Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (novembre 2009).
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
Cet article est une ébauche concernant un acteur britannique.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les conventions filmographiques.
Robert Donat Robert Donat en 1939.Nom de naissance | Friedrich Robert Donat |
---|---|
Naissance |
18 mars 1905 Withington, Manchester, Royaume-Uni |
Nationalité | Britannique |
Décès |
9 juin 1958 (à 53 ans) Londres, Royaume-Uni |
Profession | Acteur |
Films notables |
La Vie privée d'Henry VIII Le Comte de Monte-Cristo 39 marches |
Robert Donat, né le 18 mars 1905 à Withington près de Manchester en Angleterre et mort le 9 juin 1958, est un acteur britannique. Il débute au théâtre puis devient l'un des jeunes premiers les plus en vue du cinéma britannique des années 1930.
Il a déjà deux gros succès à son actif, La Vie privée d'Henry VIII d'Alexander Korda (1933) et Le Comte de Monte-Cristo de Rowland V. Lee (1934), quand Alfred Hitchcock l'engage pour les 39 marches (1935). Dans la foulée, il tourne avec René Clair (Fantôme à vendre en 1935, avec Jean Parker), Jacques Feyder (Le Chevalier sans armure, en 1937, avec Marlene Dietrich), King Vidor (La Citadelle en 1938), Sam Wood (Au revoir Mr. Chips, en 1939, son plus gros succès populaire pour lequel il obtient l'Oscar du meilleur acteur), Carol Reed (Le Jeune Monsieur Pitt, en 1942).
En 1948 il passe à la mise en scène avec The Cure for Love, mais ne réédite pas l'expérience.
Il retrouve un grand rôle en 1951 dans La Boîte magique de John Boulting ; il y incarne l'inventeur anglais du cinématographe, Friese Greene. En 1958, il interprète un dernier rôle, celui du Mandarin de Yang Cheng, dans L'Auberge du sixième bonheur de Mark Robson, pour lequel il est nommé au Golden Globes du meilleur acteur. Il meurt peu après d'une crise d'asthme.