Dans cet article, nous explorerons en détail le monde fascinant de René Marchand. De ses origines à sa pertinence aujourd'hui, nous plongerons dans l'histoire, l'évolution et les différentes facettes de René Marchand. À travers différentes approches et perspectives, nous analyserons son impact dans divers domaines, ainsi que son influence sur la société et la culture contemporaines. Afin d'offrir une vision large et complète, nous aborderons à la fois les aspects historiques et actuels, offrant au lecteur un aperçu complet de René Marchand et de sa pertinence dans le contexte actuel.
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René Marchand, né le , à Montluçon (Allier) et mort le à Chassy (Yonne)[1], est un essayiste et journaliste français. Journaliste de radio et de télévision, il collabore à La Nouvelle Revue d'histoire. Depuis fin 2010, il collabore à Riposte laïque.
Il est issu de l'École nationale des langues orientales vivantes et licencié de langue et littérature arabes en Sorbonne.
Il est un critique de l'islam et s'est spécialisé dans des ouvrages et articles narrant la conquête de l'islam mais aussi dénonçant, selon lui, la complicité de l'élite européenne dans sa progression en Europe. Son ouvrage Mahomet, contre-enquête détaille les étapes et techniques de la conquête de la péninsule Arabique par Mahomet puis par ses émules.
Il passe son enfance, avenue Jules-Guesde, dans le quartier des Fours-à-chaux de Montluçon, fréquente l’école publique Paul-Lafargue; Son père, ébéniste, est « mort pour la France » en 1940. Pupille de la Nation, il fait ses études primaires et secondaires à Montluçon puis à Paris où il rejoint l'École des langues orientales, puis la Sorbonne. Il est licencié d’arabe classique et devient journaliste de radio et de télévision à partir de 1959.
De 1963 à 1967, il est responsable de la rédaction, puis directeur de la station émettant en français, arabe, afar et somali de Djibouti pour l'Office de radiodiffusion-télévision française. Simultanément, il est correspondant de l’Agence France-Presse. En 1968 et en 1969, il est rédacteur en chef adjoint à France Inter. Il rejoint la 2e chaîne de 1969 à 1972, devient rédacteur en chef adjoint, puis rédacteur en chef, chef du service des informations générales et présentateur du journal. Coproducteur, avec Jacqueline Baudrier, du magazine mensuel Le Troisième Œil, il fait ses premières grandes émissions en France sur la drogue (La Drogue chez nous), l’immigration (Le Pain de l’exil) et reçoit le Prix Unda. De 1972 à 1975, il est responsable de la fiction de la Première Chaîne : feuilletons, séries, téléfilms, coproductions, achats. À Radio France, de 1978 à 1983, il est conseiller à la présidence, puis chef des services de la présidence, chargé du développement et de la prospective, puis directeur du développement. Il crée les premières radios locales de service public (Fréquence Nord, Radio Mayenne, Radio Melun), étend le réseau et y intègre les services radiophoniques de FR3. En 1983, il crée le Studio-École de France, premier établissement d’enseignement privé consacré aux métiers de l’audiovisuel. Il réalise des missions de conseil, d’audit et de redressement pour des groupes de presse français et étrangers
En 2013, dans son ouvrage Reconquista ou la mort de l’Europe, édité par Riposte laïque, René Marchand préconise d'interdire l'Islam en Europe et de le déclarer incompatible avec la nationalité française. Ainsi, selon lui, « tout citoyen français ayant un ancêtre jusqu'à la troisième génération portant un nom ou un prénom marquant son appartenance à l'Islam doit choisir entre la citoyenneté française et l'Islam »[2].
En 2014, il s'exprime aux Assises de la remigration organisées par le Bloc identitaire[3].