Dans le monde d’aujourd’hui, Probabilité a priori est un sujet qui suscite un intérêt croissant auprès d’un large spectre de la population. Depuis son émergence, Probabilité a priori a généré des opinions et des débats contradictoires concernant son impact sur la société. Au fil du temps, ce sujet a acquis une importance croissante, influençant différents aspects de la vie quotidienne et le développement de divers domaines de connaissances. C'est pourquoi il est essentiel d'analyser en profondeur les différents aspects liés à Probabilité a priori, afin de comprendre sa portée et les implications qu'elle a pour les individus, les communautés et le monde en général. Dans cet article, nous explorerons différentes perspectives et approches sur Probabilité a priori, dans le but de fournir une vision complète et enrichissante de son importance aujourd'hui.
Dans le théorème de Bayes, la probabilité a priori (ou prior[note 1]) désigne une probabilité se fondant sur des données ou connaissances antérieures à une observation. Elle s'oppose à la probabilité a posteriori (ou posterior[note 1]) correspondante qui s'appuie sur les connaissances postérieures à cette observation.
Les lois a priori peuvent être créées à l'aide d'un certain nombre de méthodes[3](pp27–41).
Une loi a priori peut être déterminée à partir d'informations antérieures, telles que des expériences précédentes.
Elle peut être obtenue à partir de l'évaluation purement subjective d'un expert expérimenté.
Une loi a priori non informative peut être créée pour refléter un équilibre entre les résultats lorsque aucune information n'est disponible.
Les lois a priori peuvent également être choisies en fonction d'un certain principe, comme la symétrie ou la maximisation de l'entropie compte tenu des contraintes ; les exemples sont la loi a priori de Jeffreys ou l’a priori de référence de Berger-Bernardo.
↑ a et bLes mots « prior » et « posterior », d'origine anglaise, signifient « avant » et « après » et sont utilisés pour décrire des concepts de l'inférence bayésienne, ou pour formuler de nouveaux (voir par exemple les œuvres de Judea Pearl ou Introduction to Bayesian Statitics de Karl-Rudolf Koch). Ils sont aussi utilisés en français comme synonymes, par exemple par Sophie Gourgou, Xavier Paoletti, Simone Mathoulin-Pélissier dans Méthodes Biostatistiques appliquées à la recherche clinique en cancérologie ou Bas Van Fraassen, Catherine Chevalley dans Lois et symétrie, p. 59.
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