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Chapelain |
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Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Édouard-Auguste-Christian Sayous |
Nationalité |
française |
Formation |
École normale supérieure (à partir de ) |
Activités |
Enseignant, pasteur, historien |
Père |
André Sayous (d) |
Conjoint |
Berthe Fanny Dollfus |
A travaillé pour | |
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Membre de | |
Distinctions |
Édouard Sayous (en hongrois : Sayous Eduárd) est un essayiste et historien français, né le à Genève et mort le à Nice. Il est notamment l'auteur d'une Histoire générale des Hongrois, ouvrage récompensé en 1877 par le prix Thiers[2].
Édouard Sayous est le fils d'André Sayous (1808–1870)[3], professeur de littérature à l'université de Genève.
Ancien élève de l'École normale supérieure (1860) et agrégé d'histoire et de géographie (1863), Édouard Sayous est d'abord professeur au lycée de Versailles (1863), puis professeur au lycée Charlemagne à Paris[4] (1865).
Devenu docteur ès lettres (Paris, 1866) et docteur en théologie (Montauban, 1880), Édouard Sayous enseigne notamment à la faculté de théologie protestante de Montauban (1879) et à l'université de Besançon (1886, Histoire de l'Antiquité et du Moyen-Âge)[5].
Il apprend le hongrois et fait son premier voyage à Budapest en 1868. Auteur d'une Histoire générale des Hongrois (1876), Édouard Sayous s'intéresse également à l'établissement de la Réforme en Hongrie et, fin connaisseur de la monarchie danubienne, est envoyé par la France en mission diplomatique à Budapest en 1870[5]. Il devient également membre de la Société Kisfaludy de Pest[6].
Édouard Sayous fut également pasteur à Poissy et, à partir de 1877, aumônier de la maison centrale de Poissy[7].