Dans le monde d'aujourd'hui, Steel Pulse est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large éventail de personnes. Qu'il s'agisse de son impact sur la société, de sa pertinence historique ou de son influence sur la culture populaire, Steel Pulse a capté l'attention et l'imagination de personnes de tous âges et de tous horizons. En savoir plus sur Steel Pulse est crucial pour comprendre le monde qui nous entoure et les forces qui le façonnent. Dans cet article, nous explorerons différents aspects de Steel Pulse, de son origine à son influence aujourd'hui, en fournissant un aperçu complet et détaillé qui permet au lecteur de mieux comprendre ce sujet fascinant.
Steel Pulse est un groupe de reggae britannique qui se forme en 1975 à Birmingham, plus précisément dans le quartier d'Handsworth. À la base de ce groupe on trouve les musiciens David Hinds, Ronald "Ronnie Stepper" MacQueen (basse), Selwyn D. Brown (chant, claviers) et Basil Gabbidon (chant, guitare), qui avec MacQueen quitte la formation dans la première moitié des années 1980)[1].
Leur premier single est Kibudu Mansata Abuku, sorti sur le label Concrete Jungle. Le groupe se fait d'abord connaître sur la scène internationale par sa présence au festival Rock Against Racism, emblématique du lien unissant reggae et punk rock en Angleterre, et assurent la première partie de Bob Marley and The Wailers en 1978.
Steel Pulse engage Steve "Grizzly" Nisbett (batterie), Alphonso "Phonso" Martin (chant, percussion) ainsi que Michael Riley (chant, percussions), qui quitte la formation après la sortie du premier album, Handsworth Revolution, paru en 1978, contenant les chansons engagées à succès Ku Klux Klan — qui dénonce le conservatisme et le racisme de la société britannique de la fin des années 1970 — Handsworth Revolution, Prodigal Son, Soldiers, Bad Man, Sound Check ou encore la ganja tune Macka Splaff clôturant l'album.
Leurs trois premiers albums sont produits par Karl Pitterson (qui a travaillé avec Bob Marley, Aswad, etc.), avec le soutien de l'ingénieur du son Godwyn Logie. En 1986, leur album Babylon the Bandit sorti l'année précédente remporte le Grammy Award du meilleur album de reggae de l'année[2].