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La sous-direction de la police régionale des transports (SDPRT), anciennement police régionale des transports (PRT) est une sous-direction spécialisée de la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération parisienne (DSPAP), une des composantes de la préfecture de police de Paris.
Placée sous le commandement opérationnel du préfet de police de Paris, préfet de la zone de défense et de sécurité de Paris, laquelle regroupe la capitale, les trois départements de la petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne) et les quatre départements de la grande couronne (Seine-et-Marne, Yvelines, Essonne, Val-d'Oise), elle est chargée de la sécurité dans tous les transports en commun de la région Île-de-France.
Près de 15 millions de voyages sont effectués quotidiennement par plus de six millions d’usagers sur les réseaux de métro et de bus, sur le RER et les trains de banlieue. En raison de l'ampleur de cette fréquentation, la lutte contre la délinquance dans les transports en commun d'Île-de-France est un objectif prioritaire de cette sous-direction.
En 2007, la SDPRT se voit confier la coordination de la sécurisation des transports en commun de surface. En , dans le cadre de la mise en place de la police d’agglomération, la première unité d’accueil et de sécurisation en gare, en dehors de Paris, était ouverte à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) et l’unité de sécurisation des transports en commun du Val-de-Marne était rattachée à la SDPRT.
Le , le plan national de sécurisation des transports propose l’extension de compétence de la SDPRT à quatre sections de ligne sensibles du réseau ferré au-delà des limites de l’Île-de-France (Creil, Beauvais, Dreux et Vernon).
Enfin, le , une réforme interne des structures de la SDPRT est engagée afin de développer l’intermodalité dans la profondeur régionale. Cette réforme s’accompagne d’un changement d’appellation de la BRF – la brigade des réseaux ferrés devenant la brigade des réseaux franciliens - sans modification du sigle.
Elle agit en partenariat avec le Groupe de protection et de sécurité des réseaux (GPSR), le service de sûreté interne de la Régie autonome des transports parisiens (RATP) et avec la Sûreté ferroviaire, le service de sûreté interne à la Société nationale des chemins de fer français (SNCF).
Textes de référence
La sous-direction de la police régionale des transports dispose d'une brigade chargée d'assurer la sécurisation des transports en commun d'Île-de-France, service opérationnel spécialement dédié. Cette unité, forte de près de 1 200 policiers, déploie chaque jour plus de 100 patrouilles sur les réseaux et dispose du renfort quotidien de 14 équipes de gendarmes et de 20 équipes de forces armées de troisième catégorie pour sécuriser 739 gares et stations ainsi que 6 500 trains franciliens programmés et 5 800 rames de métro et de RER.
La brigade des réseaux franciliens (BRF) (depuis , précédemment nommée brigade des réseaux ferrés), est constituée d'un état major, de deux départements et d'une sureté.
Le département de sécurisation générale (DSG) est dirigé par un commissaire de police. Il comprend :
Le département de police des gares parisiennes (DPGP) (unité d'accueil et de sécurisation des gares), est dirigé par un commandant de police à l’échelon fonctionnel, chef de service, se répartissant sur différents postes de police : en gare de Lyon, en gare Montparnasse, en gare de l'Est, en gare Saint-Lazare, en gare du Nord, en gare de Châtelet-les-Halles et en gare de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Le DPGP dispose d'unités chargées de la sécurisation, de l'îlotage, ainsi que de l'accueil du public et des victimes en gare ainsi que d'une brigade de sécurisation générale (BSG) qui lutte notamment contre certains phénomènes spécifiques de délinquance en gare comme les vendeurs à la sauvette ou les faux taxis.
La sureté régionale des transports, créée en en lieu et place de l'ancien département d'investigation judiciaire (DIJ), est dirigée par deux commissaires de police ; elle comprend :
Le service administratif sous la direction d'une attachée de police comprend :
La police régionale des transports est compétente sur les huit départements constituant la région Île-de-France. Sa compétence s'exerce aussi bien aux zones Police qu'aux zones Gendarmerie.
Le service est dirigé par deux hauts fonctionnaires appartenant au Corps de conception et de direction (CCD) (commissaires divisionnaires) assistés par d'autres commissaires de police (chef du DSG et chef et chef-adjoint de la SRT) ainsi que des personnes appartenant au Corps de commandement (CD) (chef du DPGP) (officiers) et des personnes appartenant au Corps d'encadrement et d'application (CEA)(gardiens et gradés).
Chaque brigade est dirigée par des officiers, qui s'appuient sur une équipe de gradés. L'effectif principal est composé des gardiens de la paix (GPX) et de policiers adjoints (PA). Chaque brigade compte de 80 à 100 personnes.
Elle s'effectue :
Les personnels de la BRF rendent compte par le biais de leurs moyens radios à la station directrice TN Réseaux (fusion de TN Métro et TN Corail) qui gère tous les effectifs sur le terrain et les véhicules depuis le centre de coordination opérationnel de sécurité basé à la Préfecture de Police de Paris sur l'île de la Cité.
La sous-direction régionale de la police des transports, compte tenu des lieux et du grand rayon d'action, dispose de cinq moyens radios :
Le réseau radio Iris de la SNCF pour la Suge fonctionne selon la norme Tetrapol en duplex sur les bandes 410,00 à 414,50 MHz (6 canaux duplex + 2 canaux simplex, shift de + 10 MHz pour les canaux duplex).
Pour le réseau souterrain et extérieur des services de TN Réseaux, les liaisons sont en UHF et utilisent certains canaux de la RATP autorisés par l'arrêté du ministère chargé des Télécommunications du . Cet arrêté a été reconduit par plusieurs décisions de l'Arcep en 2001 (voir la rubrique liens externes pour plus de détails).
Les effectifs en tenue sur les réseaux ferrés sont vêtus de deux façons différentes selon les saisons.
Ces effectifs sont coiffés d'une casquette type baseball « Police » (« Nouvelle tenue »), ou d'une casquette type BAC
En Île-de-France, 1015 agents du GPSR (RATP) et 1400 agents de la Sûreté ferroviaire (SNCF) sont affectés au réseau francilien[2]. De plus, 1200 agents de la brigade des réseaux ferrés sont affectés au réseau d'Île-de-France, dont le siège est situé à la gare de Lyon[3].