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La zone 3 est une zone du système tarifaire zonal concentrique utilisé par les transports en commun d'Île-de-France.
La zone 3 a vu le jour en même temps que la carte Orange en 1975[1].
La partie Est du bois de Vincennes est située dans la zone, tandis que sa partie Ouest ainsi que le bois de Boulogne sont situés en zone 2.
Une disposition tarifaire particulière était prévue pour les voyageurs du métro possédant un titre de transport ne couvrant que les zones 1-2. En effet, ceux-ci pouvaient utiliser leur titre jusqu'au bout de toutes les lignes de métro même si la station terminus de leur trajet est en zone 3[2] : par exemple, pour se rendre à la gare de la Défense située en zone 3 il suffisait d'un ticket t+ pour s'y rendre avec la ligne 1 du métro tandis que pour s'y rendre via la ligne A du RER il fallait un billet origine-destination ou un titre incluant la zone 3 pour un trajet en bus. La mise en place du ticket « Métro-Train-RER » le simplifie cette situation, le nouveau ticket étant utilisable indifféremment sur le métro, le Transilien ou le RER sans limite de distance[3].
La zone 3 représente la zone de captation majeure des flux de voyageurs RER et Transilien, notamment sur des trajets domicile-travail.
Le RER dessert en effet de nombreuses gares de la zone 3, devant concilier des besoins de transports caractérisés par la fréquence d'une desserte périurbaine de type métro et la rapidité des trains de banlieue.
La zone 3 compte vingt-huit stations de métro. Dans le cadre du Grand Paris Express, ce nombre est amené à augmenter fortement, la future ligne 15 étant principalement établie en zone 3.
La zone 3 est également la zone la plus irriguée par le réseau du tramway d'Île-de-France. À l'exception des lignes T3a et T3b circulant à la lisière de Paris et des lignes T12 et T13, toutes les autres lignes desservent la zone 3.
Les lignes T1, T6, T8 et T10 sont intégralement situées dans la zone, tandis que les lignes suivantes le sont partiellement :