Dans cet article, nous allons explorer Saint-Pierre (Penmarc'h), un sujet qui a récemment suscité l'intérêt de nombreuses personnes. Saint-Pierre (Penmarc'h) est une source de débat et de discussion dans la société actuelle et a un impact important sur divers aspects de la vie quotidienne. Tout au long de cet article, nous examinerons différentes perspectives et opinions sur Saint-Pierre (Penmarc'h), ainsi que sa pertinence pour notre culture, notre histoire et notre avenir. Avec un regard critique et réflexif, nous tenterons de faire la lumière sur ce sujet si actuel aujourd’hui, en proposant différentes approches et arguments qui invitent à la réflexion et au débat.
Saint-Pierre est un hameau de la commune de Penmarc'h, dans le pays Bigouden (Finistère). Il est situé à la pointe de Penmarc'h. C'est un port de pêche, moins important que ses voisins Saint-Guénolé et Kérity. C'est à Saint-Pierre que s'élève le phare d'Eckmühl.
Saint-Pierre (Penmarc'h) est l'un des trois ports de pêche traditionnels (la pêche n'y est plus pratiquée de nos jours) de Penmarc'h, les deux autres étant ceux de Kérity et de Saint-Guénolé. Le hameau est situé tout près de la pointe de Penmarc'h, et la modestie des altitudes (cinq mètres au maximum, une partie anciennement marécageuse forme actuellement la zone naturelle du marais de la Joie, ou Loch ar Joa en breton, qui sépare les bourgs de Saint-Pierre et de Saint-Guénolé) ainsi que sa position péninsulaire l'exposent tout particulièrement aux risques de submersion marine.
Le paysage est dominé par les deux phares (le vieux phare de Penmarc'h et le phare d'Eckmühl) et le sémaphore de Saint-Pierre. Au nord de la pointe de Penmarc'h se trouve, au bord même de la mer, en direction de Saint-Guénolé, la chapelle Notre-Dame-de-la-Joie.
Le , deux bateaux de pêche de Kérity, le Saint-Louis et le Berceau de Saint-Pierre chavirent par mauvais temps près du port. Les canots de sauvetage de Kérity et de Saint-Pierre se portent à leur secours, mais chavirent à leur tour près de la roche La Jument. Ces accidents firent en tout 27 victimes, 12 pêcheurs et 15 canotiers ; dix marins furent sauvés par deux bateaux de pêche qui se trouvaient à proximité, le Gérard Samuel et L'Arche d'alliance[1].
Entre 1932 et 1934 est construit le brise-lames protégeant le port de Saint-Pierre ; néanmoins, ce port demeure d'un accès extrêmement difficile, sans profondeur et son abri est peu sûr[2].
Partant de l'extrémité de la pointe, s'alignent plusieurs édifices…