Hulot déclare qu'« à ce poste nouveau, délicat, il faudrait quelqu'un qui, au-delà de ses compétences écologiques, ait une solide expérience des institutions ». Il continue à promouvoir son Pacte en rassemblant le 31 janvier ses principaux signataires et des personnes de base.

Au cours de la campagne, Nicolas Hulot est intervenu à plusieurs reprises pour rappeler l'exigence écologique. Les candidats, malgré la signature du pacte, ont relégué au second plan la question du réchauffement climatique et du développement durable.

À la suite de l'élection, une pétition intitulée « Pacte contre Hulot » est mise en ligne sur Internet par ses détracteurs.

Période 2008-2011

Le 22 octobre 2008, il intervient pendant la conférence de presse de la plateforme collaborative écologiste et humaniste Colibri, fondée par Pierre Rabhi. Il déclare entre autres : « notre vernis civilisationnel ne résistera pas longtemps à la combinaison de la crise écologique et de la pauvreté ».

Le 13 avril 2011, il devient candidat déclaré pour l'élection présidentielle de 2012.

Depuis 2011, il soutient publiquement le chef amérindien chef Raoni contre le barrage de Belo Monte.

Primaire écologiste de 2011 Article connexe : Primaire présidentielle écologiste de 2011.

Le 13 avril 2011, à Sevran en Seine-Saint-Denis, Nicolas Hulot se déclare candidat pour l'élection présidentielle de 2012. Il inscrit sa démarche dans la primaire présidentielle écologiste de 2011. Lors du premier tour, il arrive deuxième avec 40,22 %, derrière Eva Joly (49,75 %), alors que les sondages le donnaient largement gagnant. Il perd face à elle au second tour, en recueillant 41,34 % des suffrages. Eva Joly devient donc la candidate officielle d'Europe Écologie Les Verts.

Par la suite, lors de l'élection présidentielle de 2012, il déclare avoir voté pour le candidat du Front de gauche, Jean-Luc Mélenchon, au premier tour, le trouvant plus pédagogue et plus performant qu'Eva Joly candidate officielle de son parti, en particulier sur les questions environnementales. Au second tour de l'élection, son choix s'oriente sur François Hollande.

Sous la présidence Hollande

Le 6 décembre 2012, Nicolas Hulot est nommé « envoyé spécial pour la protection de la planète » par le président de la République, François Hollande. C'est une mission bénévole dont « les objectifs sont notamment de sensibiliser, informer et mobiliser la communauté internationale sur la crise écologique mondiale et les moyens pour y faire face, notamment là où ces enjeux ne sont pas suffisamment pris en compte ». Dans ce cadre, il a transmis une demande d'audience de François Hollande au pape François.

En janvier 2013, il lance un laboratoire d'idées en faveur de la transition écologique.

En novembre 2013, il passe deux jours au Vatican pour y rencontrer de hauts responsables du Saint-Siège afin d’évoquer les questions d’environnement et la prochaine grande conférence qui se tiendra à Paris en 2015. Il rêve « d’un déplacement du pape consacré au changement climatique pour mettre l’humanité devant ses responsabilités et pour qu’elle voie cette réalité qui occasionne déjà des centaines de milliers de victimes par an et des millions de déplacés. » . Il œuvre pour que François Hollande rencontre le pape François pour aborder explicitement ces sujets.

Il fait partie de la délégation qui accompagne le président français lors de sa visite au Saint-Siège le 24 janvier 2014. Le Vatican confirme à cette occasion que le pape François prépare une encyclique sur l'« écologie de l'humanité ».

Sa mission d'envoyé spécial pour la protection de la planète inclut notamment la préparation, avec la diplomatie et la société civile, de la 21e conférence sur le climat (COP21) qui se tient à Paris en décembre 2015,. Dans le cadre de sa mission d'envoyé spécial, et dans la perspective de la Conférence de Paris, il lance le Sommet des Consciences, qui réunit le 21 juillet 2015 au Conseil économique, social et environnemental à Paris une quarantaine de personnalités morales et religieuses du monde entier pour répondre à la question « The climate, why do I care ? » et lancer ensemble un « Appel des Consciences pour le climat ».

Le 7 octobre 2015, il lance un appel aux chefs d'État en vue de la Conférence de Paris de 2015 sur le climat (COP21) : « Chefs d’État, osez ! » accompagné d'une campagne de signatures qui s'appuie sur Break the Internet, une vidéo réalisée par Golden Moustache et un livre Osons !,.

En janvier 2016, il quitte son poste d'« envoyé spécial pour la protection de la planète », et n'écarte pas la possibilité de se présenter à l'élection présidentielle de 2017, mais sans passer par une primaire.

En février 2016, Nicolas Hulot refuse une nouvelle fois d'entrer au gouvernement comme ministre de l’Écologie. Il « remercie le président de la confiance qu’il n’a cessé de lui accorder »,.

Le 5 juillet 2016, il déclare qu'il ne sera pas candidat à l'élection présidentielle de 2017 alors que les principales figures écologistes françaises avaient annoncé qu'elles le soutiendraient s'il se présentait, que les statuts d’une association dévolue au financement de sa campagne venaient d'être déposés en préfecture et qu'une équipe de campagne était en place depuis plusieurs mois. Il précisera que cette décision fut « la plus lourde » de son existence. Au premier tour du scrutin, il vote pour le candidat PS Benoît Hamon.

Ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire Nicolas Hulot s’exprimant à l’Assemblée nationale.

Le 17 mai 2017, Nicolas Hulot est nommé ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire, au sein des gouvernements Philippe I et II, sous la présidence d'Emmanuel Macron. Il se trouve protocolairement au troisième rang, derrière Édouard Philippe (Premier ministre) et Gérard Collomb (ministre d'État, ministre de l'Intérieur). Ses attributions ministérielles sont fixées par un décret et concernent le climat, la pollution de l'air, l'énergie et les transports (ces derniers étant délégués à Élisabeth Borne, ministre chargée des Transports auprès de lui) ; elles sont identiques à celles de sa prédécesseure, Ségolène Royal, à l'exception de la politique de la pêche qui revient au ministère de l'Agriculture ; il obtient en plus « la protection et la valorisation de la nature et de la biodiversité » et la conduite des négociations européennes et internationales sur le climat.

Sa directrice de cabinet est Michèle Pappalardo, qui avait déjà occupé ce poste dans le même ministère auprès de Michel Barnier de 1993 à 1995 ; magistrate à la Cour des comptes, elle a également été directrice de l’Ademe, poste auquel elle a collaboré avec Nicolas Hulot pour l’opération « Défi pour la Terre » en 2005. Sa cheffe de cabinet est Anne Rubinstein, qui occupait le même poste auprès d’Emmanuel Macron au ministère de l'Économie,.

En juillet 2017, Nicolas Hulot présente le « plan climat » du gouvernement, un projet de loi pour engager la France vers la neutralité carbone à horizon 2050 et dans lequel la France s'engage à cesser toute production énergétique à partir du charbon d'ici 2022 et arrêter la commercialisation des voitures roulant à l'essence d'ici 2040,. Pour ce faire, des groupes de travail par filière ont été initiés, les procédures ont été simplifiées et le volume des appels d'offres pour le photovoltaïque ont été augmentés. Cependant des projets d'éoliens offshore attribués par appels d'offres ont été remis en question. Il a aussi fait adopter une loi interdisant la production d'hydrocarbures (pétrole et gaz) en France d'ici 2040, avec cependant des dérogations. Un plan d'aide à la rénovation énergétique des bâtiments a également été présenté.

Toujours en juillet 2017, il autorise l'abattage de 40 loups gris dans l'année (soit quatre de plus que les années précédentes) pour une population estimée de 360 individus sur le territoire français. Cette décision ne satisfait ni les éleveurs, ni les associations de protection de l’environnement.

En 2017, Nicolas Hulot milite pour la fin de l'utilisation du désherbant glyphosate d'ici trois ans. En septembre 2017, il affirme que la France s'opposera à un renouvellement européen de son autorisation, alors que la Commission européenne propose une prolongation de dix ans. En novembre 2017, il annonce que la France votera contre un renouvellement d'autorisation au-delà de trois ans au niveau européen. Finalement, l'Union européenne renouvelle la licence de l'herbicide pour cinq ans le 27 novembre 2017, 18 pays membre de l'UE ayant voté pour. Nicolas Hulot continue son combat pour une sortie du glyphosate en France en trois ans, mais, en février 2018, évoque une possibilité d'exception pour certains agriculteurs, estimant que se passer du glyphosate à 95 % serait une réussite,. En mai 2018, le refus des parlementaires de la majorité d'inscrire dans la loi l'interdiction du glyphosate en 2021 est analysé par L'Obs comme une « défaite » pour le ministre, mais Nicolas Hulot affirme que le projet n'est pas remis en cause,. Le 22 juin 2018, une soixantaine d'acteurs concernés par la sortie du glyphosate sont réunis pour en discuter les modalités sous l'égide de Nicolas Hulot et du ministre de l'Agriculture.

En décembre 2017, selon France TV Info, Nicolas Hulot déclare posséder neuf véhicules à moteur, dont un bateau, un scooter électrique, une moto et six voitures, qui ne rentrent pas toutes dans la catégorie des véhicules propres lui-même luttant contre l'utilisation et la vente de la voiture thermique. Pour se défendre face à la polémique que suscitent ces révélations, Nicolas Hulot affirme au Journal du Dimanche qu'il « roule en électrique 95 % de son temps », en BMW électrique en Bretagne et en scooter électrique à Paris,.

Des écologistes reprochent à Nicolas Hulot le recul de l'exécutif sur le sujet des perturbateurs endocriniens, le CETA ou encore le nucléaire. Par ailleurs, Nicolas Hulot aurait mis sa démission dans la balance, dans le cas où le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes serait lancé. Celui-ci est finalement abandonné en janvier 2018. S'agissant du nucléaire, Marc Endeweld indique que Nicolas Hulot « a surtout dû batailler quotidiennement contre le secrétaire général de l'Élysée Alexis Kohler, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire, et même son propre secrétaire d'État, Sébastien Lecornu, tous convaincus que seule une relance du programme nucléaire peut répondre aux défis énergétiques de la France ».

En mars 2018, il annonce un projet de réintroduction de deux ours bruns femelles dans les Pyrénées-Atlantiques, conformément aux recommandations formulées par l'expertise conduite par le Muséum national d'histoire naturelle qui préconisait un renforcement de la population ursine dans les Pyrénées, afin que celle-ci soit viable à long terme.

Nicolas Hulot en 2018.

Le 28 août 2018, Nicolas Hulot annonce sa décision de démissionner du gouvernement au micro de la matinale de France Inter. Il dit avoir pris sa décision seul, sans en avoir prévenu ni le président de la République ni le Premier ministre, estimant qu'ils chercheraient à le dissuader. Il déclare : « Je ne veux plus me mentir » et motive son départ en affirmant qu'il a le sentiment que l'écologie n'est pas une priorité du gouvernement. Il déclare aussi qu'il a vécu ses derniers mois au gouvernement comme une souffrance, qu'il ne se sentait pas soutenu, et que le gouvernement n'est pas à la hauteur des enjeux écologiques. Il cite plusieurs domaines où il n'a pas pu faire avancer ses dossiers : l'utilisation des pesticides, la perte de biodiversité et l'artificialisation des sols. En ce qui concerne les progrès réalisés, il les qualifie de « petits pas », insuffisants à enrayer le réchauffement climatique. Ce dernier ne pourrait être stoppé, selon lui, qu'en changeant de système, et il met en cause le libéralisme économique qui serait cause de « désordres »,,. Il explique enfin son départ par l'importance des « lobbies dans les cercles du pouvoir », il dénonce un « problème de démocratie », soulève la question « qui a le pouvoir, qui gouverne ? », et cite cet exemple qui a précipité sa décision : la veille, lors d'une réunion avec le président et des chasseurs, il découvre la présence du lobbyiste Thierry Coste, qui n'était pas invité, et à qui il déclare très frontalement « qu'il n'avait rien à faire là, qu'il n'était pas invité »,. De plus, la semaine précédente, il apprenait par Édouard Philippe une réduction de son budget de 200 millions d'euros, touchant notamment l'aide à la transition écologique (en particulier l'énergie solaire) et le contrôle de la qualité de l'eau ; l'allocation de cette somme basculait vers l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF), une agence jugée par la Cour des comptes « inutile » et « vide »,.

La lettre de démission de Nicolas Hulot parvient à l’Élysée le 29 août et le 31 août il ne participe pas au conseil des ministres. Il est remplacé le 4 septembre 2018 par le président de l'Assemblée nationale, François de Rugy.

Après son départ du gouvernement

Lors de son retour médiatique, le 22 novembre 2018 sur France 2, il réaffirme son soutien au projet de Pacte Finance Climat de Jean Jouzel et Pierre Larrouturou, tout en affirmant comprendre la colère exprimée par le mouvement des Gilets jaunes, notamment en raison de l’absence de taxe sur le kérosène des avions et sur le fioul lourd des cargos,.

Le 30 janvier 2019, Nicolas Hulot est nommé président d'honneur de la Fondation pour la nature et l'homme, qui reprend à cette occasion son nom d'origine (Fondation Nicolas Hulot).

Le 19 février 2019, Nicolas Hulot intervient aux côtés de Laurent Fabius et Alain Juppé au Grand débat du Pacte Finance Climat pour soutenir ce projet.

Il s'oppose en juin 2019 à l'accord commercial entre l'Union européenne et le Canada (CETA), qui favorise selon lui « le moins-disant environnemental, sanitaire et social ».

Accusations d'agressions sexuelles et de viol

Article détaillé : Affaire Hulot.

En février 2018, le magazine l'Ebdo révèle que, le 16 juillet 2008, une plainte pour viol a été portée par Pascale Mitterrand,, petite-fille de François Mitterrand et nièce de Mazarine Pingeot, contre Nicolas Hulot pour des faits remontant à 1997. Après cette plainte, Nicolas Hulot a été entendu en 2008 et reçoit une lettre du parquet indiquant : « Les faits dénoncés, qui en tout état de cause n'apparaissaient pas établis, font l'objet ce jour d'un classement sans suite en raison de la prescription intervenue. » La plaignante a en effet sciemment choisi d'attendre la prescription, ne voulant pas déposer plainte mais « le mettre devant sa conscience »,,. Les avocats de Nicolas Hulot annoncent que ce dernier leur a demandé de porter plainte contre Ebdo pour « diffamation ». Le magazine cesse de paraître en mars 2018, après seulement trois mois d'existence et en décembre 2018, Nicolas Hulot retire sa plainte. En août 2019, Mazarine Pingeot publie chez Julliard un roman, Se taire, qui raconte l'histoire d'une jeune photographe violée par une sommité médiatique, allusion probable aux faits reprochés à Nicolas Hulot,. Un article de Reporterre relance le sujet le 22 septembre 2021, avec un témoignage de Bérangère Bonte, biographe de Nicolas Hulot. Celui-ci aurait choisi volontairement la « belle » photographe, et aurait refusé qu'elle vienne accompagnée.

Le 24 novembre 2021, à la veille de la diffusion d'une enquête de l'émission Envoyé spécial sur France 2, donnant la parole à des femmes qui l'accusent d'agressions sexuelles et de viol, parmi lesquelles Maureen Dor, Nicolas Hulot dément avoir commis de tels actes et annonce « je quitte définitivement la vie publique tout simplement parce que je suis écœuré, Je vais quitter la présidence d’honneur de ma fondation, qui est l’œuvre de ma vie Certains esprits malins vont prendre ça comme un indice de culpabilité. Non, c’est l’expression de mon écœurement »,. Sur BFM et C8, la militante féministe Anaïs Leleux, affirme qu'une femme accusant Nicolas Hulot était « mineure au moment des faits ». À la suite de la diffusion d'Envoyé spécial, le parquet de Paris annonce l'ouverture d'une enquête préliminaire pour viol et agression sexuelle à l'encontre de Nicolas Hulot. Cela concerne des faits susceptibles d'avoir été commis à Paris, à l'égard d'une victime mineure.

En France, apparait à cette période un « MeToo média », le quotidien Libération ayant peu avant fait sa une du 8 novembre 2021 sur une autre enquête, de huit pages, recoupant les accusations contre l'ex-présentateur de TF1 Patrick Poivre d'Arvor de huit femmes pour des faits supposés de viols, agressions, ou harcèlement sexuel.

La médiatisation de l'affaire Hulot suscite un débat sur le « désormais fameux tribunal médiatique », favorisé par un nouveau journalisme d'enquête, mais l'expression est récusée par ses nouvelles figures. La polémique vaut à Élise Lucet la critique du choix d'un journalisme d'enquête : l'animateur télé Laurent Ruquier l'accuse d'agir en juge, une critique similaire à celle prononcée par Nicolas Hulot, qui accusait Élise Lucet sur BFMTV de lui faire un « procès médiatique ». Elle répond que c'est « au service public d'enquêter sur ces affaires » : recueil de témoignages, vérification, recoupement, proposition d'interview à Nicolas Hulot, approché depuis 17 jours, en mettant en œuvre la rigueur qui a fait sa popularité et celle de ses enquêtes télévisées.

En septembre 2022, le parquet de Paris classe sans suite l'enquête pour viol et agression sexuelle sur mineur, pour prescription de l'action publique,.

Vie privée

De 1986 à 1992, Nicolas Hulot partage la vie de Dominique Cantien, directrice des variétés à TF1 (de 1987 à 1994) et productrice de l'émission Ushuaïa. Le 3 septembre 1993, il épouse à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine) Isabelle Patissier, double championne du monde d'escalade. Le couple divorce le 9 avril 1996. Il se remarie à Viens (Vaucluse), le 5 octobre 2002, avec Florence Lasserre, la mère de ses deux fils, Nelson et Titouan, et ancienne conseillère municipale de Saint-Lunaire, (Ille-et-Vilaine). Il est père de trois enfants.

Distinctions et décorations

Une figure médiatique

Popularité

Apprécié de l'opinion publique française, il est régulièrement en tête des sondages de popularité,. En 2016, il est l'homme politique le plus populaire selon un sondage de l'institut Odoxa pour le Parisien, mais sans que cela se traduise en intentions de vote.

Pensée

Hervé Kempf, pour Le Monde, souligne que son film Le Syndrome du Titanic sorti en octobre 2009 pourrait faire de Nicolas Hulot une figure qui « dérange » si ce dernier acceptait de cesser d'être « gentil » et commençait à critiquer les « égoïsmes de classe », ceux de l'oligarchie qui cherche à « maintenir ses intérêts et ses privilèges ».

Pour Le Monde, c'est un tournant dans sa carrière, l'écolo devenant radical, plus social :

« Les accents sont tiers-mondistes, anticapitalistes, décroissants » risquant de le rendre moins consensuel, ce à quoi Hulot répond : « Ce n'est pas moi qui me suis radicalisé, c'est la situation Je me suis d'abord beaucoup penché sur la dimension écologique, je n'ignorais pas la dimension humaine, mais j'ai pris conscience, il y a deux ou trois ans, avec les crises qui se sont succédé, que tout était imbriqué » »

.

L'échec du film affecte beaucoup Nicolas Hulot qui se dit « perdu » à devoir continuer à lutter pour exposer des évidences incontestées au public et aux élites, dans un combat qui lui a beaucoup coûté ces 20 dernières années face à l'inertie. Il considère déroutant de devoir continuer d'expliquer que la décroissance est inévitable à cause de l'épuisement de certaines ressources, et précise que le capitalisme s'il est débridé dans un monde physiquement limité, et inégalitaire dans un monde interconnecté va au désastre, « à cause de la nature et de la nature humaine », la nature arrivant au point de rupture et les nations et les individus se battant pour les ressources.

Critiques

Médiatisation et financements

En 2007, Nicolas Hulot fait l'objet de critiques de Vincent Cheynet, membre du courant décroissant, qui le considère comme un homme surmédiatisé, acceptant des fonds de la part de grandes entreprises telles qu'EDF, Vinci ou L'Oréal. L'hebdomadaire Marianne souligne également cette contradiction en septembre 2009 — qu'il qualifie de « relations incestueuses avec le CAC 40 » — entre son discours anti-capitaliste et le généreux soutien dont il bénéficie de la part de multinationales pour produire ses émissions et documentaires. Un rapport parlementaire de 2011 note également l’ambiguïté de Nicolas Hulot et sa fondation au niveau des financements notant qu'« EDF est une entreprise de pointe dans le secteur nucléaire Dès lors, comment interpréter, par exemple, la position très mesurée de Nicolas Hulot sur l'énergie nucléaire ? ». Nicolas Hulot rétorque qu'il va chercher l'argent « là où il est » pour « créer des passerelles plutôt que des fossés ». Il réfute avoir changé la fin du Syndrome du Titanic sous la pression des sponsors et la FNH mentionne que « la position de Nicolas Hulot dans le Pacte écologique sur le nucléaire — en particulier sur l'EPR — est très loin du copier-coller de celle d'EDF ».

Réchauffement climatique

Claude Allègre, ancien ministre de l'Éducation nationale, le critique en 2009, le traitant d'« imbécile » qui « envoie les gens rouler à vélo et lui, fait ses affaires en hélicoptère », après que Nicolas Hulot s'était opposé à son entrée au gouvernement de François Fillon à cause de ses opinions controversées sur le réchauffement climatique,. Rappelant que les changements climatiques occasionnent « 300 000 morts par an », Hulot rétorque que l'opposition d'Allègre au consensus de milliers de scientifiques sur le sujet font que « l'injure et le mensonge ne remplacent pas la vérité scientifique ».

Ministre de la Transition écologique et solidaire

Pendant le ministère de Nicolas Hulot, qui commence en mai 2017, Reporterre met en place un « Hulotscope » pour juger des réalisations concrètes en matière d'écologie. Reporterre estime que « la politique environnementale de MM. Macron, Philippe et Hulot est déplorable : des mots, des plans, des promesses ». Toujours selon Reporterre, Nicolas Hulot n'a pas compris que « MM. Macron et Philippe le traitent en fonction de leur seul intérêt politique » et que, à force de céder sur les projets concrets, Nicolas Hulot se déconsidère aux yeux du président de la République et son premier ministre, ainsi qu'aux yeux des écologistes. Europe 1 estime que Nicolas Hulot est « très isolé » au sein d'un gouvernement qui ne remet pas en cause « la logique productiviste, qu'elle soit industrielle ou agricole ». Selon Europe 1, Nicolas Hulot doit faire face à la « pression des lobbys », qui peuvent être soutenus par des experts qui « ne sont plus simplement de grands « sachants » qui défendent l'intérêt général », mais qui « sont souvent liés à des intérêts plus privés, dont le but est bien de conserver leurs rentes ».

Environ un an après la nomination de Nicolas Hulot au ministère, le journal Le Parisien dresse un premier bilan de ses actions, jugeant qu'il y a eu des « succès », et des « renoncements ». Parmi les « succès », Le Parisien mentionne par exemple que Nicolas Hulot a sauvé l'interdiction des néonicotinoïdes, insecticides tueurs d'abeilles, ou encore que l'objectif de 50 % de nourriture biologique dans les cantines est entré dans la loi. Le journal enregistre aussi dans les « succès » la loi adoptée en décembre 2017 visant à stopper la production de pétrole, charbon, gaz, gaz de schiste, etc, d'ici 2040. Mais Le Parisien affirme que le texte « comporte néanmoins plusieurs dérogations — comme la poursuite de l'exploitation de soufre du bassin de Lacq — mal digérées par les écolos ». Concernant les « renoncements », le journal indique un « gros revers pour les défenseurs de l'environnement » : l'annonce en novembre 2017, « du recul du gouvernement sur le nucléaire ». Et, selon le journal, Nicolas Hulot est « également accusé d'avoir cédé sur les perturbateurs endocriniens ».

Publications

Filmographie

Notes et références

  1. Matthieu Écoiffier, « Le petit-fils de Monsieur Hulot »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Libération.fr, 29 novembre 2006.
  2. « Les voyages de Monsieur Hulot », sur LExpress.fr, 7 février 2005 (consulté le 5 septembre 2021).
  3. Élise Karlin, « La première vie de Nicolas Hulot », sur L'Express, 13 décembre 2006 (consulté le 8 février 2018).
  4. Who's Who in France, édition 2015, p. 1159.
  5. « Itinéraire d'un enfant longtemps tourmenté », sur leparisien.fr, 22 novembre 2006 (consulté le 28 août 2018).
  6. « Nicolas Hulot, du petit écran à la candidature », Le Monde.fr,‎ 13 avril 2011 (lire en ligne, consulté le 24 novembre 2018).
  7. « Nicolas Hulot animateur des Visiteurs du mercredi », sur ina.fr, 10 septembre 1980 (consulté le 5 septembre 2021).
  8. « Les Pieds au mur - L'Encyclopédie des Émissions TV », sur Toutelatele.com (consulté le 25 mars 2013).
  9. « Nicolas Hulot / Jean-paul Flory / Etienne-georges Batifoulier », sur dakardantan.com (consulté en avril 2024).
  10. Brochure de présentation à la presse du véhicule Peugeot 505 Dangel, consultable aux archives des établissements Dangel de Sentheim.
  11. « Nicolas Hulot », Fondation pour la Nature et l'Homme,‎ 18 mai 2015 (lire en ligne, consulté le 22 mai 2017).
  12. « Le dernier voyage de M. Hulot », Le Monde, 31/12/2011.
  13. « Retour sur le parcours de Nicolas Hulot », sur 20minutes.fr, 13 avril 2011 (consulté le 30 janvier 2018).
  14. « Hulot se tiendra à l'écart des produits Ushuaïa et de la fondation qu'il a créée », sur europe1.fr, 11 août 2017 (consulté le 30 janvier 2018).
  15. « La traversée de la Manche en dirigeable à pédales », sur Libération, 28 septembre 2008 (consulté le 5 septembre 2021).
  16. 1913-2013 un siècle de techno folies……vraiment folles, supplément à Sciences et Avenir, août 2013, p. 40-41.
  17. Partenaires de la fondation, consulté le 24 mai 2011.
  18. « Les encombrants soutiens financiers de la fondation de Hulot » Accès libre, sur lepoint.fr, 6 juillet 2017 (consulté le 29 novembre 2021)
  19. « Nicolas Hulot a été "contrarié" par TF1 quand le groupe a déposé la marque Ushuaïa » Accès libre, sur parismatch.com, 24 juin 2019 (consulté le 29 novembre 2021)
  20. « Recherche détective écolo », sur sciencesetavenir.fr, 27 juillet 2010 (consulté le 5 septembre 2021).
  21. « Ensemble, relevons le Défi pour la Terre », sur Fondation pour la Nature et l'Homme, 4 août 2009 (consulté le 26 février 2019).
  22. Site de la Fondation Nicolas-Hulot.
  23. Communiqué de presse du 30 janvier 2013 de la Fondation Nicolas-Hulot pour la nature et l'homme.
  24. Id.
  25. Nicolas Hulot, Le Syndrome du Titanic, Paris, Calmann-Lévy, 2004 ; Paris, LGF, 2004.
  26. « L'impératif écologique de notre temps selon Nicolas Hulot » Accès libre, sur letemps.ch, 3 décembre 2007 (consulté le 29 novembre 2021)
  27. Voir pacte-ecologique-2007.org.
  28. Voir pacte-ecologique-2007.org.
  29. « Nicolas Hulot renonce à se présenter à l’Élysée, après six mois de lobbying écologiste », Le Monde.fr,‎ 22 janvier 2007 (lire en ligne, consulté le 5 septembre 2021).
  30. « L'écologie dans la campagne : Ségolène Royal face à Nicolas Hulot », sur politique.net, 16 mars 2007 (consulté le 5 septembre 2021).
  31. Pacte contre Hulot.
  32. « Conférence de presse de lancement ».
  33. Nicolas Hulot, « J'ai décidé d'être candidat à l'élection présidentielle », Le Monde.fr,‎ 13 avril 2011 (lire en ligne, consulté le 5 septembre 2021).
  34. Déclaration de candidature sur le site de campagne.
  35. « VIDEO. Hulot a voté Mélenchon, Joly “heureuse qu'il ait découvert la gauche” », sur leparisien.fr, 20 juin 2012.
  36. « Nicolas Hulot nommé « envoyé spécial pour la protection de la planète » par Hollande », sur 20minutes.fr, 6 décembre 2012 (consulté le 5 septembre 2021).
  37. « François Hollande au Vatican pour reconquérir l'électorat catholique », Le Figaro, 9 janvier 2014, lire en ligne, consulté le 26 janvier 2014.
  38. Service Dvlpt ALEAUR, « FNH lance son Think tank de la transition écologique », sur comite21.org, 11 février 2013.
  39. « Nicolas Hulot demande l’aide du pape pour sauver l’environnement », Radio Vatican, 22 novembre 2013, lire en ligne.
  40. « Le pape François travaille à une encyclique sur l'écologie », Reuters, 25 janvier 2014, lire en ligne, consulté le 26 janvier 2014.
  41. « Le gouvernement en ordre de bataille pour la COP21 », Le Moniteur,‎ 29 janvier 2015 (lire en ligne, consulté le 6 février 2015).
  42. « "Paris climat 2015" : la diplomatie française œuvre « pour un accord historique » », France 24,‎ 30 novembre 2014 (lire en ligne, consulté le 6 février 2015).
  43. « Le Sommet des Consciences pour le climat », sur lecese.fr, 21 juillet 2015 (consulté le 5 septembre 2021).
  44. « Quand Nicolas Hulot joue la carte « Yolo » », sur Libération, 8 octobre 2015.
  45. « Nicolas Hulot a « cassé Internet » mais pas convaincu tout le monde », sur Rue89, 10 octobre 2015.
  46. « Nicolas Hulot quitte son poste d'envoyé spécial pour la protection de la planète », sur RTL.fr, 9 janvier 2016 (consulté le 5 septembre 2021).
  47. « Présidentielle 2017 : Nicolas Hulot n'exclut pas d'être candidat », sur lepoint.fr, 4 février 2016 (consulté le 5 février 2016).
  48. Simon Roger, Sophie Landrin, « Nicolas Hulot refuse d’entrer au gouvernement », sur lemonde.fr, 4 février 2016 (consulté le 5 février 2016).
  49. « Nicolas Hulot ne sera pas ministre ! », sur lepoint.fr, 4 février 2016 (consulté le 5 février 2016).
  50. Lénaïg Bredoux et Jade Lindgaard, « Nicolas Hulot renonce, au grand désespoir des écologistes », sur Mediapart, 6 juillet 2016 (consulté le 7 juillet 2016).
  51. Raphaëlle Besse Desmoulières, Stéphane Foucart et Simon Roger, « Nicolas Hulot, la prise de guerre », sur lemonde.fr, 17 mai 2017 (consulté le 17 mai 2017).
  52. « Nicolas Hulot avoue avoir voté Benoît Hamon au premier tour de la présidentielle », lemonde.fr, 30 août 2017.
  53. « Nicolas Hulot nommé ministre d’État en charge de la Transition écologique », sur Le HuffPost, 17 mai 2017 (consulté le 5 septembre 2021).
  54. « Après trois refus, Nicolas Hulot a enfin accepté un ministère », sur RTL.fr, 17 mai 2017.
  55. Décret no 2017-1071 du 24 mai 2017 relatif aux attributions du ministre d'État, ministre de la transition écologique et solidaire.
  56. Rémi Barroux, « Nicolas Hulot dispose d’attributions larges mais perd la politique de la pêche », sur lemonde.fr, 25 mai 2017 (consulté le 16 août 2017).
  57. Simon Roger et Rémi Barroux, « Haute fonction publique, société civile… qui rejoint le cabinet de Nicolas Hulot ? », sur Le Monde.fr (consulté le 17 juillet 2017).
  58. Ellen Salvi, « Matignon, Élysée, ministères… Les cabinets verrouillés du nouveau pouvoir », sur Mediapart, 17 juillet 2017 (consulté le 17 juillet 2017).
  59. « Nicolas Hulot : « Nous visons la fin de la vente des voitures à essence et diesel d’ici à 2040 » », Le Monde.fr,‎ 6 juillet 2017 (lire en ligne).
  60. « Nicolas Hulot fait le choix du long terme », Actu-Environnement,‎ 7 mai 2018 (lire en ligne, consulté le 12 mai 2018).
  61. « Eolien offshore : le gouvernement menace de "mettre fin" aux projets retenus en 2012 et 2014 », Actu-Environnement,‎ 9 mai 2018 (lire en ligne, consulté le 12 mai 2018).
  62. « L'Assemblée adopte définitivement la loi interdisant la production d'hydrocarbures d'ici 2040 », Actu-Environnement,‎ 19 décembre 2017 (lire en ligne, consulté le 12 mai 2018).
  63. « La boîte à outils du Gouvernement pour massifier la rénovation des bâtiments résidentiels », Actu-Environnement,‎ 26 avril 2018 (lire en ligne, consulté le 12 mai 2018).
  64. Audrey Garric, « Le gouvernement autorise l’abattage de 40 loups dans l’année », Le Monde,‎ 20 juillet 2017 (résumé).
  65. Le gouvernement autorise l'abattage de 40 loups pour la période 2017-2018, leparisien.fr, 20 juillet 2017.
  66. « Loup : la nouvelle annonce de Nicolas Hulot ne satisfait aucune des parties en conflit », sur LaProvence.com, 20 juillet 2017 (consulté le 5 septembre 2021).
  67. « Hulot recule sur la fin du glyphosate sous trois ans et évoque des "exceptions" », Le Huffington Post,‎ 25 février 2018 (lire en ligne, consulté le 4 septembre 2018).
  68. « Glyphosate: Nicolas Hulot veut en finir avec les "produits dangereux" », sur l'express, 22 septembre 2017 (consulté le 5 novembre 2017).
  69. « Glyphosate : Hulot contre l'autorisation de cinq ans proposée par la Commission européenne », Europe 1,‎ 8 novembre 2018 (lire en ligne, consulté le 4 septembre 2018).
  70. « Vidéo - Le glyphosate autorisé pour cinq ans de plus dans l'UE », LCI,‎ 27 nombre 2017 (lire en ligne, consulté le 4 septembre 2018).
  71. « Sortie du glyphosate en trois ans : Nicolas Hulot évoque des “exceptions” », Le Monde.fr,‎ 25 février 2018 (lire en ligne, consulté le 4 septembre 2018).
  72. « Glyphosate : Nicolas Hulot est-il encore utile dans ce gouvernement ? », L'Obs,‎ 29 mai 2018 (lire en ligne, consulté le 4 septembre 2018).
  73. « Glyphosate : "déçu", Nicolas Hulot s'accroche à l'objectif de 2021 », Europe 1,‎ 29 mai 2018 (lire en ligne, consulté le 4 septembre 2018).
  74. « Sortie du glyphosate: Nicolas Hulot affiche son optimisme », L'Opinion,‎ 6 juin 2018 (lire en ligne, consulté le 4 septembre 2018).
  75. « Sortie du glyphosate : Stéphane Travert et Nicolas Hulot veulent des « engagements » à la mi-juillet », Le Monde.fr,‎ 22 juin 2018 (lire en ligne, consulté le 4 septembre 2018).
  76. « Nicolas Hulot, un ministre de l'Ecologie qui possède six voitures (pas toutes propres) », sur France TV Info, 16 décembre 2017.
  77. « Hulot et ses neuf véhicules à moteur: "Je roule en électrique 95% de mon temps" », LExpress.fr,‎ 17 décembre 2017 (lire en ligne, consulté le 17 décembre 2017).
  78. « Nicolas Hulot s'explique sur ses 9 véhicules à moteur », Challenges, 17 décembre 2017.
  79. Marcela Wesfreid, « Notre-Dames-des-Landes : Hulot met la pression », Le Figaro, samedi 14/ dimanche 15 octobre 2017, pages 2-3.
  80. Marc Endeweld, Le Grand Manipulateur, Éditions Stock, coll. « Essais - documents », 2019, 360 p. (ISBN 9782234086562), p. 286.
  81. « Nicolas Hulot veut réintroduire deux ours femelles dans les Pyrénées », sur Le Monde.fr (consulté le 31 mars 2018).
  82. « Nicolas Hulot : « Je prends la décision de quitter le gouvernement » », sur franceinter.fr, France Inter, 28 août 2018 (consulté le 28 août 2018).
  83. « Nicolas Hulot quitte le gouvernement », Le Monde,‎ 28 août 2018 (lire en ligne, consulté le 28 août 2018).
  84. « Comment Nicolas Hulot justifie sa démission du gouvernement », Franceinfo,‎ 28 août 2018 (lire en ligne, consulté le 28 août 2018).
  85. « "Objectifs contradictoires", lobbies… Les piques de Hulot contre le gouvernement », L'Obs,‎ 28 août 2018 (lire en ligne, consulté le 28 août 2018).
  86. « Il claque la porte sans prévenir : Hulot se paye Macron, le "maître des horloges" », Marianne,‎ 28 août 2018 (lire en ligne, consulté le 28 août 2018).
  87. « "Je ne veux plus me mentir" : retrouvez l'intégralité des déclarations de Nicolas Hulot », lejdd.fr,‎ 28 août 2018 (lire en ligne, consulté le 28 août 2018).
  88. « Hulot démissionne et dénonce "la présence des lobbies dans les cercles du pouvoir" », FranceSoir,‎ 28 août 2018 (lire en ligne, consulté le 28 août 2018).
  89. « Nicolas Hulot dénonce l'influence des "lobbys dans les cercles du pouvoir" », RTL.fr,‎ 28 août 2018 (lire en ligne, consulté le 28 août 2018).
  90. « Un ministre pompé », Le Canard Enchaîné, no 5104,‎ 29 août 2018.
  91. « Béchu a-t-il fait les poches de Hulot ? », sur Le Courrier de l'Ouest, 31 août 2018.
  92. « Nicolas Hulot a envoyé sa lettre de démission à Emmanuel Macron », Le Figaro,‎ 30 août 2018 (lire en ligne).
  93. « Gouvernement : une chaise vide au conseil des ministres », sur Franceinfo, 31 août 2018 (consulté le 1er septembre 2018).
  94. Rémi Barroux, Nabil Wakim et Alexandre Lemarié, « François de Rugy, un converti au macronisme au ministère de la transition écologique », sur Le Monde, 4 septembre 2018 (consulté le 13 septembre 2018).
  95. « "L’Émission politique". Invité : Nicolas Hulot », Franceinfo,‎ 2 novembre 2018 (lire en ligne, consulté le 24 novembre 2018).
  96. Gaël Vaillant, « Taxer le kérosène des avions ? Le gouvernement s'en remet à un débat », sur Le Journal du dimanche, 25 novembre 2018 (consulté le 27 novembre 2018).
  97. Anne-Charlotte Dusseaulx, « Nicolas Hulot reprend sa Fondation, Audrey Pulvar sur le départ », sur Le Journal du dimanche, 29 janvier 2019.
  98. « Nicolas Hulot de retour à la tête de son ONG », sur Le Figaro, 30 janvier 2019 (consulté le 30 janvier 2019).
  99. « Le Grand débat du Pacte Finance-Climat, avec Laurent Fabius, Alain Juppé, Nicolas Hulot… », sur blog.troude.com, 26 février 2019 (consulté le 26 février 2019).
  100. « Nicolas Hulot : "Soyons cohérents, rejetons le Ceta" », sur lejdd.fr, 29 juin 2019.
  101. Jean-Michel Décugis, Damien Delseny et Geoffroy Tomasovitch, « Affaire Hulot : une accusation démentie, une autre prescrite », sur Le Parisien, 8 février 2018 (consulté le 8 février 2018).
  102. Émilie Trevert et Aziz Zemouri, « Quels faits derrière les démentis de Nicolas Hulot ? », sur Le Point, 8 février 2018 (consulté le 8 février 2018).
  103. « La justice confirme une plainte pour "viol" en 2008 à l'encontre de Nicolas Hulot, classée pour prescription », sur France Info, 8 février 2018 (consulté le 8 février 2018).
  104. R. V., « Accusations contre Hulot : des faits prescrits et "pas établis" selon le procureur », sur BFM TV, 9 février 2018 (consulté le 9 février 2018).
  105. « Plainte pour viol visant Nicolas Hulot : pourquoi les révélations du magazine "Ebdo" sont critiquées », sur France Info, 9 février 2018 (consulté le 9 février 2018).
  106. « Nicolat Hulot a décidé de porter plainte contre Ebdo pour "diffamation" », sur L'Express, 12 février 2018 (consulté le 13 février 2018).
  107. « Nicolas Hulot a retiré sa plainte pour diffamation contre le magazine Ebdo », Le Monde.fr,‎ 26 décembre 2018 (lire en ligne, consulté le 27 décembre 2018).
  108. « Le nouveau livre de Mazarine Pingeot fait-il référence au viol dont a été accusé Nicolas Hulot ? », sur Les Inrocks, 9 juillet 2019 (consulté le 16 mai 2020).
  109. Lorélie Carrive, « Les curieuses similitudes entre le roman de Mazarine Pingeot et l'accusation de viol contre Nicolas Hulot », sur franceinter.fr, 28 août 2019 (consulté le 16 mai 2020).
  110. « Nicolas Hulot a-t-il commis un viol ? Jean-Michel Aphatie apporte un nouvel éclairage », sur Reporterre, le quotidien de l'écologie (consulté le 28 septembre 2021).
  111. « DOCUMENT. "Il m'a sauté dessus et a tenté de m'embrasser" : l'animatrice Maureen Dor affirme avoir été agressée sexuellement par Nicolas Hulot », sur Franceinfo, 25 novembre 2021 (consulté le 25 novembre 2021).
  112. « Nicolas Hulot, accusé d’agressions sexuelles, « quitte définitivement » la vie publique », Le Monde.fr,‎ 24 novembre 2021 (lire en ligne, consulté le 5 octobre 2022)
  113. « Le parisien.fr/politique/accuse-de-viol-et-agressions-sexuelles-nicolas-hulot-denonce-des-affirmations-mensongeres ».
  114. « Anaïs Leleux (Pourvoir Féministe) affirme qu'une femme accusant Nicolas Hulot était "mineure au moment des faits" », 24 novembre 2021
  115. « linternaute.com/actualite/biographie/1776872-nicolas-hulot- Le parquet de Paris ouvre une enquête ».
  116. « Nicolas Hulot accusé de viol et d'agressions sexuelles : le parquet de Paris ouvre une enquête préliminaire », sur franceinter.fr, 26 novembre 2021 (consulté le 27 novembre 2021).
  117. "Sabine Prokhoris : l'hégémonie à visée purificatrice de MeToo étend son empire" par Sabine Prokhoris dans L'Express le 28/11/2021
  118. Jérôme Lefilliâtre et Anne Diatkine, « Violences sexuelles: huit femmes accusent PPDA », sur Libération (consulté le 9 novembre 2021)
  119. "Après le « Envoyé spécial » sur Nicolas Hulot, l'insupportable accusation de « tribunal médiatique »" par Titiou Lecoq sur Slate le 26 novembre 2021 .
  120. "Faute de preuves, Enquête sur la justice face aux révélations #Metoo", par la journaliste d'investigation de Médiapart Marine Turchi, en 2021 aux Éditions du Seuil.
  121. "« Eva Joly, celle qui était juge avant Élise Lucet» : Laurent Ruquier s’en prend à sa consœur de France 2 dans l’affaire Nicolas Hulot » par Damien Mercereau dans Le Figaro le 28/11/2021
  122. « Affaire Hulot : en direct, Laurent Ruquier se moque des victimes », sur aufeminin.com, 29 novembre 2021 (consulté le 5 octobre 2022)
  123. "« Il n’y a pas de prescription dans le journalisme » : Élise Lucet se défend de faire un procès médiatique à Nicolas Hulot" par Emilie Paul dans Le Figaro le 26/11/2021 .
  124. « Affaire Nicolas Hulot : l'enquête pour viol et agression sexuelle sur mineur classée sans suite en raison de la prescription », sur francetvinfo.fr
  125. « L’enquête pour viol et agression sexuelle sur mineur visant Nicolas Hulot classée sans suite pour prescription », Le Monde.fr,‎ 12 septembre 2022 (lire en ligne, consulté le 12 septembre 2022)
  126. « Saint-Lunaire l'a adopté », sur Le Parisien, 13 avril 2011 (consulté le 8 février 2018).
  127. Marine Madelmond, « Nicolas Hulot, qui sont les femmes de sa vie ? », sur Télé Star, 17 mai 2017 (consulté le 8 février 2018).
  128. Guyonne de Montjou, « Nicolas Hulot, un ministre en plein doute », Le Figaro Magazine, semaine du 22 septembre 2017, p. 48-54.
  129. Décret du 13 juillet 2015 portant promotion et nomination dans l'ordre national de la Légion d'honneur
  130. « Décret du 14 novembre 2000 portant promotion et nomination dans l'ordre national du Mérite »
  131. « Décret n°2002-88 du 17 janvier 2002 relatif à l'ordre du Mérite maritime »
  132. « Ordonnance Souveraine n° 4.577 du 14 novembre 2013 portant nominations dans l’Ordre de Grimaldi / Journal 8148 / Année 2013 / Journaux / Accueil - Journal de Monaco », sur journaldemonaco.gouv.mc
  133. « VIDÉO | Nicolas Hulot, Docteur Honoris Causa de l’UMons: « Le climat, c’est l’affaire du siècle » », sur lavenir.net (consulté le 9 décembre 2021)
  134. « Zidane reste la personnalité préférée des Français », nouvelobs.com, 24 juin 2008.
  135. « Noah reste la personnalité préférée des Français », Le Figaro, 2 août 2008.
  136. « Présidentielle 2017 : que vaut le candidat Hulot ? », Le Parisien, 8 mai 2016.
  137. « Nicolas Hulot et l’oligarchie », sur reporterre.net (consulté le 23 décembre 2010).
  138. « Nicolas Hulot, radicalement vert », Le Monde, 6 octobre 2009.
  139. « Entretien : Nicolas Hulot, pourquoi êtes-vous perdu ? », sur reporterre.net (consulté le 24 décembre 2010).
  140. La Décroissance, no 43, octobre 2007, p. 6.
  141. Sylvain Lapoix, « Hulot, un écolo-gauchiste héliporté », Marianne, 29 septembre 2009.
  142. La Fondation Nicolas Hulot sous le feu des critiques, Le Figaro, 17 février 2011.
  143. « Allègre et l'imbécile Hulot », JDD, 27 septembre 2009.
  144. Bové et Hulot montent au créneau contre Allègre, lexpress.fr, 23 mai 2009.
  145. Chiffre provenant du Global Humanitarian Forum, Think tank de Kofi Annan, et revu par les dix plus grands experts sur le réchauffement climatique qui admettent une marge d'incertitude, le nombre de morts pouvant être plus grand ou plus élevé Global warming causes 300,000 deaths a year, says Kofi Annan thinktank, The Guardian, 29/5/2009.
  146. Hulot : Allègre utilise son intelligence "à mauvais escient", Europe 1, 28 septembre 2009.
  147. Nicolas Hulot vu par le HulotScope : un très léger mieux sur reporterre.net, site deReporterre.
  148. « Nicolas Hulot, un ministre démuni », Europe 1,‎ 13 septembre 2017 (lire en ligne, consulté le 10 juillet 2018).
  149. « Ecologie : quel bilan pour Nicolas Hulot ? », leparisien.fr,‎ 2018-05-16cest16:33:44+02:00 (lire en ligne, consulté le 14 juillet 2018).

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes