Dans cet article, nous allons plonger dans le monde passionnant de Régiment d'artillerie coloniale du Maroc, en explorant ses différentes facettes et son influence dans différents domaines. De son impact sur la société à ses implications sur la culture populaire, Régiment d'artillerie coloniale du Maroc a suscité l'intérêt des experts et des fans. À travers une analyse globale, nous examinerons son évolution dans le temps et sa pertinence aujourd’hui. De plus, nous découvrirons les points de vue d'experts dans le domaine, qui nous offriront un aperçu plus approfondi de Régiment d'artillerie coloniale du Maroc et de ses implications. Cet article cherche à fournir une vision complète et enrichissante de Régiment d'artillerie coloniale du Maroc, invitant les lecteurs à réfléchir et à approfondir ce sujet fascinant.
Régiment d'artillerie coloniale du Maroc | |
![]() Insigne régimentaire du RACM | |
Création | 1er septembre 1919 |
---|---|
Dissolution | 1er septembre 1958 |
Pays | ![]() |
Branche | Armée de terre |
Type | Régiment d'artillerie |
Rôle | Artillerie Coloniale |
Couleurs | rouge et bleu |
Inscriptions sur l’emblème |
Maroc 1919-1934 Toulon 1944 Indochine 1945-1954 AFN 1952-1962 |
Anniversaire | Bazeilles |
Guerres | Seconde Guerre mondiale Guerre d'Indochine Guerre d'Algérie |
Fourragères | aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures |
Décorations | Croix de guerre 1939-1945 une palme Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs quatre palmes |
modifier ![]() |
Le régiment d'artillerie coloniale du Maroc était une unité militaire de l'artillerie coloniale.
En avril 1911, les premières unités d'artillerie Coloniale débarquèrent au Maroc et s'illustrent lors de la marche de la colonne Mangin sur Marrakech en 1912.
Six batteries prennent part à la Grande Guerre et combattent en particulier à la bataille de la Marne.
Le , ces batteries reçoivent le nom de régiment d'artillerie coloniale du Maroc.
En 1939, le régiment est stationné à Marrakech, ainsi qu'à Kasba Tadla et Taza[1].
Les campagnes du II/RACM : Elbe - France - Allemagne[2]
Il a fait 90 prisonniers allemands dont 6 officiers.
Le Groupe a tiré 62 846 coups de canon se répartissant ainsi :
Le RACM suit sa grande unité (9e D.I.C.) en Indochine dès la fin de l'année 1945. Il opère par groupes séparés. Par exemple, en 1953-1954 le III/RACM est intégré au sein du Groupe Mobile 5, au Nord Viet-Nam. Pendant neuf ans le RACM est engagé en Indochine, il gagne quatre citations à l'ordre de l'armée. En 1956, il est de retour en Afrique du Nord. Son premier groupe, le I/RACM est dans le Constantinois et devient I/9e RAMa en 1958.
Le 9e RAMa est l'héritier des traditions du Régiment d'Artillerie Coloniale du Maroc (RACM).
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions[3],[4] :
Sa cravate est décorée De la Croix de guerre 1939-1945 avec une palme. De la Croix de guerre des théâtres d'opérations extérieures avec quatre palmes et s'orne de la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des théâtres d'opérations extérieures. Car il faut au moins deux palmes sur le ruban pour pouvoir porter la fourragère afférente. Or ayant quatre palmes, l'erreur d'attribution de fourragère a été rectifiée en 1978 par celle de la Croix de la médaille militaire[réf. nécessaire]. Leur port ne se cumule pas.
Écu, porte mauresque, monts, palmier, ancre, canons croisés, mention RACM, étoile en haut à gauche. L'étoile est remplacée par '9' sur celui du 9°RAMa, avec mention RAMA. Et non RAMa comme il aurait convenu.