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Étienne Davodeau, né le à Botz-en-Mauges (Maine-et-Loire), est un dessinateur et scénariste français de bandes dessinées. Avec près de 45 albums publiés en 30 ans (en janvier 2023), l’auteur-dessinateur s’est imposé comme une grande figure de la bande dessinée documentaire[1].
Étienne Davodeau est issu d'une famille ouvrière des Mauges, comme il l'explique dans Les Mauvaises Gens, ouvrage qui retrace la jeunesse de ses parents : nés en 1942, ils ont commencé à travailler dans l'industrie locale à 13 et 14 ans[2] et sont devenus membres de la JOC, syndicalistes CFTC puis CFDT, membres de l'ACO.
Après le baccalauréat[3], il fait ses études supérieures à l'université Rennes 2 (département arts plastiques) ; il fonde alors, avec d'autres passionnés de BD, dont ses futurs collaborateurs Joub et Jean-Luc Simon, le studio Psurde[4].
Il publie son premier album, L'Homme qui n'aimait pas les arbres, en 1992, dans la nouvelle collection pour jeunes auteurs, « Génération Dargaud »[4].
Dans son œuvre, il alterne fictions et récits réalistes. Ses histoires, ancrées dans le réel[5], tracent des portraits bien vivants de gens ordinaires aux démêlés particuliers.
En 2011, il publie la bande dessinée Les Ignorants qui est le récit de son initiation au travail de la vigne et des échanges avec le viticulteur[6]. C'est un succès avec plus de 250 000 exemplaires vendus[1], et une édition anniversaire pour les dix ans au tirage unique, augmentée d’un entretien croisé et de photos inédites.
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Adaptations de son œuvre
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↑Sa mère : comme OS dans une usine de chaussures, A.M. Biotteau ; son père : après un apprentissage de mécanicien-ajusteur chez un artisan, il entre comme ouvrier d'entretien dans une usine d'électronique à Saint-Pierre-Montlimart, la Compagnie des Lampes, dont le siège était à Courbevoie ; il devient ensuite professeur dans l'enseignement technique.
↑Études secondaires : cf. Les Mauvaises Gens, p. 168 et 180.
↑Il démissionne de sa fonction de conseiller en janvier 2016 pour dénoncer les conditions de la fusion de Rablay-sur-Layon au sein de la commune nouvelle de Bellevigne-en-Layon, il regrette notamment que le conseil ait refusé en octobre 2015 l’organisation d’un référendum communal (source : Le Petit Écho de Rablay-sur-Layon, bulletin communal d’information de mars 2016).
↑Olivier Maltret, « Un pro ! », BoDoï, no 54, , p. 14.
↑Étienne Davodeau (int.), Christophe Hermenier (int.), Joub (int.) et Sophie Bogrow, « Passer le col des 50 ans ? En peloton, c'est mieux », Casemate, no 130, , p. 10-12.
↑Frédérique Pelletier, « Les couloirs aériens : 50 ans et + », dBD, no 137, , p. 87.