Pilier des Anges (cathédrale de Strasbourg)

Dans cet article, nous explorerons le monde fascinant de Pilier des Anges (cathédrale de Strasbourg) et toutes les implications que ce sujet a sur notre société. Pilier des Anges (cathédrale de Strasbourg) est un sujet qui a retenu l'attention des experts et des fans, générant des débats passionnés et suscitant un intérêt croissant pour ses nombreuses facettes. Tout au long de ces pages, nous approfondirons l’histoire, l’impact et les éventuelles implications futures de Pilier des Anges (cathédrale de Strasbourg), en analysant chaque détail et en offrant une vision complète de ce sujet si d’actualité aujourd’hui. De ses origines à ses applications les plus récentes, cet article plonge dans une analyse complète de Pilier des Anges (cathédrale de Strasbourg) dans le but de fournir au lecteur une compréhension profonde et enrichissante de ce sujet passionnant.

Le pilier des Anges.

Le pilier des Anges, dit pilier du Jugement dernier, est un élément architectural en grès rose de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg, dont il supporte la voûte de la partie sud du transept. Haut d'une vingtaine de mètres, il représente l'avènement du Jugement dernier et comporte douze statues réparties sur trois étages : les quatre Évangélistes et le tétramorphe, les anges sonnant les trompettes de l'apocalypse, le Christ en gloire entouré d'anges portant les reliques de la Passion. Les couleurs des statues, bien qu'atténuées par l'usure du temps, restent encore visibles à plusieurs endroits.

Construit au XIIIe siècle en même temps que la nef, son maître d'œuvre reste inconnu malgré plusieurs théories, abandonnées par la suite. Les inspirations du pilier sont encore débattues : la thèse chartraine est le plus souvent admise, mais d'autres auteurs ont émis des hypothèses sur d'autres inspirations possibles.

Emplacement

En haut à droite, l'élément no 1 représente le pilier des Anges.

Le pilier des Anges se situe au centre du transept sud de la cathédrale de Strasbourg (à la droite du chœur[1]) et en soutient la voûte, à l'intersection de quatre croisées d'ogives. Dans le bras nord du transept, une colonne sans sculptures joue un rôle analogue au pilier[2]. Le pilier se trouve face au portail sud de la cathédrale entre l'horloge astronomique à l'Est et la statue de l'évêque Werner de Habsbourg par André Friederich à l'Ouest[3], jusqu'à ce que cette dernière ne soit déplacée à l'entrée de la galerie présentant le trésor de la cathédrale[4].

Selon Étienne Fels, le maître d'œuvre du transept avait déjà prévu le soutènement de la voûte par un pilier unique alors que Rudolf Kautzsch (de) avance l'hypothèse selon laquelle il souhaitait utiliser trois voûtes barlongues dans chaque bras[5].

Construction

Le pilier des Anges a été construit au XIIIe siècle, entre 1225 et 1235[6],[note 1]. Le maître d'œuvre est inconnu, mais Erwin de Steinbach est souvent cité comme tel même s’il est né en 1244. Depuis le XVIe siècle, Sabina von Steinbach est aussi proposée mais cette hypothèse a également été abandonnée. Hans Reinhardt a mis en évidence que le pilier a été conçu par un seul maître[8]. En 1939, Hans Kunze montre, en analysant les moulures, que le pilier des Anges a été construit au même moment que la nef[9], ce qui est également suggéré par une marque de tâcheron identique à celle que l'on retrouve sur certains écoinçons du transept sud[10]. Par manque de place sur les tympans des portes du portail sud, les statues ont été ajoutées au pilier[11], ce qui en fait un cas unique au monde, les statues du Jugement dernier étant généralement placées sur la façade occidentale des églises[12].

Inspirations

Plusieurs auteurs ont cherché à trouver les inspirations qui ont servi au pilier. En 1902, l'Allemand Karl Franck-Oberaspach y discerne des origines chartraines[11], et obtient plusieurs soutiens en comparaison avec le porche nord de la cathédrale Notre-Dame de Chartres[13] dont le tympan surmonte également une bande de bas-relief[14]. Cette thèse a été réfutée par certains auteurs allemands comme Wilhelm Vöge (en) et Hans Jantzen qui y voient une influence allemande[15], appuyée par la disposition assez rare des Évangélistes que l'on peut retrouver dans la cathédrale de Bâle ou celle de Munster[16].

En 1966, Willibald Sauerländer avance la thèse senonaise et bourguignonne[11] et cette dernière est soutenue par Kunze et Robert Branner. Rudolf Kautzsch (de) rapproche les statues de celles de l'église Sainte-Madeleine de Besançon[17]. Pierre Quarré établit une ressemblance entre la structure du pilier et celle du pilier du porche de la cathédrale Saint-Bénigne de Dijon[18]. Georg Dehio et Hans Reinhardt ont soutenu la thèse champenoise. D'autres ont émis l'hypothèse d'une influence parisienne[9], notamment en comparaison des visages des apôtres sur le tympan de la Vierge de la cathédrale Notre-Dame de Paris[19]. En 2020, Jean-Pierre Caillet propose une inspiration antique du pilier[20].

Description

Le chapiteau du pilier.

Construit en grès rose, le pilier des Anges est un pilier à base octogonale mesurant 18 mètres qui supporte la voûte de la nef sud[12] où les deux tiers inférieurs sont occupés par douze statues[21]. Il est composé de quatre colonnettes fortes sous les doubleaux des voûtes et de quatre colonnettes faibles[note 2] où sont disposées les statues[22], chacune couverte par un dais[23]. Malgré la hiérarchie chrétienne des personnages que l'on retrouve dans la disposition des statues, celles-ci ne bénéficient pas toutes de la même taille. Au premier étage, les Évangélistes font 1,90 mètre, puis les anges du deuxième étage font 1,75 mètre et enfin, les anges du troisième étage font 2 mètres[24], à l'exception de la statue de Jésus qui fait 2,24 mètres en raison des ressuscités[25].

Le pilier représente l'avènement du Jugement dernier plutôt que l'évènement lui-même : les anges sonnent les trompes et les morts ressuscités sortent de leurs tombeaux. Au contraire, la scène ne dépeint pas les éléments habituels du jugement tels que la pesée des âmes par l'archange Michel ou l'intercession des condamnés par sainte Marie et Jean le Baptiste[26]. Denise Borlée et Isabel Iribarren associent la verticalité de l'œuvre à l'ascension de l'esprit[27]. Les dépouilles des évêques de l'archidiocèse sont généralement déposées au pied du pilier[28].

Lors de la construction du pilier, il a été badigeonné de couleurs. Les fonds des nimbes sont dorés pour les Évangélistes et le Christ mais bistre pour les anges[29]. Les globes oculaires ont été peints et laissés vides par le sculpteur, la caroncule et l'angle externe des yeux ont été peints en rouge, les paupières sont bordées de noir, les sourcils sont sombres, les lèvres sont rouges, et on peut remarquer parfois la lunule et le contour de l'ongle[30].

Premier niveau

Le premier niveau comporte les statues des quatre Évangélistes, chacun associé à un attribut : saint Marc est associé au lion, saint Matthieu à l'ange, saint Jean à l'aigle et saint Luc au bœuf[12]. Les statues, dont les corps sont tournés d'un quart de tour en se regardant et en discutant deux à deux, donnent un effet giratoire à l'ensemble, appuyé par les trompettes des anges du deuxième niveau. Les attributs des statues sont également tournés les uns vers les autres[31]. Habituellement, les Évangélistes ne sont représentés que par leurs symboles[26].

Saint Matthieu a une barbe brune, les yeux bleus et la chair rose. Son nimbe est doré et orné d'une étoile rouge à huit branches. Saint Luc a des yeux bleus, repeints en vert, des cheveux gris[note 3], et son taureau est marron. Saint Marc a les yeux bruns et son lion possède des ailes bleues[note 4]. Le nimbe de saint Luc semble avoir un motif floral bleu, ses cheveux sont blonds et ses yeux bleus[32].

Deuxième niveau

Le deuxième niveau est orné d'anges nimbés jouant de la trompe, annonçant le jour du Jugement dernier[12]. Les quatre anges possèdent de nombreuses similarités : la chair est rose et les cheveux sont ocre rouge ou blonds. Les ailes de l'ange au-dessus de saint Marc (orienté nord-est) sont les mieux conservées et présentent une couleur bleue[33]. La forme des ailes est très particulières car elle s'éloigne des ailes à plumes des oiseaux pour un style plus épuré, inédit dans l'art roman ou gothique[34]. L'ange surplombant saint Matthieu est affublé d'une « verrue » sur la joue dont ni l'origine ni le but ne sont connus[35], tandis que la trompe de celui au-dessus de saint Luc est brisée[36].

Troisième niveau

Sur le troisième niveau, Jésus, montrant ses plaies, est assis sur un trône au-dessus de mortels sortant de leurs tombes[37]. Le Christ en gloire est tourné vers la nef et regarde le chœur[38]. Les trois autres statues représentent des anges portant des reliques de la Passion du Christ : la Sainte Lance et le vinaigre, les Saints Clous et la Vraie Croix, et la Sainte Couronne[12].

La Sainte Lance et le vase de vinaigre sont brisés et l'ange les portant présente des yeux bruns, des cheveux blonds, et son nimbe est orné d'une étoile rouge à huit branches[note 5]. La Sainte Couronne porte des traces rouges et vertes, et son ange possède un nimbe avec un motif fleurdelisé bleu [note 6]. L'ange à la Croix a été peint avec des yeux bruns. Le Christ est vêtu d'un tissu doré et ses plaies forment un filet rouge. Son nimbe représente une croix rouge[39] et sa tête a été placée plus tard comme le suggère la jointure visible au niveau des épaules[40]. Dans sont étude polychromique de 2006, Anne Vuillemard suggère que cette jointure était masqué par la couche de peinture[note 7], expliquant pourquoi le Christ est la seule sculpture à être entièrement colorée[29]. Le trône est de couleur bleu et le dais est le seul élément du pilier à avoir été peint entièrement en rouge, bleu et or[41].

Disposition des statues

Saint Jean est tourné vers la gauche et son aigle est tourné vers la droite.

Les douze statues sont disposées sur trois étages selon un ordre hiérarchique : les Évangélistes, les Anges, le Christ et ses reliques[24]. Ces représentations sont tournées d'un quart de tour de sorte que les Évangélistes discutent deux à deux et les anges soufflent dans leurs trompes, deux vers la droite et deux vers la gauche. De même, les Évangélistes sont tournés dans le sens opposé de leurs attributs respectifs. Ces alternances donnent un effet giratoire au pilier[31].

Et, selon Roger Forst, la disposition des statues au sein du même étage n'est pas non plus un hasard. Saint Matthieu, qui bénéficie d'une double rotation car ses jambes et sa tête sont tournées vers saint Luc et son buste est tourné vers saint Jean[42], fait face au double portail d'entrée du transept. Ceci peut s'expliquer du fait que dans son évangile, saint Matthieu décrit l'avènement du Jugement dernier[43]. À ses côtés, saint Luc est représenté discutant avec lui, sachant qu'il clôt son évangile par la résurrection et l'élévation au ciel de Jésus[44],[45]. L'emplacement de ces deux Évangélistes sur le pilier leur permet d'être mis en avant, face au portail du transept, en plus d'être éclairé la plupart du temps[46].

Sous la statue de Jésus se trouve celle de saint Jean, le disciple que Jésus aimait et celui qui resta après la Crucifixion. Saint Jean est également le premier à reconnaître Jésus après sa résurrection[47].

Moulages

Le pilier des Anges a été l'objet de plusieurs moulages. De 1881 à 1882, Eugène Werling est chargé de mouler le premier étage du pilier pour le musée de Sculpture comparée, à l'initiative de Victor Ruprich-Robert qui voulait l'intégralité du pilier[48]. En 1908, en raison du moulage du portail de la cathédrale de Bourges, les œuvres massives telles que le moulage du pilier dont déplacées. Étant trop imposant pour être déplacé en une seule pièce, celui-ci est scié puis reconstruit quelques mètres plus loin[49]. Dès 1907, l'idée de mouler le reste du pilier est soumise au directeur du musée de l'Œuvre Notre-Dame qui, en 1923, consent à mouler le deuxième étage du pilier. Celui-ci est achevé en par l'architecte en chef de la cathédrale Clément Dauchy [note 8],[50] et envoyé à la Cité de l'architecture et du patrimoine en mars de la même année[51]. Le moulage, conservé au musée des Monuments français, présente deux couches colorées. La première est une patine rouge pour imiter le grès et la seconde consiste à colorer les traits des sculptures mais pas sur les nimbes[52].

Études polychromiques

Su cette photo, on peut distinguer les couleurs dorées de la tunique et du dais du Christ, la couleur de sa peau, du trône, et les cheveux blonds des anges.

Il y a eu quelques recherches sur la polychromie de la cathédrale, dont les observations de Gustave Klotz en 1848, mais le pilier demeure peu étudié[53]. En 1925, à l'occasion du moulage du deuxième étage l'année précédente, Joseph Walter décrit la polychromie partielle des statues, notamment la tunique et le baldaquin dorés de Jésus et la chair, les pupilles et les nimbes des statues du troisième étage[40]. L'année suivante, Lucien Hell publie un ouvrage sur des relevés polychromiques du dernier étage concernant la chair, les nimbes, les ailes, les reliques et le groupe statuaire comprenant le Christ et les ressuscités. Ses descriptions restent sommaires au premier étage et inexactes au deuxième[54]. Valeria Schulte-Fischedick, en 1996, réétudie de façon sommaire la polychromie du pilier, soulignant la manière dont les lèvres rouges et les pupilles colorées contribuaient à l'expressivité des anges. Elle note également que les robes n'étaient pas colorées et que la polychromie des nimbes a été grandement atténuée par le temps[55].

En 2006, Anne Vuillemard publie un article plus exhaustif mettant en évidence l'existence de deux couches de peinture : la première pourrait être contemporaine au pilier, alors que la seconde pourrait être postérieure au Moyen-Âge[56]. L'étude de la polychromie originale a permis de mettre en évidence les détails de la chair (visage, mains et pieds), des yeux, des nimbes et du tétramorphe[note 9]. En analysant les filets de sang provenant des plaies du Christ, elle en conclut que la couleur était prévue dès l'origine mais après l'assemblage total[57]. Concernant la seconde couche, Vuillemard souligne l'épaisseur des traits, ne suivant pas toujours les lignes des sculptures. Elle suppose donc que ces repeints ont eu pour but de rénover la première couche, mais n'ont pas été effectués par un polychromeur expérimenté[58]. Elle termine son étude en émettant l'hypothèse que le pilier des Anges propose une polychromie partielle[note 10] et que celle-ci rend un meilleur hommage à l'ensemble, par rapport à une polychromie totale, en permettant la mise en lumière de certains éléments[59].

L'homme à la balustrade

Statue de l'homme accoudé à la balustrade.

Dans la même salle que le pilier figure la statue d’un homme, accoudé à une balustrade. La légende raconte qu'un homme[note 11] aurait prétendu que le pilier des Anges s'effondrerait, ne pouvant supporter la voûte[61]. En réponse, le maître d'œuvre aurait sculpté une statue du visiteur contemplatif, attendant l'effondrement du pilier[62]. Néanmoins, le pilier des Anges a été achevé au XIIIe siècle et la balustrade au XVe siècle[63],[note 12] donc les deux œuvres ne sont pas contemporaines. Une autre théorie estime que la statue représente Hans Hammer, le maître d'œuvre de la tribune[65], voire qu'il s'agit d'Erwin de Steinbach[1].

Notes et références

Notes

  1. Selon Jean-Philippe Meyer, la construction a continué jusqu'en 1245[7].
  2. Ces colonnettes correspondent aux retombées des ogives de la voûte.
  3. Saint Luc est le seul Évangéliste à présenter cette caractéristique.
  4. Le nimbe de saint Marc est usé mais semble similaire à celui de saint Matthieu.
  5. Le nimbe de saint Matthieu, situé dans le même axe, est orné d'une étoile similaire.
  6. Le nimbe de saint Marc, situé sur le même axe, est similaire.
  7. Elle généralise cette observation pour les jointures au niveau des nimbes et des ailes de toutes les sculptures du pilier.
  8. Celui-ci réalise plusieurs photographies par la même occasion.
  9. Sur le tétramorphe, la polychromie n'est presque plus visible.
  10. Certaines parties n'ont pas été peintes, comme le soulignait déjà Valeria Schulte-Fischedick.
  11. Lors de son voyage en 1664, Balthasar de Monconys le considère comme un architecte[60].
  12. L’homme sculpté porte d’ailleurs un couvre-chef typique de cette période[64].

Références

  1. a et b « A la Cathédrale de Strasbourg », La Lorraine,‎ , p. 8-9 (lire en ligne).
  2. Delahache (1910), p. 82.
  3. Delahache (1910), p. 85-87.
  4. « Vie et oeuvres du statuaire alsacien André Friederich », Histoire & Patrimoine Hospitalier : bulletin de l'Association Les Amis des hôpitaux universitaires de Strasbourg, no 15,‎ , p. 10 (lire en ligne).
  5. Grodecki et Recht (1971), p. 11.
  6. Grodecki et Recht (1971), p. 16.
  7. Marc Carel Schurr, « Jean-Philippe Meyer et Brigitte Kurmann-Schwarz, La cathédrale de Strasbourg. Chœur et transept : de l’art roman au gothique », dans Bulletin Monumental, vol. 2, t. 170, (lire en ligne), p. 352.
  8. Reinhardt (1968), p. 63.
  9. a et b Grodecki et Recht (1971), p. 15.
  10. Forst (2008), p. 38.
  11. a b et c Étienne Fels, « Les sculptures du pilier des Anges à la cathédrale de Strasbourg », dans Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France, (lire en ligne), p. 183.
  12. a b c d et e « Le Pilier des Anges de la cathédrale : 18 mètres de plaisir pour les yeux », sur Pokaa, (consulté le ).
  13. Grodecki et Recht (1971), p. 32.
  14. Forst (2006), p. 21.
  15. Reinhardt (1968), p. 62.
  16. Otto Von Simson, « Le Programme sculptural du transept méridional », dans Société des amis de la cathédrale de Strasbourg, Bulletin, , 80 p. (lire en ligne), p. 36.
  17. Grodecki et Recht (1971), p. 31.
  18. Alain Erlande-Brandenburg, « Les sculptures de la façade et des portails de Notre-Dame de Dijon », dans Bulletin Monumental, vol. 1, t. 129, (lire en ligne), p. 66-67.
  19. Delahache (1910), p. 86.
  20. Jean-Piette Caillet, « Une source antique pour le pilier des Anges de la cathédrale de Strasborug ? », dans Bulletin de la cathédrale de Strasbourg, vol. 34, (lire en ligne), p. 23-28.
  21. Walter (1925), p. 11.
  22. Grodecki et Recht (1971), p. 14.
  23. Paul Vitry, « Les Sculpteurs de la Cathédrale au XIIIe siècle », Le Point,‎ , p. 12 (lire en ligne).
  24. a et b Hamann et Weigert (1935), p. 42.
  25. Walter (1925), p. 21.
  26. a et b Hamann et Weigert (1935), p. 41.
  27. Denise Borlée et Isabel Iribarren, « Le Pilier des anges : verticalité gothique et ascension spirituelle », dans Christian Grappe, La cathédrale de Strasbourg en sa ville : le spirituel et le temporel., Presses Universitaires de Strasbourg, , p. 143-157.
  28. Michel François, « Étienne Fels (1900-1970) », dans Bibliothèque de l'École des chartes, vol. 2, t. 128, (lire en ligne), p. 517.
  29. a et b Vuillemard (2006), p. 26.
  30. Vuillemard (2006), p. 25.
  31. a et b Labourdette (1994), p. 443-444.
  32. Vuillemard (2006), p. 29-31.
  33. Vuillemard (2006), p. 31-33.
  34. Forst (2008), p. 116.
  35. Forst (2008), p. 36.
  36. Walter (1925), p. 13.
  37. Grodecki et Recht (1971), p. 21.
  38. Labourdette (1994), p. 429.
  39. Vuillemard (2006), p. 33-34.
  40. a et b Walter (1925), p. 12.
  41. Vuillemard (2006), p. 27.
  42. Labourdette (1994), p. 144.
  43. Matthieu 24,31 : « Il enverra ses anges avec la trompette retentissante, et ils rassembleront ses élus des quatre vents ».
  44. Luc 24
  45. Forst (2008), p. 116-117.
  46. Forst (2006), p. 23.
  47. Forst (2006), p. 24.
  48. « Pilier des Anges: registre inférieur », sur Cité de l'architecture et du patrimoine.
  49. (en) Julie Beauzac L’histoire matérielle des moulages du musée de Sculpture comparée (1897-1927) (rapport), (DOI 10.4000/insitu.12670, lire en ligne).
  50. Walter (1925), p. 8.
  51. « Pilier des Anges: ange ouest », sur Cité de l'architecture et du patrimoine.
  52. Vuillemard (2006), p. 24.
  53. Vuillemard (2006), p. 17-18.
  54. Vuillemard (2006), p. 19.
  55. (de) Valeria Schulte-Fischedick, « Der Strassburger Engelspfeiler », dans Meisterwereke mittelalterlicher Skulptur, , p. 178.
  56. Vuillemard (2006), p. 22-23.
  57. Vuillemard (2006), p. 22-27.
  58. Vuillemard (2006), p. 27-28.
  59. Vuillemard (2006), p. 28-29.
  60. Balthasar de Monconys, Journal des voyages de M. de Monconys, conseiller du Roy en ses conseils d'Estat & privé, & lieutenant criminel au siege presidial de Lyon., vol. 2, Bibliothèque nationale de France, chez Horace Boissat, & George Remeus, , 503 p. (lire en ligne), p. 297.
  61. « Le petit homme de la balustrade près du pilier des anges », sur Société des Amis de la Cathédrale de Strasbourg, (consulté le ).
  62. Patrick Boehler, « L’homme à la balustrade de la Cathédrale de Strasbourg », sur Strasbourg Photo, (consulté le ).
  63. Martine Péters, « L’accoudé de la cathédrale… », sur Ecriplume, (consulté le ).
  64. Pierre Jacob, « L’homme accoudé » (consulté le ).
  65. « 9 mystères de la cathédrale de Strasbourg que seuls les guides connaissent », sur Pokaa, (consulté le ).

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Georges Delahache, La Cathédrale de Strasbourg : Notice historique et archéologique, éditions D.A. Longuet, , 191 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Roger Forst, Les saints et les démons de la cathédrale de Strasbourg, , 118 p. (ISBN 9782953262421, lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Roger Forst, Les Curiosités de la cathédrale de Strasbourg, , 126 p. (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Monique Fuchs, Cathédrale de Strasbourg : L'horloge astronomique et le pilier des Anges, .
  • Louis Grodecki et Roland Recht, « Le quatrième colloque international de la Société française d'archéologie (Strasbourg, 18-20 octobre 1968). Le bras sud du transept de la cathédrale : architecture et sculpture », dans Bulletin Monumental, vol. 1, t. 129, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • (de) Richard Hamann (en) et Hans Weigert (de), « Der Gerichtspfeiler », dans Das Strassburger Münster und Seine Bildwerke, Berlin, Deutscher Kunstverlag, , 148 p., p. 40-43. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • (de) Lucien Hell, Der Engelspfeiler im Strassburger Münster, Urban-Verlag, (présentation en ligne).
  • (en) Akimi Iwaya, Expressive power of the Gothic pillar: The “Pillar of Angels” in Strasbourg Cathedral, (lire en ligne).
  • (de) Harald Keller (de), « Der Engelspfeiler im Strassburger Münster », dans Carl Georg Heise (en), Der Kunstbrief, (lire en ligne), p. 3-16.
  • Régis Labourdette, « L'empreinte de la grâce dans l'Église et la Synagogue de Strasbourg », dans Bulletin de l'Association Guillaume Budé, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Claude Odilé, Le Pilier des Anges et autres légendes d’Alsace, .
  • Hans Reinhardt, « Les sculptures du croisillon sud de la cathédrale de Strasbourg : le pilier des Anges et le décor du portail méridional. », dans Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Société des amis de la cathédrale de Strasbourg, Bulletins de la Cathédrale de Strasbourg, vol. XXXIV, (présentation en ligne), p. 11-58.
  • Anne Vuillemard, « Le pilier des Anges de la cathédrale de Strasbourg : un cas de polychromie partielle ? », dans Bulletin de la cathédrale de Strasbourg, vol. 23, (lire en ligne). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Joseph Walter, « Le Pilier du Jugement, dit le Pilier des Anges », dans Bulletin de la Société des amis de la cathédrale de Strasbourg, (lire en ligne), p. 8-13. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.

Articles connexes