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Les progestatifs injectables font partie des méthodes hormonales de contraception. Son pendant masculin est la contraception hormonale masculine.
L'efficacité des progestatifs injectables est telle qu'il n'y a que 1 % d'échecs en moyenne.[réf. nécessaire]
Les progestatifs injectables ont le même effet contraceptif et contragestif que les progestatifs qui entrent dans la composition des pilules combinées et progestative :
Leur délai d'action diffère selon le progestatif injecté. Par exemple, une injection de médroxyprogestérone dure douze semaines de suite. Une injection de noréthistérone dure huit semaines de suite.
Des saignements en dehors des règles (métrorragies) sont fréquents ou, parfois bizarrement, une absence de règle (aménorrhée) peut survenir. Une prise de poids, due au progestatif, est aussi possible, mais cela dépend plus de l'utilisatrice que de la méthode. En effet, l'utilisation du médicament apporte un gain d'appétit due aux hormones qui peuvent apporter une prise de poids.
Par rapport à la pilule contraceptive, combinée ou progestative, cette méthode n'est pas réversible de façon simple. Il faut attendre que le progestatif soit complètement éliminé avant de pouvoir mettre une grossesse en route.
D'après de récentes études, les progestatifs injectables provoquent une baisse notable de la densité minérale osseuse. Il semble que la densité osseuse revienne à la normale après l'arrêt du traitement. Il n'a cependant pas été établi que cette méthode de contraception favorise une future ostéoporose chez les patientes[1],[2],[3].
Il y a deux sortes de progestatifs injectables disponibles en France. Ce sont :
La contraception hormonale masculine utilise majoritairement des injections intramusculaires hebdomadaires d’énanthate de testostérone. Le traitement n'excède pas 18 mois[5]. En France, cette méthode reste méconnue[6].